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Peut-on entendre la forme d'un tambour ?

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(1)Peut-on entendre la forme d'un tambour ?. Autor(en):. Jolissaint, Paul. Objekttyp:. Article. Zeitschrift:. Actes de la Société jurassienne d'émulation. Band (Jahr): 101 (1998). PDF erstellt am:. 29.01.2022. Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-684437. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) Peut-on entendre la forme d'un tambour? Par Paul Jolissaint Le titre de l'article est la traduction de celui de Mark Kac [4]: «Can one hear the shape of a drum?» qui eut dans la communauté mathématique un succès certain. Il ne s'agit toutefois pas de proposer ici une traduction de cet article, mais de rappeler quelques résultats qu'il contient et de présenter et commenter la réponse à la question du titre, connue depuis 1992 seulement. Afin d'éviter tout malentendu, la forme des tamhours dont il sera question ici est la forme des membranes vibrantes, et non pas la forme tridimensionnelle des tambours comme on pourrait le croire c/ prion.. PRÉLIMINAIRES Lorsqu'on frappe la membrane d'un tambour, on la déforme momentanément, et elle cherche à retrouver sa position d'équilibre sous l'effet de la tension qu'elle subit. C'est analogue au mouvement d'un pendule que l'on dévie de sa position d'équilibre. La déformation de la membrane est très petite, c'est pourquoi on supposera que le déplacement de chaque point de celle-ci est perpe«r/ic«/oire au plan contenant la membrane. Nous allons rappeler la description mathématique du mouvement de la membrane : la surface sera désignée par 12 et représentée par une région bornée dans un système d'axes Oxy ; on désignera par T le bord de Q (cf figure On désigne également par « (x, y, t) l'écart à l'équilibre du point (x, y) de la membrane au temps t. Nous allons rappeler les contraintes (équa1. 33.

(3) (1) Puisque la membrane est fixée au bord du tambour, on. «ir. a. o.. (Lire: «la restriction de. « à. T est égale. à. 0».). (2) Lin point (x, y) de la membrane subit une force de rappel qui, intuitivement, sera d'autant plus grande que la tension de la peau sera importante, et que la courbure de la membrane au voisinage de (x, y) sera grande. De façon précise, en appliquant la loi de Newton, h obéit à l'équation. d'onde: 1. 9"«. 3-M. 3f*~". 3^*. 3"«. V F/p, F désignant la tension de la membrane (force/unité de longueur) et p la masse spécifique superficielle (masse/unité d'aire). Ainsi, v a les dimensions d'une vitesse. 2. Donc Dans cet exposé, on choisit les unités de sorte que voù v. m. (x, y, r) satisfait : 1. 2. oùA. 32 ^—;. +. d" g—r. condition au bord?. 3-«. Au, -vx~= 3F. s'appelle le laplacien (de dimension 2), avec la. wir. 0.. De même que pour une corde vibrante, seules certaines fréquences nombre de vibrations/unité de temps) sont possibles. Pour les déterminer, on cherche les solutions de l'équation ci-dessus qui sont de la forme: « (x, y, (7(x, y) F(?). L'équation d'onde devient:. |[/(x,y) F" (/) et en divisant par F. et par D (x, y), on obtient:. J_ F'YQ 2 F (Y). 34. A(/ (x, y) F (/),. _ ~. At/ (x, y). [/ (x, y) *. '.

(4) qui est une constante puisque le membre de gauche est indépendant de (x, y) et que le membre de droite est indépendant de t. En posant:. T"(f)/7(0 -A, nous sommes donc amenés à résoudre le système:. 7"(0 + ^T(0. 0. et. 1A L (x, y). sans oublier la condition au bord:. + A,L (x, y). 0,. t/ir= 0.. Pour chaque solution 7, la fréquence correspondante est: v =— On démontre alors que les valeurs possibles de croissante. A,-. \. forment une suite. :. 0<. <A„, <iL <... <A. 12. À,,. 3. n. <...,. donné, plusieurs fonctions linéaireet il est possible que pour un ment indépendantes L existent. Les vibrations effectives de la membrane sont des superpositions des modes propres, solutions de l'équation cidessus multipliées par des fonctions du temps adéquates faisant intervenir les fréquences associées. Nous n'insistons pas sur cette question car elle ne joue pas de rôle significatif ici. Ainsi, la traduction mathématique du titre de l'exposé est la suivante: soient £2, et £2, deux régions planes, bornées, dont les bords T, et F, sont suffisamment réguliers. Si les équations:. —. 2. AL (x, y). + A,L (x, y). 0 dans. £2. LIT. 0. et —. 2. A V (x, y) + A,V(x, y). 0 dans £2„ FIT.,. 0. admettent la même suite de valeurs propres (A.^, (on dit alors que fi, et £2, sont Eospecira/es), les domaines £2, et £2, sont-ils isométriques? 35.

(5) DEUX EXEMPLES Nous allons discuter deux cas de formes simples et classiques: les tambours rectangulaire et circulaire.. Tambour rectangulaire Dans ce cas, on prend pour Q. :. {(x, y); 0 < X < A et 0 < y < R}. £2. :. En utilisant la méthode de séparation des variables (on considère des fonctions t/ de la forme: [/ (x, y) X(x) L(y)), on obtient:. \ A-. *. avec fc, / entiers > 1. (Les solutions duits de fonctions sinus.). L. "2. 5-. /. '. correspondantes sont des pro-. Tambour circulaire Appelons. 7?. le rayon du tambour. Ainsi,. Q On écrit les solutions quation devient: 3*£/. 37. (x,. t/. y) ; v/ x~ + y- < R. à. l'aide des coordonnées polaires (r,9); l'é-. 1. OL/. * r. 3r. *. ^. 730^. '. et. f/(R,0). 0 V0.. On écrit (/(r,9) 7(0) 7(r), et on trouve une suite de fonctions de avec n entier, et pour chaque valeur de n fixée, 0(7. ^. 7(r) C7 (V^r),. où C, est une constante et où désigne la n-ième fonction de Bessel (ces fonctions présentent de nombreuses analogies avec les fonctions trigonométriques). La condition 7 (R) 0 devient: 36.

(6) y (V2ÄJ Ä). O,. donc les valeurs possibles de X correspondent dans ce cas aux racines positives de l'équation: •/„ (z). 0.. Il y en a une infinité pour chaque n > 0: z<">, z <">,. Les premières valeurs approximatives des zl"> sont données dans le tableau suivant, où les lignes décrivent l'indice « et les colonnes l'indice y:. y'\«. 0. 1. 2. 3. 1. 2,404 5,520 8,654 11,792. 3,832 7,016 10,173 13,323. 5,135 8,417 11,620 14,796. 6,379 9,760 13,017 16,224. 2 3. 4. Pour n > 0 fixé et y. ». on a la formule asymptotique :. (2 n. z/"' 4. Enfin,' de V. 1,. -. 1. + 4y). -. 4n~ je. (2n. -. 1. 1. + 4 y). z.'"\ on déduit: 2X.= j y. pour n > 0 et y >. 1.. QUE PEUT-ON «ENTENDRE»? Le problème posé par M. Kac est très intéressant car, en étant un peu moins ambitieux, il signifie ceci: à partir d'une information analytique sur £2 (la connaissance des que peut-on obtenir comme information géométrique sur £2? Nous allons voir que l'on obtient au moins deux informations géométriques :. Ij,. 37.

(7) a) On peut entendre. l'aire. En fait, en posant A' (X). I£21:. nombre r/e A, < A, on a la formule asympto-. tique: TV. ce qui. (A) ~. A — 2tt. pour A. —». +. oo. signifie: JV(A.). lim X—>. I. — 2ît. À.. + oo. £21. Cette formule a été conjecturée en 1910 par le physicien H. A. Lorentz; Hilbert prédit alors qu'elle ne serait sans doute pas démontrée de son vivant. Malheureusement pour lui, moins de deux ans plus tard, Herman Weyl démontra cette formule en utilisant la théorie des équations intégrales mise au point par Hilbert lui-même Nous allons la vérifier dans le cas d'un rectangle. Pour cela, voyons ce que signifie l'inégalité A. < A, pour À, donné: ici,. (©'+(!)')• donc. Vi ^. //c / VA. \ ^„. '£/. ^. " )'. où D (0, 1—~) désigne le quart de disque de centre 0 et de. A chaque point. rayon^pC. associons le rectangle de côtés 1/A et 1/ß situé en dessous et à gauche de ce point. On obtient, en considérant l'aire de. D(0Â 71. 38.

(8) 2A.. iL 4. A. _ ~. 7t-. 2TÜ. N(X)-}. •. y + O (VI),. où O (VX) représente l'aire des rectangles incomplets touchant l'arc de cercle. Par suite,. lim À.—>. +. 00. ^. 2îl. b) On peut entendre la longueur L de T: On démontre que l'on a la formule asymptotique, valable lorsque /. v n=. ®. -1. ~. 101. Z,. 27t/. 4. —>. 0:. 1. '. 1. Cette formule est plus difficile à obtenir, même dans le cas d'un rectangle. Nous allons cependant voir une application des deux résultats cidessus dans le paragraphe suivant.. CONSÉQUENCE Si un tambour produit la même suite de fréquences qu'un tambour circulaire de rayon /?, alors il est lui aussi circulaire (et de rayon /?): autrement dit, on peut entendre si un tambour est circulaire! Cela découle du paragraphe précédent et de l'inégalité isopérimétrique que nous. présentons maintenant: si C est une courbe fermée, simple, suffisamment régulière de Iongueur L, l'aire A (C) de la région bornée délimitée par C satisfait:. A (C) <. et de plus A (C). A 47t. =^-si et seulement si. C est un cercle (de rayon L/27t).. Nous allons donner une preuve géométrique très jolie de cette inégalité; elle est due au mathématicien suisse Jacob Steiner (1796-1863). 39.

(9) On fixe la longueur L et on considère une courbe C telle que A (C) soit maximale. Ensuite, on procède en trois étapes:. 7" étape C est convexe. :. Sinon, en utilisant des symétries axiales appropriées, on obtiendrait une courbe C' de longueur L enfermant une région telle que A (C') > A (C).. 2" étape: Fixons deux points A et ß sur C de sorte que la longueur de chaque portion de courbe entre A et ß vaille L/2. Alors les deux régions séparées par la corde Aß ont la même aire : en effet, sinon on construit une nouvelle courbe de longueur L en gardant la demi-région ayant la plus grande aire et en prenant son image par la symétrie d'axe Aß (figure 3).. S' étape: C est un cercle. Pour établir cela, considérons une moitié de la région délimitée par C et Aß (figure 4). Soit P un point quelconque de la portion de courbe correspondante. 40.

(10) Fig. 4.. On peut modifier l'aire de la région en faisant pivoter l'arc AP autour de P. Or, l'aire maximale (de la demi-région) est atteinte exactement lorsque l'angle a en P est droit car l'aire du triangle APP 1/2 • AP Pß sin (a)) est maximale dans ce cas. Ceci devant être vrai pour tout P, l'arc AP est un demi-cercle. Il découle de cela que si une région 12 a le même spectre qu'un disque de rayon P, alors la longueur de son bord vaut 27tP, et comme son aire vaut aussi 7tP-, par l'inégalité isopérimétrique, O est un disque (de rayon P). •. RÉPONSE ET COMMENTAIRES. -. -. à la question de M. Kac a été apportée en La réponse négative 1992 par C. Gordon, D. Webb et S. Wolpert dans [3], Les auteurs exhibent deux domaines plans non isométriques mais isospectraux (figure 5). Ce résultat n'est pas très étonnant: remarquons d'abord que la question de Kac se généralise sans difficulté au cas des variétés riemanniennes compactes (sphères, tores,...), car celles-ci admettent un analogue du laplacien A appelé aussi opérateur de Laplace-Beltrami. En 1964 déjà, John Milnor avait exhibé dans l'article [5] ne contenant qu'une seule page deux tores de dimension 16 isospectraux non isométriques (alors que deux tores plats isospectraux de dimension 2 sont automatiquement isométriques: un tel tore s'obtient en recollant les paires de côtés opposés d'un parallélogramme, et celui-ci est déterminé à isométrie près par son aire et les longueurs de ses côtés, grandeurs calculabiés au moyen des A, 41.

(11) Des surfaces de Riemann isospectrales non isométriques avaient été construites par différentes personnes, par exemple: également ^. - M.-F. Vignéras (1980), [7];. -P. Buser (1986), [2],. C'est en s'appuyant sur les exemples de Buser que C. Gordon et ses coauteurs construisirent leurs exemples. Le lecteur peut raisonnablement se demander comment Carolyn Gordon et ses collègues ont vérifié l'isdspectralité des domaines ci-dessus; ont-ils calculé explicitement les valeurs propres des laplaciens associés? En fait, non: ils ont utilisé une méthode générale due à T. Sunada, appelée transplantation, et qui consiste en ceci: les solutions U du problème de Dirichlet. I A£/(;t,. y). +At/(x, y). 0. dans £2,. f/ir. 0. appartiennent toutes à un espace vectoriel noté IL'(£2), et dans le cas des domaines £2, et £2, ci-dessus, on démontre qu'il existe une transformation isométrique (la transplantation). 7: IL'. (£2,) -» VF'. (G,). qui fait correspondre à chaque solution (7, e W' (£2j) associée à la valeur propre A. une solution £/, 7 ((/,) e W (£2J associée à la même valeur propre A et cela sans avoir besoin de connaître explicitement la liste des A! Ceci démontre une fois de plus la puissance d'abstraction des mathématiques. Dans [3], deux autres domaines plans isospectraux et non isométriques plus simples que ceux ci-dessus sont brièvement 42.

(12) discutés; la preuve de leur isospectralité est due à P. Buser et K. Semm1er et ne semble pas avoir été publiée. Il s'agit des domaines suivants:. L'avantage de ces exemples réside dans le fait que la transplantation peut être décrite explicitement: divisons chaque domaine en 7 triangles isocèles rectangles comme sur la figure; soit 17 une solution au problème de Dirichlet pour le domaine de gauche, et désignons par 7/ la restriction de 7/ au triangle numéro,/. On construit alors une solution V au problême de Dirichlet du domaine de droite de la façon suivante (où V. désigne la restriction de V au triangle numéro y):. v,. t/„-[/,+. 1/. =7/5-7/2-^. f/,. y,= 7/,-7/^. + 7/,. 1/5=7/2 +. +. 7/5. +. ^ +. 7/5. n. ^. -7/2 +. 7/2. 7/2. Mentionnons pour terminer que des physiciens ont réalisé des membranes vibrantes ayant les formes ci-dessus à l'aide de films smectiques (cristaux liquides) et ont vérifié expérimentalement leur isospectralité; leurs résultats sont expliqués dans [ 1]. Le lecteur intéressé pourra également consulter l'article amusant de Tan Stewart [6] sur le sujet. 43.

(13) RÉFÉRENCES [1]. [2] [3]. M. Brazovskaia, C. Even, and P. Pieranski. Les tambours liquides. Pour /« 5c7ence, 234: 68-73, 1997. P. Buser. Isospectral Riemann surfaces. An/2, /«st. Fozzn'ez; GrenoWe, 36: 167-192, 1986. C. Gordon, D. Webb, and S. Wolpert. Isospectral plane domains and surfaces via Riemannian orbifolds. /»veuf. Mtzf/z., 110: 1-22, 1992.. [4] [5] [6] [7J. M. Kac. Can one hear t/z/y, 73: 1-23, 1966. J. Milnor. Eigenvalues folds. P;-oc. AGt. Actzd. I. Stewart. La forme. the shape. of. a. drum? A/ne/:. Mzzf/z. Mozz-. of the Laplace operator on certain rnani5c., 51: 542, 1964. d'un sonore tambour. Pour. /rz Scz'e/zce,. 179: 92-96, 1992. M. F. Vignéras. Variétés riemanniennes isospectrales et non isométriques. A/z/z. o/Mezf/z., 112: 21-32, 1980.. Ptztz/ ./o/L.raz'/zt (Porre/r/rzzyJ est pra/essezz/- e/e zzzczt/ze/zzat/e/zte et e/e p/zy.Tzr/zze ezw Lycee crznto/zrz/ r/e vera/te e/e Nezzc/zezte/.. 44. Per/re/îtray et c/ztzrge. e/e cozzr.y. d. /'t/m-.

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