• Keine Ergebnisse gefunden

Recommandations de lutte contre les principales maladies des arbres fruitiers

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Aktie "Recommandations de lutte contre les principales maladies des arbres fruitiers "

Copied!
4
0
0

Wird geladen.... (Jetzt Volltext ansehen)

Volltext

(1)

11

111111111111111 ô ôUND

,

1( 3 1 1( A Tbb 1( (C ( 1h t lb(~

Recommandations de lutte contre les principales maladies des arbres fruitiers

O. VIRET, Station fédérale de recherches en production végétale de Changins, CH-1260 Nyon

POMMIER

Tavelure

[Venturia inaequalis (Cooke) Wint.]

Lutte dirigée

Grâce à l'effet curatif des fongicides du groupe des ISS (inhibiteurs de la syn- thèse des stérols), des anilinopyrimidi- nes et de la matière active dodine, la lutte contre la tavelure peut être ciblée en fonction des indications d'appareils détecteurs (Biomat, KMS, Lufft 100 et Metos) ou de thermohumectographes.

Par rapport à la lutte préventive, des traitements peuvent étre économisés selon les conditions climatiques de l'année, la variété, la région et l'impor- tance de l' inoculum initial. L' effet cura- tif des fongicides signifie que le cham- pignon peut encore être détruit durant la phase d'incubation, c'est-à-dire entre la pénétration dans les feuilles et l' ap- parition de nouvelles taches sporulan- tes. La durée de l'effet curatif varie selon les matières actives (tabl. 1).

Les appareils détecteurs ou les thermo- humectographes doivent être placés dans le verger peu de temps avant le débourrement. Les détecteurs mesurent automatiquement la température de l'air, Tableau 1. Durée de l'effet curatif de fongicides 1.

Dodine (9.3) 1-2 jours

Anilinopyrimidines (4) 2-3 jours Krésoxim-méthyl (6.1) 2-3 jours

ISS (7) 3-4 jours

'Les chiffres entre parenthèses à la suite des noms des matières actives se rapportent à la liste des fongi- cides (cf. dépliant rose au centre du journal).

l'humidité relative, les précipitations et la durée d' humectation des feuilles.

Ces données permettent ensuite d'indi- quer les risques d'infection selon la ta- ble de Mills (tabl. 2). Afin que les me- sures soient fiables, il est indispensable d'étalonner régulièrement et d'entrete- nir les unités de mesure. Au moment du débourrement, la durée d'humecta- tion des bourgeons est un peu plus lon- gue que celle qui est mesurée par le sen- seur de l'appareil. De ce fait, les deux premiers traitements doivent être effec- tués préventivement. Dès que la durée d' humectation des feuilles dépasse dix heures, les températures moyennes de la période doivent être considérées afin de déterminer l'intensité de l'infection.

Tableau 2. Table de prévision des ris- ques de tavelure d'après W. D. Mills.

Température 1 moyenne (°C)

Heures d'humectation des feuilles et risque d'infection léger moyen grave

0-4 36 44 60

5 32 44 60

5,5 30 40 60

6 25 34 51

6,5 22 30 45

7 20 28 42

7,5 19 26 39

8 18 24 36

8,5 16 22 33

9 15 20 30

9,5 14,5 20 30

10 14 19 29

10,5 13 18 27

11 12 18 26

11,5 12 17 25

12 11,5 16 24

12,5 11 16 24

13 11 15 23

13,5 11 15 22

14 10 14 22

14,5 10 14 21

15 10 13 21

15,5 9,5 13 20

16 9 13 20

16,5 9 12 19

17-24 9 12 18

Deux périodes humides séparées par une période sèche de moins de six heu- Il res doivent être considérées comme une seule période d' humectation, car les as- cospores de la tavelure peuvent survi- vre quatre à six heures sans humidité.

Lorsqu'on rencontre les conditions sus- ceptibles de provoquer une infection faible, moyenne ou grave, un fongicide à effet curatif devrait être appliqué dans les jours suivants en fonction de la matière active (tabl. 1). Ce traite- ment assure un effet protecteur de sept à douze jours selon les conditions. Au printemps, lorsque la végétation se dé- veloppe rapidement, cet effet protec- teur ne dépasse pas 6 à 8 jours. Cette période passée, il convient de reconsi- dérer les informations du détecteur pour le positionnement du traitement suivant. A partir de la fin du mois de mai, le vol des ascospores est achevé.

Dans les vergers exempts de tavelure, les intervalles de traitements peuvent étre étendus à 2-3 semaines à partir de mi juin, en ne considérant que les in- fections moyennes à graves. La condi- tion pour parvenir à une réduction des interventions contre la tavelure est un contrôle régulier des vergers à interval- les d'environ trois semaines. Pour les variétés sensibles à la tavelure, des échantillons de 1000 feuilles doivent être observés. Le seuil de tolérance provisoire actuel est de 5 feuilles attein- tes pour 1000 feuilles contrôlées.

Lutte conventionnelle, préventive

La lutte préventive contre la tavelure comprend des traitements réguliers du débourrement jusqu'à la fin juin, à des intervalles de six à dix jours; ces laps de temps peuvent être prolongés à 2-3 se- maines à partir du début du mois de juillet. Au débourrement (stades B-C),

Revue suisse Vitic. Arboric. Hortic. Vol. 29 (1): 47-50, 1997 47

(2)

on appliquera de préférence du dithia- non (9.2), du cuivre (10) ou une anili- nopyrimidine (4); à partir du deuxième traitement préfloral, l'application de fongicides organiques est recomman- dée (1. 1, 1.3, 7.7-7.12, 7.2-7.4, 9.3). En fin de saison, le folpet (1.3), le captant (1.1) ou la dichlofluanide (1.2) permet- tent de lutter contre la tavelure tardive, tout en agissant contre les maladies de conservation, telles que la pourriture lenticellaire ou la gloéosporiose.

Oïdium

[Podosphaera leucotricha (Ell. & Ev.) E. S. Salmon]

Une méthode de lutte prophylactique, valable en cas de faibles attaques, con- siste à couper les rameaux atteints lors de la taille d'hiver et durant la période de végétation. La lutte chimique contre l'oïdum débute avant la floraison et

s'étend durant l'été, en parallèle avec la lutte contre la tavelure. Dans les ver- gers exposés à cette maladie et sur les variétés sensibles, les applications doi- vent être répétées tous les 8 à 10 jours à partir du mois de juin. Des fongicides spécifiques comme le bupirimate (9. 1), le nitrothal-isopropyl (9.4), le soufre mouillable (11.1), les ISS (7.2-7.12) ou le kresoxim-méthyl (6.1) permettent de lutter efficacement contre l' oïdum.

Le triadimenol (7.6) peut provoquer le roussissement des fruits de la variété Golden Delicious et doit étre remplacé par du soufre mouillable pour les trai- tements floraux et post-floraux.

Remarques pratiques

Les ISS (7) et les anilinopyrimidines (4) sont particulièrement suscepti- bles de provoquer la résistance du pathogène. Leur utilisation en arbo- riculture fruitière est conseillée à condition que certaines règles soient respectées.

1~ Afin d'éviter la sélection de souches de tavelure résistantes, il con- vient de limiter l'utilisation à un maximum de 4 anilinopyrimidines avant la floraison, suivies de 4 ISS au maximum, appliqués en bloc après la floraison.

2~ Concernant les phénomènes de résistance, tous les ISS se compor- tent de la même manière. Ainsi, l'alternance des matières actives à l'intérieur du groupe des ISS ne permet pas de prévenir la résistance.

3~ Les ISS et les anilinopyrimidines ne doivent pas être engagés comme «extincteurs» lorsque les symptômes de la tavelure sont déjà présents sur les feuilles. Dans ces cas-là, leur utilisation favorise les phénomènes de résistance. Une augmentation de la dose de matière active ne permet pas de lutter plus efficacement contre des foyers de tavelure visibles.

~> 4

Lorsque les symptômes de la tavelure sont visibles, l'utilisation de fongicides protecteurs, comme le captane (1.1), le dithianon (9.2) ou le folpet (1.3), est recommandée, en rapprochant les intervalles de traitements à 8-10 jours.

Les anilinopyrimidines (4) sont pénétrantes et ont un effet curatif contre la tavelure. Ces matières actives présentent une bonne efficacité égale- ment à basse température, ce qui n'est pas le cas des ISS. De ce fait, elles sont homologuées du débourrement à la floraison. Sur les variétés sensibles à l'oïdium, leur efficacité est insuffisante et une adjonction de soufre mouillable (11.1) à la dose de 4-5 kg/ha est indispensable. L'effi- cacité des ISS contre l'o dium et la tavelure est la meilleure lorsque ceux- ci sont appliqués après la floraison.

L'effet curatif de la dodine (9.3) est nettement plus court que celui des ISS (tabl. 1). Cette matière active s'applique avantageusement du dé- bourrement à la floraison. Sur les variétés sensibles, comme Golden Deli- cious, l'utilisation continue de dodine peut provoquer un important rous- sissement des fruits.

La nouvelle matière active krésoxim-methyl (6.1) appartient au groupe des strobilurines, métabolites secondaires isolées du champignon Stro- bilurus tenacellus. Cette molécule agit sur le transport des électrons dans les mitochondries du champignon. Elles est protectrice et pénétran- te avec un effet curatif de 2-3 jours, empêchant la germination et la pé- nétration du champignon dans les tissus de l'hôte ainsi que sa sporula- tion. L'efficacité de cette matière active autant contre l'oidum que contre la tavelure permet une grande souplesse d'application, du stade D à la fin juillet (maximum six applications par année).

Pourriture de l'œil

(Botrytis cinerea Pers.)

Les attaques du champignon B. cinerea sont particulièrement graves lors de printemps humides. L' infection des pommes a lieu à la floraison, par l'in- termédiaire des étamines et des pétales restés collés au calice par temps plu- vieux. Durant la période de végétation, le champignon se maintient à l'état la- tent dans les organes infectés et n'ex- prime sa pathogénicite que lorsque les fruits sont récoltés. Dans les vergers sujets à cette maladie, il convient d'ef- fectuer un traitement spécifique au mo- ment de la floraison, à l'aide de fongi- cides systémiques du groupe des benzi- midazoles (8) agissant également con- tre la moniliose. Dans les vergers peu infectés, les traitements contre la tave- lure à base de folpet (1.3) appliqués aux mêmes périodes ont un effet suffisant.

Pourriture lenticellaire, gloeosporiose

(Gloeosporium spp.)

et tavelure tardive

[Venturia inaequalis (Cooke) Wint.]

Les agents responsables de la pourri- ture lenticellaire des pommes vivent comme saprophytes sur les différents organes de l'arbre. Les spores, dissémi- nées par l'eau de pluie, infectent les fruits en pénétrant par les lenticelles où le champignon reste latent jusqu'à un certain degré de maturité des pommes.

C'est finalement à la conservation que les symptômes de pourriture se mani- festent, surtout sur des variétés sensi- bles telles que Golden Delicious. La 48

(3)

lutte contre la tavelure tardive, entre mi juillet et début septembre, avec deux à trois applications de captane (1. 1), folpet (1.3) ou dichlofluanide (1.2) per- met également de protéger activement les fruits contre la gloeosporiose.

Maladie des crottes de mouches et de la suie

[Schizothyrium pomi (Mont. ex Fr.) v. Arx] et [Gloeodes pomigena (Schw.) Colby]

Ces maladies affectant la cuticule des pommes, que l'utilisation des fongici- des contre la tavelure avait fait dispa- raître, représentent un sérieux problème dans les cultures biologiques. Les fruits atteints se recouvrent en fin de saison de taches fuligineuses brun-noirâtre leur donnant un aspect peu appétissant. Les symptômes sont très superficiels et ne compromettent pas la conservation des pommes et des poires. Un savon de po- tasse (9.6) permet de lutter contre ces pathogènes à raison de huit applica- tions de fin mai à environ trois semai- nes avant la récolte.

Moniliose des fleurs

(Monilinia laxa Aderh. & Ruhl.) Cette maladie, particulièrement connue sur les arbres à noyaux, s'est également montrée virulente sur certaines variétés de pommes (James Grieve, Cox Orange, Rubinette et Elstar). Dans les jardins fa- miliaux, on peut facilement limiter les infections lors de la taille d'hiver en éli- minant les rameaux atteints et les fruits momifiés qui représentent l' inoculum initial de l'année suivante. La plupart des mélanges captane+ISS (7.9-7.12), les ISS (7.1, 7.3), les anilinopyrimidi- nes (4) engagés contre la tavelure et les benzimidazoles (8) appliqués contre la pourriture de l' oeil sont également effi- caces contre la moniliose des fleurs.

Quels que soient les fongicides utilisés, il convient d'appliquer un à deux trai- tements durant la floraison.

POIRIER

Tave I u re

[Venturia pirina (Anderh.)]

La tavelure est la principale maladie du poirier. V. pirina est spécifique du poi- rier, bien que la biologie et l'épidémiolo-

gie du champignon soient pratiquement identiques à celles de V. inaequalis. La lutte débute au débourrement et doit tenir compte de la sensibilité variétale (Beurré Bosc, Louise-Bonne, sensibles;

Williams, moyennement sensible). Le premier traitement préfloral peut être effectué avec du cuivre (10). A partir du deuxième traitement préfloral, l'uti- lisation de fongicides organiques est re- commandée (1. 1, 7.2-7.4, 7.7-7.12, 9.2), selon les mêmes principes que ceux qui sont décrits pour la lutte contre la tave- lure du pommier.

Bacteriose

[Pseudomonas syringae pv. syringae (van Hall)]

Le flétrissement bactérien du poirier se manifeste sur les boutons floraux, dans lesquels la bactérie hiberne. Les inflo- rescences des rameaux atteints se des- sèchent et noircissent progressivement;

le rameau entier peut être atteint et meurt. Ces symptômes peuvent être confondus avec ceux du feu bactérien.

Les fruits infectés sont marqués de petites taches circulaires noires et ne se développent pas. Le phosethyl-Al (Aliette) a une efficacité partielle con- tre la bactériose. Son application est li- mitée du débourrement à la fin de la floraison à 0,3% (4,8 kg/ha).

Rouille grillagée

(Gymnosporangium fuscum R. Hedw.

in DC.)

L' agent de la rouille grillagée du poirier est un champignon hétéroïque passant obligatoirement une partie de son cycle biologique sur son hôte secondaire, le genévrier (Juniperus spp.). A l'heure actuelle, seul le mélange difénocona- zol + penconazol (7.3) est homologué et possède une bonne efficacité contre cette maladie. La lutte chimique n'est pas souhaitée, puisque l'interruption du cycle biologique du champignon réalisée par l'arrachage des genévriers atteints empêche l'infection des poi- riers. L' arrachage des genévriers pou- vant causer de sérieux litiges avec le voisinage, il convient de ne planter que des Juniperus résistants à la rouille.

Une liste de variétés de genévriers résistants peut être obtenue auprès des stations cantonales de protection des végétaux.

COGNASSIER

Moniliose

[Monilinia linhartiana (Prill & Del.) Dennis],

entomosporiose

[Diplocarpon maculatum (Atk.) Jbrst.]

et

oïdum

[Podosphaera clandestina (Wallr. ex Fr.) Lév.]

La lutte contre ces différentes maladies doit être entreprise dès le débourre- ment. Les matières actives cyprocona- zol (7.1) + dithianon (9.2), captane + ISS (7.9-7.11) assurent une protection contre ces trois maladies. L' application de cuivre (10) ou de dithianon (9.2) au débourrement et de benzimidazoles (8) autour de la floraison peut être une alter- native à l'emploi des ISS (résistance).

Les benzimidazoles agissent unique- ment contre la moniliose des fleurs.

L'adjonction d'un mouillant (0,05%) est indispensable à cause de la forte pilosité des feuilles et des fruits du cognassier.

ARBRES À NOYAUX

Moniliose des fleurs

(Monilinia laxa Aderh. & Ruhl.) Les matières actives efficaces contre la moniliose des fleurs appartiennent aux groupes des captanes + ISS (7.9-7.12), des benzimidazoles (8) et des dicarbo- ximides (3). Un premier traitement de- vrait être appliqué au stade «boutons blancs» (D-E), un second lorsqu'un tiers des fleurs sont ouvertes. Cette deuxième application est également ef- ficace contre la maladie criblée si l'on utilise l'un des fongicides suivants:

captane + ISS (7.9-7.12), prochloraz (7.5) ou cyproconazol (7.1) + dithianon

49

(4)

Maladie criblée

I

l

[Clasterosporium carpophilum Lev. (Aderh.)]

Sur cerisier, griottier et abricotier:

dans les régions particulièrement expo- sées à cette maladie et sur les variétés sensibles, une application de cuivre (10) ou de dithianon (9.2) au stade B-C (dé- bourrement) doit être entreprise. Pour les traitements floraux, il convient d'utiliser des matières actives qui agis- sent également contre la moniliose, telles que captane + ISS (7.9-7.12), cyproconazol (7.1) + dithianon (9.2) ou prochloraz (7.5). Lorsque les conditions sont moins favorables à la maladie cri- blée et sur les variétés moins sensibles auxquelles aucun traitement floral con- tre la moniliose ne doit être appliqué, des traitements pré- et postfloraux à l'aide de soufre mouillable (11.1) ou d'un fongicide organique (9.2, 1.1, 1.3, 1.2, ou autres) sont suffisants.

Sur pêcher: la lutte contre la maladie criblée s'effectue en parallèle avec la lutte contre l'oïdium. Le soufre mouil- lable (11.1) permet de combattre de fa- çon efficace ces deux maladies et agit, dans les conditions du Tessin, égale- ment contre la tavelure noire. Dans les

régions favorables à la maladie criblée, les mélanges captane + ISS (7.9-7.12) remplacent de façon satisfaisante le soufre mouillable.

Cloque du pêcher

[Taphrina deformans (Berk.) Tul.]

La cloque du pécher ne peut être com- battue que préventivement. Sur les arbres fortement atteints, une

a

deux applications de cuivre

a

la chute des feuilles, répétées au mois de février (avant que les bourgeons ne gonflent) avec des produits spécifiques tels que le dithianon (9.2), le zirame (2.5) ou le thirame (2.4) permettent une protection efficace contre cette maladie.

Maladie des pochettes du prunier

[Taphrina pruni (Fck.) Tul.]

Bien que la maladie des pochettes sur- vienne régulièrement dans les vergers de pruniers situés au-dessus de 600 m d'al- titude, ce pathogène s'est également ma- nifesté ces dernières années en plaine, favorisé par des printemps frais et hu-

mides. Deux applications de dithianon (9.2) ou de cuivre (10), au débourre- ment et dix jours plus tard, assurent une lutte efficace contre ce champignon.

Rouille du prunier

[Tranzschelia pruni spinosae (Pers.) Diet.]

Sur les variétés sensibles (Fellenberg, Pruneau de Bale), un premier traitement entre mi- et fin juin et un deuxième entre mi- et fin juillet, combinés à la lutte con- tre le carpocapse, doivent être entrepris à laide de dithianon (9.2), de manebe (2.3) ou de mancozebe (2.1, 2.2).

Summary

Management strategies for diseases in deciduous fruit orchards

Integrated pest management strategies for apple scab, apple powdery mildew and other diseases in western Switzer- land apple and pear orchards are pre- sented. These strategies describe the use of temperature and leaf wetness to choose timing and type of fungicide applications. Proposed fungicide pro- grams minimize risks of resistance development.

CCD irrigation

1906 Charrot - Tél. 027/746 33 03

MATÉRIEL D'IRRIGATION

• GOUTTE-Â-GOUTTE

• MICRO-JETS

• ASPERSION

• POMPAGE

• FERTI-IRRIGATION

Arboriculture +Viticulture Petits fruits •Cultures maraîchères

ASSISTANCE TECHNIQUE

CH-1195 BURSINEL (VID)

Michel Monnard

Atelier mécanique Tél. 021/825 42 41

Effeuilleuses à détection électronique sans contact avec le raisin

Prototypes viticoles

Patrick et Roland Monnard

Entreprise de travaux d'effeuillage Tél. 021/824 13 79

50

Referenzen

ÄHNLICHE DOKUMENTE

Phytoseiulus persimilis, directement utilisé pour la lutte contre les acariens, Amblysei- us cuccumeris et Macrolophus pygmaeus, efficaces respectivement contre les thrips et

Le calcul des coûts et profits indique qu’au- cun groupe d’exploitations n’est en mesure de couvrir ses coûts complets avec le pro- duit de la viande et les paiements directs..

Extrait de Cultures maraîchères Info No. Les salades à tondre ont tenu la vedette à l'étranger parce que l'on avait trouvé, très occasionnellement, quelques débris

Si les conditions sont humides durant plusieurs semaines, les champignons forment des ascospores qui peuvent attaquer les feuilles et les tiges des carottes.. Lorsque les carot-

Sur la base de nos propres essais et des enquêtes effectuées dans la pratique, on peut conclure que la teneur en cuivre dans les foies de veau en Suisse ne représente pas un

Les septorioses foliaires se sont développées dans tous les essais, à l'exception de Changins (1998) et du Chablais (1997). La rouille brune s' est montrée moyennement à hau-

Etant donné son cadre, cette contribution ne pourra présenter les causes qui ont été à la base de ce concept historiographique.Elle s'efforcera plutôt de distinguer de façon

L’intérêt grandissant pour des produits alternatifs dans la lutte contre les maladies fongiques a amené les chercheurs à évaluer le réel potentiel d’efficacité de bactéries et