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Les Propriétés thermiques de l'ammoniaque et du chlorure de méthyle

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Research Collection

Doctoral Thesis

Les Propriétés thermiques de l'ammoniaque et du chlorure de méthyle

Author(s):

Holst, Gilles Publication Date:

1914

Permanent Link:

https://doi.org/10.3929/ethz-a-000104594

Rights / License:

In Copyright - Non-Commercial Use Permitted

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ETH Library

(2)

LES PROPRIÉTÉS THERMIQUES DE L'AMMONIAQUE

ET DU CHLORURE DE MÉTHYLE.

(3)
(4)

Les propriétés thermiques de l'ammoniaque

et du chlorure de méthyle.

THÈSE

approuvée par

l'École Polytechnique Fédérale de Zurich

pour l'obtention du titre de

Docteur es sciences naturelles

présentée par

GILLES HOLST,

de HAARLEM.

1f)1

Rapporteur:

M. le Prof. Dr.

P.

Weiss.

Co-rapporteur

: M. le Prof. Dr. A. Schweitzkr.

1914.

(5)
(6)

TABLE DES MATIERES

Page.

Intboduction 1

Discussion des mesures faites

précédemment

§

1 Méthode 2

§

2.

L'équation

d'état . 2

§

3. Les mesures sur

l'ammoniaque

7

§

4. Le chlorure de

méthyle

. 10

§

5 La densité du

liquide

.... 11

§

6. La

pression

de la vapeur saturée 13

§

7. La chaleur de

vaporisation

19

§

8. La chaleur

spécifique

du

liquide

20

§

9. La chaleur

spécifique

de la vapeur 21

§

10. Résumé . . 21

Nouvelles mesures

§

1. Introduction 23

§

2. La

préparation

des gaz 23

§

3. Les

piëzomètres

24

§

4. Le manomètre 26

§

5. Les isothermes 26

§

6. La détermination du second coefficient du viriel au-dessous

de zéro 30

§

7.

Equations

d'état 32

§

8. Les tensions de vapeur 36

§

9. Formules 38

§

10. Volume de la vapeur saturée 40

§11.

La chaleur de

vaporisation

41

Bibliographie

44

(7)

Les discussions et mesures

qui

sont

l'objet

de cettethèseforment

la

première partie

d'une étude

plus

étendue

entreprise

dans le

laboratoire

cryogène

de Leiden: la révision des constantes des

gaz facilement

liquéfiables, employés

dans l'industrie.

A

plusieurs reprises,

aux

congrès

et dans les

périodiques,

des

spécialistes

de l'industrie du froid

*),

ont attiré l'attention sur les difficultés causées par l'incertitude de ces constantes.

Cette confusion a été

augmentée

encore par le

grand

nombre

de tableaux

publiés

pour ces gaz, tableaux dont les données

numériques

ont été obtenues par des

procédés

douteux et souvent

incorrects,

à cause du manque de données

expérimentales.

C'est

pourquoi

M. le Prof. H. Kamerlingh Onnes m'a

proposé d'entreprendre

cette étude à la fois

critique

et

expérimentale

sur

les

propriétés thermodynamiques

de

l'ammoniaque

et du chlorure de

méthyle

Dans la

première partie j'ai

réuni les résultats des observations antérieures d'autres

expérimentateurs.

Jeles ai

analysés

et

comparés

entre eux pour établir

quelles

sont les données

qui

nous

manquent

encore et

parmi

celles dont nous

disposons, quelles

sont celles

qui

sont contradictoires. La seconde

partie

contient les résultats de

quelques

nouvelles

expériences entreprises

pourcombler ceslacunes et pour lever les contradictions.

1) Voir e.a. J. C. Bertsch, Z. Eis u. Kàlte Ind. 1913, 139; J. E. Stare, Ice and Kefng. 1912, 125, 352. J. Hybl. Z. Eis und Kàlte Ind. 1913, 120, etc.

(8)

PREMIÈRE PARTIE.

Discussion des mesures faites

précédemment.

§

1. Méthode.

Les

propriétés thermodynamiques

d'un gaz

peuvent

être calculées si on connait son

équation

d'état et la chaleur

spécifique

en un

point

de

chaque

isotherme. Car

l'équation

d'état contient sous

forme

implicite

les

propriétés

de la vapeur saturée. Elle nous

permet

de calculer la chaleur de

vaporisation

et la variation de

la chaleur

spécifique

sur une isotherme en sorte

qu'on peut

déduire la chaleur

spécifique

du

liquide

de celle de la vapeur et inversement. A l'aide de

l'équation

d'état on peut donc comparer toutes les mesures des

propriétés thermiques

et

calorimétriques

dans un

système

cohérent.

Quoique

cette méthode soit la

plus générale

ce n'est pas celle dont nous nous servirons. D'abordune

équation

d'état

qui représente

exactement les résultats des

expériences

est forcément

compliquée

et

puis

le calcul des

grandeurs

saturées offredesdifficultés numéri¬

ques

énormes;

c'est pour

cela,

que nous allons d'une

part.établir

une

équation plus simple qui représente

l'état gazeux aussi bien que

possible,

et de l'autre étudier

séparément

les

pressions

de

la vapeur

saturée,

la densité du

liquide

et leschaleurs

spécifiques

du gaz et du

liquide *).

§

2.

L'équation

d'état.

Jusqu'à présent

aucunedes

équations

d'état

fondées

surdes théories du mécanisme intérieur des gaz, n'apu

représenter

les observations

assez bien pour

qu'elle

soit utilisable pour les calculs

numériques.

!) Depuis lecommencement de cette étudeunerechercheanalogueaétépubliée par 6. A. Goodenough et W. M. EarlMosherUniv ofIllinoisBull.n°.66,1913.

(9)

Mais

quand

il

s'agit

de

différentiations,

il est nécessaire d'avoir des

expressions analytiques

pour les résultats des

expériences

Faute de mieux on est forcé de se contenter de formules

empiri¬

ques. M. H. Kamerlingh Onnes a fait une étude très détaillée de la forme d'une telle

équation.

Il a trouvé queles observations

sur

l'hydrogène, l'oxygène, l'azote,

l'éther et

l'isopentane peuvent

être

représentées

par un

polynôme

de la forme:

=t 1+i

v

a Kfi

t.4 -¥+*%\ (i)

ou p,v et t sont la

pression réduite,

le volume réduitetla

tempé¬

rature

réduite,

Kk

=

BTk

Pk vk

(2)

ou R est la constante des gaz,

Tk,

pk, vk la

température critique absolue,

la

pression

et le volume

critiques

d'une

molécule-gramme.

Les coefficients

3B, C, 3D,

et

iF, appelés

coefficients du

viriel,

sont des fonctions de la

température

de la forme:

B=

bj

+

-j-

t2 j_"^

h.

f4 _u~l_

bA

(3)

La constante

K^

a été introduite pour éliminer le volume

critique

de la

formule,

parce

qu'

unedétermination directeet

précise

de cette

grandeur

n'est

guère possible.

Les valeurs des coefficients pour un gaz

fictif, qui

se

comporte

comme la moyenne des

cinq

gaz

cités,

sontréuniesdans letableau I.

TABLEAU I.

1 2 3 4 5

lu8 b 117,796 228,038 172,891 72,765 3,1718 10* i 135,580 135,788 295,908 160,949 51,1090 lu5 b 66,0235 19,9678 137,1572 55,8508 27,1218

•10' t 179,9908 648,5830 490,6830 97,9402 4,58195 10» f 142,3482 547,2487 508,5362 127,7356 12,21046

(10)

Ces nombres ont été obtenus par le

procédé

suivant. On a

calculé d'abord les

coefficients du

viriel

réduits

pour

chaque

isotherme

expérimentale

de chacun de ces gaz,

puis

on a calculé

des formules

représentant

ces coefficients en fonction de la

température

réduite.

Comme cette

équation

est la moyenne pour

cinq

gaz et

repré¬

sente très bien leurs

propriétés,

il est

probable qu'elle peut donner,

entre les limites de validité de la loi des états

correspondants,

une bonne

approximation

pour

l'ammoniaque

et le chlorure de

méthyle.

Voici une liste des valeurs

numériques

des coefficients du viriel

en

quelques points

de la

région

des

températures

réduites

qui

nous intéresse:

TABLEAU

II.

t , <£ ai 0 £

0,500

2,397079

0,689378 0,0136472

0,0,101473

0,0618030

0,525 2,053138 0,551001 0,0102974

0,0478318

0,0615326

0,550 1,778132 0,447215

0,0,793153 0,0461300

0,0612634

0,575 1,555130

0,368093

0,0,623051 0,0448661

0,0610197 0,600

1,371963 0,306858

0,0,498617 0,0439189

0,078104

0,650 1,091983 0,218584

0,0,336067 0,0426587

0,0,4961

0,700 0,890831 0,165025

0,0,240330 0,0419203

0,0,2982

0,800

0,627141

0,101610

0,0,140352 0,0412064

0,0,1239 0,900

0,465897

0,069150

0,0,91400 0,059278

0,08959 1,000

0,359070 0,050776

0,0,62372 0,068043

0,071189

1,100 0,283885 0,039547

0,0,42644 0,057359

0,071523

1,200 0,228452 0,032265

0,0,28013 0,0,6852

0,0,1805

Pour discuter les

propriétés

d'un gaz

quelconque

à l'aide de

l'équation (1)

il faut connaître ses

grandeurs critiques.

Les résultats de

quelques

déterminations du

point critique

se

trouvent dans le tableau III. La

pression

pk est

exprimée

en

atmosphères

internationales de 76cm.demercure, la

température

tk

en

degrés centigrades.

(11)

TABLEAU III.

AMMONIAQUE.

Pk

'

h

115.0 113

1096 111.3 112.30

130°.0 131.0 132.53 132.3 132.10 132.90 C. Vincent et J. Chappuis ') . .

F. E. C. Schbffer

E. Cardoso et Mlle A. Giltay .

CHLORURE DE MÉTHYLE.

C Vincent et J. Chappuis') . .

M. Centnerszwers) . . ...

73 65.38 65.93

65.85

141°.5 143.0 143.12 143.0 143.2

Je me suis servides valeurs obtenues parCardosoetMlle Giltay et par Brinkman.

Ammoniaque: tk

= 132°.90 C.

(405°.99 abs.) pk

= 112.30atm.

Chlorurede

méthyle: tk=

143°.12 C.

(416.21°abs.)pk=

65.93atm.

J'ai dit

plus

hautquenous nous

proposions

de

représenter

parune

équation

les

propriétés

de l'état gazeux

seulement, j'ajoute

iciune

seconde restriction: nous ne chercheronsla

représentation

quepour la

région

de

pressions

et de

températures employées généralement

dans l'industrie c. a.d. des

températures

entre —40° C. et 100°

C,

des

pressions

au dessous de 30

atmosphères

pour

l'ammoniaque

et

de 20

atmosphères

pour le chlorure de

méthyle.

Alora notre

équation

se

simplifie

énormément. S'il

s'agit

de

pressions

inférieures aux

pressions

dites on

peut négliger

les

termes en

D,

<f et £ de sorte que

l'équation

devient:

_ = t

|

! +

,__» +,_*_!.

p v et t sont

toujours exprimés

en

grandeurs

réduites. Il sera

avantageux d'introduire

de nouvelles

unités, l'atmosphère,

le

degré centigrade

et le volume normal

théorique,

c'est le volume que le gaz

occuperait

à 0° C. et sous une

atmosphère,

si à

partir

de

l'état gazeux

parfait

il obéissait à la loi de Mariotte.

(12)

Cette unité a le

grand avantage

de contenir le même nombre de molécules pour tous les gaz. Le volume normal

théorique

de

la

molécule-gramme

est

toujours 22,412

litres.

pv=

BT\\

+- -r- -1

»2i'

38

ph

E=

1

Pk 273.09

B

Si nos deux gaz se

comportaient

conformément à

l'équation

moyenne, les valeurs de B et C aux différentes

températures

seraient:

TABLEAU IV.

t B . 10* C . 106 B . 104 C 106

NH3 NH„ CH3C). CH3Cl.

40°C 207 65.0 388 220

30 183 54.4 344 185

-20 464 46.3 305 175

10 147 38.9 - 273 132

0 132 33.5 247 112

10 119 29.3 224 98,2

20 109 25.8 ' - 203 86,5

30 100 23.0 - 185 76,4

40 91 20.4 170 67,8

60 78 16.3 144 54,0

80 67 13.5 125 44,3

100 58 11.4 109 37,4

Pour la vapeur saturée de

l'ammoniaque

le terme —y serait environ

0,4 %

à 40°

C, 0,07 %

à 0° C. et

0,004 %

à —40° C.

Pour le chlorure de

méthyle

ce terme serait environ une fois et demie

plus grande.

Pour discuter les mesures

qui

se

rapportent

à

l'équation d'état, j'ai

admis

qu'une équation

de la forme A

puisse représenter

ces

mesures et

j'ai

calculé B et C en fonction de la

température.

Les calculs se

simplifient

souvent

beaucoup quand

on écrit

l'équation

d'état sous une autre forme:

Vv=BT l

+ TTB {B T) •y

2 B3—

{B T)3

3 BC

(13)

'

pv

7>p

~

RT +

(2dT)2

*'

D.

Il ne faut pas oublier que le terme du troisième

degré

n'entre

pas dans la

représentation pv=f(

).

Il n'en est

plus

ainsi dans

l'équation

pv =

f (p).

Dans la

région

de

pressions

dans

laquelle

unefonctiondu second

degré

pv=

f (

I

peut représenter

les

observations,

il faut

prendre

une

équation

du

troisième

degré

de la forme pv=

f (p).

D'après l'équation

moyenne le terme en

p3

serait

égal

à

0,25 %

de pv à

40° C,

1

% à

60°

0.

et 2

%

à

80° C

, pour la vapeur

d'ammoniaque

saturée. Il faut donc

préférer

la

représentation

pv=

f (ir)à Pv=f (p)-

§

3. Les mesures sur

l'ammoniaque.

Dans leur mémoire sur la détermination du

poids atomique

de

quelques

corps M.M. Ph. A. Guye et A.

Pistza

donnent les résultats de leurs mesures du

poids

du litre normal

d'ammoniaque.

Ils se servaient de la méthode du ballon et ils trouvaient

0,7708

gr. Cette valeur aétéconfirmée

remarquablement

par les recherches de E. P. Perman et J. H. Davies

qui

trouvaient comme valeur

moyenne de leurs

expériences 0,77085

gr. le litre.

A.

Jaquerod

et O. Scheuer ont déterminé la

compressibilité

à 0°. La formule D nous

permet

de déduire la valeur de B de 1 ———, si l'on

prend

en

première approximation

la valeur de

Po^o

C de

l'équation

moyenne. On trouve B=

—0,0149

et il en résulte

1,3172

litre pour le volumenormal

théorique

d'un gramme.

Cette valeur diffère de

0,1 %

du chiffre

1,3160

déduit des

poids atomiques.

Dans la seconde

partie j'ai poursuivi qualitative¬

ment la cause de cette différence mais

je

n'ai pas réussi à la

corriger quantitativement.

Seulement la valeur

1,3172

est en

meilleur accord avec les

pesées

du ballon de Perman et Davies

(14)

à

quelques

autres

températures.

Dans le tableau V la troisième

colonne

contient les

valeurs de B

calculées

avec la valeur

1,3172,

la

quatrième

avec

1,3160.

Les résultats de mesures à 50° et

100° 0. m'ont conduit à donner la

préférence

à la valeur

1,3172.

TABLEAU V.

t Litre par gramme B B'

20° C.

1,19575

0,0186 0.0177

50

1,5473

0083 0073

100

1,7964

0024 0010

On a encore déterminé la

compressibilité

à

quelques tempéra¬

tures

plus

élevées. Tous ces déterminationssaufcelle deRegnatjlt

se-

placent

fort bien sur une courbe continue.

TABLEAU VI.

t B

V. Regnault

')....

8M

0,0197

16° 0,0122

Lord Rayleigh .... 10.3 0,0132

9.2

0,0128

9.6

0,0128

9.8

0,0125

A. Jaquebod et 1 . . . 0. SCHEUER .) . . .

11.91 0.0128

15.71 0,0124

Une autre série de valeurs de B

peut

être déduite des

mesures du coefficient de

compressibilité

de

l'ammoniaque

de

Perman et Davies.

t B

20

—0,0225

20 - 0101

40 0082

60 0064

80 - 0059

98.1 0045

(15)

Ces

valeurs ne

correspondent

pas très bien avec celles obtenues par la méthode du ballon

(tableau V).

Mais ces mesures sous

faibles

pressions

ne sont pas très

appropriées

à la détermination de

B.

Dans la

figure

I sont

représentées

les valeurs individuelles de B calculées

d'après

les

expériences

et la courbe B=

f (f) d'après l'équation

d'état moyenne. Elle contient encore deux

points

£=

—0,0105

à

29°,5

C. et B=

-0,0039

à

99°.6

C. déduites des

isothermes

de F. Roth.

B

OOtQ

mWO FIG I

O O/S

o\»o

*

B ME B IN0

IN REDUGEDl IVlDUAt. AMM{

IUATI0N MA

00!0 -oA.

O OOS

°od ^

3*23~~~~~^

-50 -25 O 25 50 75

^ a

»*- PO

roo t

M.

C.

Dieterici et H. Drewes ont

déterminé

le volume

spéci¬

fique

de la vapeur saturée entre 0 et 100° C.

Aux

pressions

inférieures à 40 atm. on

pourrait

utiliser leurs

mesures pour calculer C à l'aide de la valeur de B de lacourbe par les

points

des autres observateurs. Mais

malheureusement

aux

températures

au dessus de 20° C B n'est pas connu assez exactement.

Il en résulte la nécessité de la détermination de

quelques

isothermes pour calculer B et C. On voit

qu'aux températures

au

dessous de zéro une détermination de B

suffira,

C ne

jouant

qu'un

rôle secondaire.

(16)

§

4. Le chlorure de

méthyle.

Au dessus de 70° C. on

possède

deux séries

complètes

d'isother¬

mes déterminées par J. P. Kuenen et C. H. Brinkman. Une étude

comparative

des résultats de ces deux

physiciens

montreque le chlorure de

méthyle

étudiépar Brinkman était

presqu'

absolument

pur; d'autre

part

il y a des

irrégularités

dans les valeurs de pv de

Brinkman, qui

ne se trouvent pas chez Kuenen. Dans le tableau suivant sont contenues les valeurs

approximatives

de B déduites de leurs isothermes

TABLEAU VIL

t

BB BK

70° O 0,0116 0,0131

85 0,0110 0,0121 100 0,0102

0,0110

115

0,0094

0,0098

On

peut

remarquer

qu'il

y a une différence

systématique

entre

les deux séries

A.

Leduc,

H. KamerlinghOnnesetC.

Zakrzewski,

G.

Baume,

ont déterminé la

compressibilifé

à 16°

C,

20° C et C. resp.

TABLEAU VIII.

t B

Leduc K. O. and Z

16° C.

20 0

0,0206

0,0185

0,0212

Les résultats de Kamerlingh Onnes et Zakrzewski concor¬

dent avec ceux de

Brinkman,

tandis que le

point

obtenu par Leduc se trouve sur la

courbe, qui

passe par les

points

de

Kuenen.

Baume a trouvé pour le

poids

du litrenormal

2,3045

grammes.

Le volume

théorique

normal d'un gramme calculé à

partir

des

(17)

observations de Baume est

égal à 0,44353 Litres,

tandis

qu'on

tire

0,44393

des

poids atomiques.

B.

FI G II

003

\

B ME 3 IM

(N «EOuCED E(

IVIDUAL METHr UATION

CtuORiDt

O Oî b"' ^^V*é

OOt

K(i~Z~-4.

~

~-^>

Br --a-^

-£~- X.

-SO 23 O 25 SO 75 roo C

Il sera donc nécessaire de faire

quelques

nouvellesdéterminations pour décider entre les deux sériesdiscordanteset

quelques

mesures

aux

températures

au dessous de zéro.

§

5. La densité du

liquide.

L. Caillbtbt et E. Mathias ont

développé

une excellente

méthode pour discuter la densité du

liquide

sous la

pression

de

la vapeur saturée.

Quand

on trace une courbe

qui représente

la

densité du

liquide

et de la vapeur saturée en fonction de la

température,

on voit que les moyennes de cesdensitésenfonction de la

température

se trouvent très sensiblement sur une

droite, qui

passe par le

point critique.

Dans le

diagramme

réduit une seule courbe

représenterait

les

faits si la loi des états

correspondants s'appliquait

d'une manière

rigoureuse.

En réalité on obtient une série de courbes

qui

s'emboîtent nettement les unes dans les autres.

(18)

Nous allons

comparer

les courbes pour

l'ammoniaque

et le

chlorure de

méthyle

avec celles de W. Ramsay et S. Youhg

pour l'éther et de Young pour

l'isopentane.

La densité

critique

de

l'ammoniaque peut

être calculéeen

partant

des mesures de C. Dieterici et H.

Drewes, qui

ont déterminé

i p.

15

'*'^— ^^"

^r

figue

i.y

. AMMON I

+ MtrHÏL A :hlorioe

f

«&£^^^

ï^è^^^

\

10 09 08

T T.

les densités du

liquide

et de la vapeur à

quelques températures

entre 0° et 100° C. On en déduit par la méthode du diamètre

rectiligne

loK=

0,2â8.

Pour le chlorure de

méthyle

Brinkman trouve par la méthode du diamètrepK=

0,353.

(19)

M. Centnerszwer indique

pK=

0,370,

tandis que la détermination directe de Kuenen donne une valeur

approximative

p#=

0,345.

J'ai

dessiné le

diagramme

des diamètres réduits en me servant des observations de C. Dieterioi et A. Lange pour

l'ammoniaque,

de

Kuenen,

Brinkman et C. Vincent et Delachanal pour le chlorure de

méthyle.

Lesmesuresdesdifférents

expérimentateurs

concordentassez bien.

On

en

peut

déduire sans

peine

les valeurs de la densité du

liquide

entre + 40° et 40° C.

Dans la seconde

partie je

donne les densités du

liquide

inter¬

polées

et

extrapolées graphiquement

à l'aide de cette courbe

Les valeurs sont

probablement

exactes à 1

% près,

desorte

qu'une

nouvelle détermination

peut

être considérée comme

superflue.

§

6. La

pression

de la vapeur saturée.

Pour discuter les différentes observations sur la tension de la vapeur le

diagramme log

p=

f ( -=-1

esttrès commode. Lacourbe est en

première approximation

une droite

qui

passe par le

point critique

:

ou

f

est une constante.

Calculant sur la base des observations deRegnaultla

grandeur f

pour la

droite, qui

passe par le

point critique

et0° C.on obtient:

pour

l'ammoniaque f

=

2,9284

pour le chlorure de

méthyle f

=

2,7124

Dans le tableau IX on trouve les résultats des observations de V.

Regnault,

A.

Blumcke,

0. Brill et J. H. Davies sur

l'ammoniaque.

Les nombres donnés par R.Pictetsont

probablement empruntés

à Regnault et non pas le résultat d'une nouvelle détermination.

On voit

qu'il

y a un écart

systématique

entre les deux séries

d'observations de Regnault aux

températures

au dessus de zéro.

Dans la

première

série il se servait d'un manomètre

ouvert,

dans la seconde d'un manomètre fermé à air

comprimé.

Les déter¬

minations de Blûhcke concordent très bien avec les résultats des

mesures de

Regnault

avec le manomètre terme.

(20)

M

1-1«i

m

EH

:alc.

»< ^-4^<m(Mt-Oicoeo00mot-mCO•r*O05CDCO*O•*00coo>^in«*COr~O1—oco*COt-COCOr~inmCOCDmin*tho1co^co•*•a^Ol>*CMco1Oo.oOoO-*OoooooooooOOo

1

oooooCMCMCMCM(M

1

C5o'o"oo'Ooo"o'ooo"o'oo'o'o'o"o'o'o'O-oo"o'©Oo'oOo'o'

42Oa,

+ 1 1 1 1 1 1 + 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 + + + + + + + + + + +

.2ai

't*

va)00O0000l>t^«o*""coSérCiCOa^mo0000oin*oo00CMmoT*T->mmC--in

CMt^00o«*•*t-oI>"*v*00i^oo«*incoCMCMCMo0000ot^00t~t*00CM

cd

a, oscmo_^(MmCD00oT^^

co.00r->l>oo0000e><M«**•*t^cor-

00_>rtt-iooCO -*cm"cmcm'ai«jm'a;

<n"CMaiai«*«*inm'ininCDCDt>«"oiCM

mi CO

CDtuEMOQ

H

1

J^4r-inmotr~00CD

B

co<#COinot-t^00**o>ooCOor~CD«*coOCMoa>oCM

Omes ocm*oOan^"o00t^(M<Mco-*enO00oCM«*CM(Ni*coCMt^CMœoaijaCMo^-^-,m«Or^O<

t-;o_o_COCOCOcoœCBr~>00CMCM«*inmt-coOo«*min

a,•«*<MCMcmaisi*m'cmci>**'ininiriirico"t-'00*oo'oCM

1coo:00awr~>CMCDt^00COr~T"*or-metCMIIcoCM>*inCMCMmo>como1o!>•lOoœt^OCO"*.CO•*l>CDcoco«*w

1

lges

C0#co.•**.mthCMCMcoc^

o'00coCD-co'cmco'*'O*J^-'l>t-^oiai00o'oo'o'COt^*oo^^co'esOSiriCM

-*^*^*•**^*COCOcoa*CM<NCM^-<^h^->T*^t^*t-"•^CM00

1 1 1 1 1 + + 1 1 1 1 1 1 1 T 1 1 1 +

(21)

t. Pobs. ^calc. i'obs. ^calc.

Regnault. Troisième Série. Manomètre ouvert.

25.70 1.471 1.490 0.019

25.84 1.443 1.480 0.037

23.92 1.562 1.612 0.050

—18.31 1.999 2.053 0.054

18.10 2.013 2.071 -0.058

16.17 2.197 2.245 0.048

13.15 2.458 2.541 0.083

13.55 2.447 2.500 0.053

9.21 2.924 2.974 0.050

5.03 3.421 3.496 0.075

0.10 4.157 4.204 0.047

+ 6.24 5.216 5.279 ~0.063

Kegnaxjlt. Troisième Série. Manomètre fermé.

9.98 5.987 6.009 0.022

14.38 6.976 6.967 +0.009

19.70 8.313 8.283 +0.030

30.49 11.583 11.548 +0.035

38.90 14.784 14.726 +0.059

48.93 19.303 19.353 0.050

55.47 22.808 22.922 0.114

64.35 28.447 28.541 0.094

73 32 35.218 35.211 +0.007

81.72 42.330 42.456 0.126

BlÛMCKE.

18.5 1.91 2.04 0.13

0 4.22 4.22 0.

34.0 12.80 12.80 0.

63.5 28.04 27.96 +0.08

Brill.

50.7 0.407 0.429 0.022

46.2 0.531 0.548 0.017

45.0 0.575 0.584 0.009

41.5 0.687 0.700 0.013

39.8 0.748 0.763 0.015

38.2 0.803 0.827 0.024

33.0 1001 1.064 0.063

Davies.

49.8 0.392 0.451 0.059

41.0 0.699 0.718 0.019

30.0 1.141 1.225 0.084

20.0 1.833 1.911 0.078

15.0 2.271 2.356 0085

10.0 2.824 2.883 0.059

5.0

*

3.443 3.500 0.057

(22)

Au dessous de 0° C. il y a de nouveau une

petite

différence

systématique

entre les observations de Regnault et

Davies

et

encore entre celles de Davies et Brill.

LOG P

O 6

/

01

FIG N

02

0

/

Z

fi 98

/ .'

•96

REGNAUL OAVies BBILL

r

0.004 S 0.0043 0.0041 0 0039 0 0037 .T

La différence entre Regnault et Davies

peut

être

expliquée

par une erreur de

0,2°

C. sur la

température.

(23)

La

figure

IV

représente log

p en fonction de -= au dessous de 0° C.

On voit

qu'il

sera nécessaire de faire

quelques

mesures dans

cette

région

des

températures

à fin de choisir entre les résultats.

Aux

températures plus

élevées il fallait déterminer la tension de la vapeur en

quelques points

pour décider entre les deux séries de Regnault.

V.

Regnault,

C. Vincent et

Chappuis,

J. P.

Kuenen,

C. H.

Brinkman, Ch.

M. A.

Hartman,

H. Kamerlingh Onnes et C. Zakrzewski ont fait des déterminations dela

pression

maximale

de la vapeur du chlorure de

méthyle.

Les résultats de leurs

observations et leurs différences avec les valeurs calculées

d'après

la formule de van der Waals sont

consignés

au tableau X.

TABLEAUX X

t Pohs. Pcalc. _Pcalc. ^obs.

Vincent

et

Chappuis.

35 7.50 7.37 013

40 8.75 8.43 0.32

50 11.20 10.91 0.31

60 14.30 13.88 0.42

70 17.87 17.42 0.45

80 22.15 21.60 055

90 27.65 2646 1.19

100 33.90 3205 1.85

110 41.00 38.44 2.56

120 49.80 4567 4.13

130 61.00 53.82 7.18

135 65.00 58.26 674

140 70.60 62.91 7.69

141 72.00 63.90 8.10

(24)

1 1

H*.t-à-*a-iJ*k^> cote00(^to00œ03O00~4-JutinOO'to*toO*•ootO *•oOtAotototo00too^t^ OtetoO'otteo>teente

M s

tS w t-1osW*•03kAwIf*wte•-^ tsoOtOwh^^te OttO 00OSen**•i^*-00 taZOtrioO!oto01^a*•to*

O

ta

w

>

w

BritaXiQa es 00aw- CB>> taa SiCTt03teNJ»Ht03to^.oot»-03coto03^j*•to*-3 OttoW*00tOoto#•«ttoOo* *^toOt03Ooo*-oOJto-J

ZEW8KI 1 1 i + + + + + + + + + +

ooO*A.-^•^N^o^>oo-A.o ooote*..*•~-l00CO~-la>Otoo*tototeot^0503ooto cecotot-^H^>

1 1 1 1 1 1

te

1

to

1

10

1

te

1

o03OSO*o*•oo»**•tot-^to#O)to 00otOw~aOtI03oH*.eOt~atono~.tVJo0303to00O)

1

toteteto00Ot#^jo ~4Ot*03tetote^^N*oo©

^

*•tetoo>to*H^*.AOote00"-aO OSOttenoOii^-toteenen*jce00OSOt~Jtooi-*00tote00*•»4O'to00*03^03 m 0 d tri H ^osOt03toteteoOo 03enteeuOttot.^00enteooto00*Jteo03onotetoco-Jen*Jotoen0000Oto^100en00otco00—3^O"co*00te "8 ta

1 1 + + 1 1 1 + + + 1 ++++++

aie ooOoooooooOoooooo

I

1-^1-^Ooor>Ioooooooooo •J.t^Ottetete

1

esoo^H^ *>*.oOS*OSOSte03*^oOSOt**O

(25)

À l'exception

des résultats obtenus par VincentetChappuis la concordance est satisfaisante.Malheureusement Regnaultseservait d'un thermomètre à mercuredontil n'avait déterminéles corrections

qu'aux températures supérieures

à 100° C. Cette correction

peut

atteindre à

0,3°

à —30° C. Mais elle est très incertaine. J'aidonc

préféré

faire

quelques

nouvelles déterminations que l'on trouvera dans la seconde

partie.

§

7. La chaleur de

vaporisation.

Dans son mémoire de 1871 sauvé des ruines desonlaboratoire Regnault a

publié

les résultats de 12déterminations de la chaleur de

vaporisation

de

l'ammoniaque.

Il ne donne pas cette

grandeur

elle même mais une

quantité

dont on

peut

la tirer

quand

on

connait la chaleur

spécifique

du

liquide.

Maintenant que Dieterici

a déterminé cette dernière

quantité

on

peut

utiliser les résultats de Regnault.

TABLEAU XL

t. A Regnault. Corr. A

Corr.

10.90 292.5 1.7 294.2

15.53 291.5 1.0 292.5

16.00 297.4 1.0 298.4

12.94 289.6 1.8 291.4

11.90 289.9 2.5 292.4

10.72 288.2 6.6 294.8

11.04 291.3 4.6 2959

10.15 288.4 7.4 295.8

9.52 2937 6.5 300.2

10.99 294.7 4.4 299.1

12.60 291.6 5.4 297.0

780 294.2 2.9 297.1

Les observations ne sont pas assez exactes pour donner A en fonction de la

température

mais la valeur moyenne

295,7

cal.

à 11°.67 ne

peut

pas être très

éloignée

de la vérité.

H.

von

Strombeck,

E. C. Franklin et C. A.

Kraus,

T. Est-

rbicher et A. Schnerr ont aussi lait des mesures directes de la chaleur de

vaporisation.

(26)

TABLEAU XII.

t. X

17.°C. 296.5

Franklin et Kraus . . .

33°.4 341 ESTREICHER et SCHNERR . .

33°.4 321.3

D'autres auteurs ont calculé la chaleur de

vaporisation

à l'aide

de la formule de Clapeyron. Nous

procéderons

de la mêmemanière.

On trouvera les résultats de ces calculs dans la seconde

partie.

Une

seule détermination directe de la chaleur de

vaporisation

du chlorure de

méthyle

à 0° C. a été faite par J. Chappuis au

moyen du calorimètre de Bunsen. Il a trouvé A =96.9 cal.

Nous calculerons cette

grandeur

à

partir

de nos observations.

§

8. La chaleur

spécifique

du

liquide.

Une étude

systématique

de la chaleur

spécifique

de

l'ammoniaque liquide

enfonctionde la

température

aété

entreprise

par

C.

Dieterici et H. Drewes. Entre 0° et 70° leurs résultats

expérimentaux peuvent

se

représenter

par

l'équation

:

d

=

1,118 +

0.00208 *

C. Ludeking et J. E.

Starr,

L. A. Elleau et W. D. Ennis

trouvaient des valeurs

plus petites

tandis que les observations de H. v. Strombeck concordent très bien avec celles de Dieterici.

TABLEAU XIII.

t. C.

Ludekinget Starr .... 016 0.878

2646 0.894

Elleau et Ennis .... 10 1.021

v. Strombeck ... . . 33- 62 1.229

(27)

Au dessous de 0°C. les observations font défaut de sorte

qu'il

est nécessaire

d'y

faire

quelques

mesures.

Pour le chlorure de

méthyle,

la chaleur

spécifique

du

liquide

n'a pas encore été mesurée.

§

9. Chaleur

spécifique

de la vapeur

W. Nernst a discuté récemment les mesures de la chaleur

spécifique

du gaz

ammoniaque

La formule suivante contient les résultatsdesespropresmesures combinées avec celles de

Voller,

F.

Keutel,

V". Regnault et E. Wiedemann:

C°p

=

0,506

+

0,000117

+

0,423^.

La

plus grande

différence entre les valeurs observées et cal¬

culées est inférieure à 3

%.

Dans la thèse de Keutel on trouve encore une discussion des

mesures antérieures de A.

Cazin,

A. Wullner et P. A. Muller.

Les résultats de Wullner s'accordent très bien avec la formule de Nernst.

On

.peut

déduire encore la chaleur

spécifique

des mesures de

Wobsa sur l'effet Joule-Kelvin. Je me propose de revenir sur

ces mesures dans la seconde

partie.

P. A. Muller et J. W. Capstick ont mesuré le

rapport

des

chaleurs

spécifiques

du chlorure de

méthyle.

Muller k = 1.199 Capstick k= 1.219.

La valeur de Capstick est

préférable

à l'autre

(Voir Keutel).

Il estdonc nécessaire de faire une détermination de la chaleur

spécifique

en fonction de la

température.

§

10. Résumé.

Cette étude

critique

nous a donc démontré la nécessité d'une

série de mesures nouvelles

ayant

trait aux

points

suivants.

Pour

l'ammoniaque:

1.

Quelques

isothermes entre 20° et 100° C.

Abbildung

TABLEAU I. 1 2 3 4 5 lu8 b 117,796 — 228,038 — 172,891 — 72,765 — 3,1718 10* i 135,580 — 135,788 295,908 160,949 51,1090 lu5 b 66,0235 — 19,9678 — 137,1572 55,8508 — 27,1218 •10' t — 179,9908 648,5830 — 490,6830 97,9402 4,58195 10» f 142,3482 — 547,2487 50
TABLEAU III. AMMONIAQUE. Pk ' h 115.0 113 109 6 111.3 112.30 130°.0131.0132.53132.3 132.10 132.90C
TABLEAU VI. t B V. Regnault ').... 8M — 0,0197 16° — 0,0122 Lord Rayleigh .... 10.3 — 0,0132 — 9.2 — 0,0128 — 9.6 — 0,0128 — 9.8 — 0,0125 A
TABLEAU VIL t BB BK 70° O — 0,0116 — 0,0131 85 — 0,0110 — 0,0121 100 — 0,0102 — 0,0110 115 — 0,0094 — 0,0098
+7

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