• Keine Ergebnisse gefunden

Contact salutaire

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Aktie "Contact salutaire"

Copied!
4
0
0

Wird geladen.... (Jetzt Volltext ansehen)

Volltext

(1)Contact salutaire. Autor(en):. [s.n.]. Objekttyp:. Article. Zeitschrift:. Actio humana : l'aventure humaine. Band (Jahr): 98 (1989) Heft 1. PDF erstellt am:. 30.01.2022. Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-682343. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) CONTACT SALUTAIRE Quiconque tombe malade a besoin de la proximité et de a chaleur salutaire cTaiitrui. Et pourtant, une fois pris par la peur de la maladie et l'angoisse de la mort, il nous arrive d'avoir un comportement parfaitement irrationnel. Pourtant, il nous suffirait de surmonter cette crainte et d'établir le contact d'homme à homme pour nous engager sur une voie possible de guérison. Voici cinq cas véridiques où le contact marqua le tournan t so us une forme à chaque fois différente. 1. d'hui, mais demain il y aura un lit de libre. Et si vous veniez?" „Oui", soufflai-je. A ce moment même, je ressentis en moi une indomptable rage de vivre. A son retour, mon amie me trouva assis à table, en train de lire au lieu de geindre sur l'oreiller. Elle comprit de suite, d'autant que c'était elle qui, de son travail, avait alerté le médecin en question. Et celui-ci ne s'était pas contenté de prendre le combiné, mais avait su trouver les mots pour mettre dans le mille.» La so/z/zzztepezz/ être mortr//e. Certes, rte «or«-. ans atteint de colite de préférer la volonté de vivre au désir de mourir. Cela faisait une semaine que Guillaume souffrait d'une poussée aiguë de colite ulcéreuse. Il s'agit là. photo: keycolor/zefa 42. d'une inflammation chronique du côlon accompagnée d'ulcérations et pouvant, dans des cas relativement rares, dégénérer en cancer. Laissons le parler: «Suivant un „tuyau" d'amis, nous étions partis passer des Pâques gastronomiques en Piémont. Après le hors-d'œuvre du premiersouper, je m'effondrai, pris de coliques. Dès cet instant, je vécus un véritable cercle vicieux: répit, maux de ventre, besoin pressant d'aller à la selle, diarrhée sanglante et crampes, répit, maux de ventre... Ne trouvant pas de médecin, nous rentrâmes à la maison. Ici, le médecin qui, il y a quelques mois, m'avait annoncé „ma" colite, était en vacances. Son remplaçant constata tout simplement que, ma foi, c'était comme ça et que nous pouvions bien attendre le retour de son collègue. Entretemps, j'avais déjà maigri de plus de dix kilos. Bien que mon amie me prodiguât des soins touchants, je n'avais, tout d'un coup, plus aucune envie de vivre. Après la première consultation déjà, une certitude s'était ancrée tout au fond de moi: c'est le cancer! Le début de la fin! „Je vous en prie, laissez-moi mourir", murmurai-je du fond de mon lit. J'étais seul pour quelques heures lorsque le téléphone sonna. Je m'y traînai péniblement et répondis. C'était le médecin-chef d'un hôpital. „On m'a dit que vous vouliez mourir", me dit une voix presque joyeuse. „C'est encore un peu tôt à votre âge. Vous savez quoi - je n'ai pas de place pour vous aujour-. èrer/ses s/a/zs/z'z/zzes cozz/zVzwc«/ <yzze /es ê/res /«/égrés r/azzs zz« f/ssw re/o//o««e/ so«/ znoz'as szz/e/s ù /a zna/az/z'e e/ vz'vc«/ p/zzs /o«g/c«z/?s. Ce/a <7//, so/zYzzrte «es/ pas syaoayme r/e/re sew/. Ces/ z/« é/a/ «az'ssa«/ rte /'/n/ér/ear rte /Tzowwe, même s'z/ es/ en/owré. La so/zYzzzte pczz/ ê/re gé«éréc, parexez«p/e, /zar/a pczzr/é/an/sa«/e z/zz cancer. Gw/Z/azz/we «e vozz/azY pas ar/we//re so« a«go/sse, /a re/égwa/Y azz/z«/o«z/ rte sa co«sc/e«ce, paz-a/ssazY z/y«azw/z/zzc e/ ga/ vers /ex/ér/ewr, zte sor/e c/«e z«c/we sa pazYc«a/re «e pozzvazY partager sa pezzr. L//e se z/ozz/a// z/zze z/zze/zjwze c/zose /a/ res/zzzY cac/zé e/ e« co«ceva/Y zte /a co/ère. Ces/ ce//e-c/ z/zzz /a/' z/o««a /e courage z/e /é/ép/zo«er au z«éz/ec/«c/ze/ coz«7«e ça. C es/ azYzsz z/zze se créa un co«/ac/ z/zzz, /«a/ezwe«/, //Y s'écrozz/er /e zzzz/r r/e /a /?ezzz: L/ ce /à/ /e /ozzr«azz/. L'zY«/70/Ya«//ù/ <7«e /e coiz/z r/e /é/ép/zo«e éz«a«az/ c/Yz« zzzéc/ecz'«c/ze/ e/ pas r/e «Y'zwpor/e pizz; /es racz'«es r/e. /a^ec/zon psyc/zosozwa/z'pize r/e. G«z7/azzz«e. p/o«geaz'e«/ en e/è/ r/a«s zzne pro/z/érrza/zY/zze /•e/a/z'o««e//e avec so« pè/-e çrzzz se /«a«z/ès/azY c/a«s izzze /-e/a/zon per/zzr/zée avec / azz/orz/é e« gé«éra/. LY'n/erven/z'o« r/zz zzpa/z'o«» z'e«z/azY sa«s o/y'e/ /a zaazzz/ès/a/z'o« p/zysz^zze z/e /a «évz-ose. Ce revzreme«/ ozzvrzY /a pozYe à a« /z'az/ez?7e«/ z«/e«sz/. •. Cas numéro deux: Robert. «Il y a six ans, j'allais mal. J'avais 24 ans et, pour la première fois depuis longtemps, un boulot fixe. Mais j'étais tout le temps malade et craignais de me retrouver à la rue un beau jour en raison de mes fréquentes absences. J'avais compris que les „amis" que j'avais fréquentés ces derniers temps n'en étaient pas. Je me mis à les éviter et, pour me sentir plus libre, ne m'en sentais pas moins seul. Ne possédant pas d'appartement, j e dormais chez ma mère. Un matin, je m'éveillai les membres tellement endoloris qu'il me fut presque impossible de me lever. Quand, enfin,je fus debout, ma mère m'emmena à l'hôpital dans sa VW. Le médecin, après m'avoir examiné, me regarda avec compassion. «Polyarthrite», ditil. Il s'agit d'une inflammation articulaire chronique passant pour incurable. Le médeein me fit comprendre que, sans doute, je ne marcherai plus jamais normalement. Durant.

(3) trois mois, je me déplaçais à l'aide de béquilles. Le moral était à zéro. Je ne cessais de me plaindre, buvais énormément et me droguais aussi. Jusqu'au jour où je rencontrai Christophe, un ami d'antan, qui me dit que je tombais à pic. Se souvenant de mes talents de cuisinier, il ajouta qu'il avait invité à souper un tas de gens. J'aidais de mon mieux et, durant le repas,je fis la connaissance de Jean, féru de médecine naturelle. Il me composa un plan de régime précis que je suivis à la lettre. Au bout de deux semaines déjà,je rendais mes béquilles. J'ai aujourd'hui encore le meilleur contact qui soit avec Christophe et Jean. Et la polyarthrite ne s'est plus manifestée.» Le /d/Y de «o«s //rewdre e« p/Y/'é «oas-wêwes est «é/dste, «oas ewpêedaaf d e«d'e/we«d/'e vra/mefit ce r/«77/dadra/Y /roar gaér/V; c'es/-dd/Ye de wod//?er «otre cowpo/Yeweat. Le proWerne de Rodert é/a/Y de ne poavo/Yse detacher de sa wère et detre //ttéra/ewent /«capaWe de «se wettre swr p/'ed» /a/-wêwe. Le contact <7»/ /e sort/Y de cette aa/ocoww/séra//o« cons/sta dans /7nv/tat/on à/a/re t/ae/r/aec/?ose pour/es antres, à cn/s/ner par exewp/e. La cond/Y/on ponr nn te/ retonrnewent est /a s/ncér/té dn contact, wa/'s anss/ /'onvertnre à /'égard de ce/wt-c/. Dans /e cas de Rodert, /e//a/rpo«r /e /a/Y gab« ava/t deso/'n de /m/.. numéro trois: Sonny. Agé de dix-neuf •ansCasseulement, il était étendu là, apathique,. sur un lit de la clinique psychiatrique. Sa maladie était la manifestation d'une psychose. La psychose est un trouble des fonctions psychiques s'abattant comme un coup du sort sur le sujet parfaitement sain jusqu'alors et le modifiant souvent profondément. Rien ne paraissait intéresser Sonny. Il ne réagissait pas aux médicaments et c'est en vain que le personnel soignant l'exhortait à participer aux séances de thérapie volontaires et aux groupes. Dans les séances individuelles il se montrait fort taciturne, se contentant en général de répondre aux questions par «oui», «non» ou «sais pas», et ce après un long moment -jusqu'à26 secondes. De lui-même, il ne disait rien et restait assis, figé, le visage vide d'expression. Le thérapeute nota que la réponse à la question de savoir s'il aimait les chiens fusa au bout de deux secondes déjà. Aussi, lors de la visite suivante, se fit-il accompagner par un terrier à poil raide du nom d'Arwyn. Et voilà que d'un coup Sonny leva les yeux, s'appuya sur un coude et répondit aux turbulentes effusions de joie du chien parun large ricanement. C'était son premier sourire depuis qu'il était en clinique. Arwyn sauta sur le lit et se mit à lui lécher le visage et les oreilles et les deux se mirent à chahuter gaîment. Puis,. y.'jV"""'. De/?«/s /a «a/Y des /ewps, /es Z/owwes se /wéocca/?e«7 de / ejfe? sa/ata/re da. coatact //awa/'/i. -. de /7w/?os/Y/o« des. waws aa «Wo/eeddacL» à /'a/de d7«sd'awe«/s a/7rawode/'«es..

(4) Des. ztzzY/zotzs. z/Tzzz/zzazzzs /z/z. 50«/. /"ez/evaZztas z/e. gra/zz/s /noffl£7!/i z/e Zz/ezz-ê/re.. Le. /zz-zj/essezzz- ,Sc/zw//z. a z/éve/zz/z/zé /a metazzz/e z/zz taa/zz/zzg az/tagè/ze gz/z. /ze/we/ z/7'zz//wer sar ce/Ya/'/zs. zzzzz/s. /zrocessws /z/zys/z/z/es /e/s z/z/e ta /•y/Zz/rze ca/ï/taz/zze. ezz/à/sa/// z/zz/z/z/eme«/ a/z/ze/ à /a /zezzsée e/ à /a /zz/re z/e /'zzzzagzzza//ZZ/7.. pour la première fois, Sonny daigna desserrer les dents de lui-même: «Où puis-je le loger?» Mais le thérapeute et l'infirmier n'étaient pas au bout de leur surprise: quand le chien s'enfuit, Sonny sauta du lit pour lui courir après. Le même jour, Sonny commença à s'intéresser à la thérapie et put quitter la clinique quelque temps après. Son comportement de dialogue s'était fortement modifié: les temps morts entre les questions et les réponses se réduisirent à deux secondes et il répondait par phrases complètes.. murmurant: «Oh, mon Dieu! Oh, mon Dieu!» Puis il se tut et, d'une inspiration profonde, ramena sa tension au niveau d'avant. «Bon sang,je n'ai riensenti du tout!»s'exclama-t-il. La thérapeute lui demanda ce que l'incident signifiait pour lui, «Jésus », poussa. Le contact avec / on/ma/ est sa/z/ta/re.. Le. «Szzzzzzy. /za/z'ezz/ de ta c/zzz/zyzze /zs_vc/z/a/z/z/zze z/e /'O/zzzz State t/zzzvezs/Yy à Co/wzzz/zzzs zzzz, z/e/zzz/s z/es azzzzées, z/es on/'/«a/ex z/zzzzzes/z'z/zzes szzzz/ zzzo/zz'/zses pour sozz/ezzta /e tra/ten/ent s zz zz s ta sz/rve/Y/azzce //m czzzz/z/e rte taé/'a/zezz/es Sazzzzze/ e/LY/sa/zeZ/z Co/'szz/z. Les z'ec/ze/r/zesy szzzz/z/éyà ta/ta/zzezz/ avancées z/z/e / on appe/ à z/es a/zz/zzaz/x zta/e/'/zz/zzes se/on /es ta/z/eazzx c/z'/z/z/z/es. Dans /e cas z/e Sonny, / on opta /zzzz/z- z/zz te77/er à po// /a/'z/e parce (///e / a/zzaZz/Yzta agrèss/ve et en/owée à /a/o/s z/e cette rasse conv/ent. é/a/7. z/zz. y/a/t. tont part/cn/tere/nent a//x sw/e/s /7a/ se sont rep/z'és snr eax-nzênzes, zna/s sont en /a/t assoz/tas z/aLfect/on. Les séances z/e t/zézap/e. sont e/zreg/s/rées en vz'z/éo et p/zzs z/'nn /za/z'ezz/ sn/t ces ew/eg/stae/Tze/z/s avec antant z/e pass/on z/zz 7/ /e/eraztpoz/r z/n zzpo/arz/». Lt /es t/zé/'apentes z/'exp/zz/ner z/z/e /e /a/t z/'o/zserver cozn/ne /e c/z/ezz ta/' o/fre tozzt zzataze/ta/zzezz/ /azizo///- et /e contact /z/zys/'z/z/e, exerce snr /a consc/ence z/e sa propre va/enr et /a capac/té z/e contact z/npatz'ent nne z'zz/taezzce z/esp/ns Zzéné,//7/z/es.. Cas numéro quatre: Charles. A54 ans,cela •faisait vingt ans déjà qu'il souffrait d'hyper-. FOTO: RDZ. 44. tension. Après avoir pris durant dix ans toutes sortes de médicaments et qu'ils se plaignît d'impuissance, le médecin les supprima. La conséquence en fut une crise aiguë d'hypertonie, l'effondrement et l'hospitalisation. Le cardiologue lui ayant à nouveau prescrit des médicaments, Charles se plaignit derechef d'impuissance. Le médecin le fit alors entrer dans une clinique où, au cours des années, le psychologue James Lynch avait développé une propre méthode thérapeutique pour les patients atteints de troubles cardio-vasculaires. La tension artérielle et le rythme cardiaque y sont enregistrés en permancence par un ordinateur durant les entretiens thérapeutiques afin que le patient puisse constater de par lui-même quelles attitudes et quels modes de comportement nuisent à sa santé. Au début, Charles se refusait à regarder les enregistrements et niait l'idée que son style de relations et de communication pût avoir influence directe sur son quelque organisme. A la fin de la sixième séance, il révéla en passant qu'à l'insu de son médecin, il avait arrêté de prendre son médicament puisque, maintenant, il se sentait beaucoup mieux. «Un petit secret», dit-il en riant sous cape. A ce moment même sa tension fit un bond brutal de 145/90 à 195/140. L'assistante de Lynch invita Charles à bien regarder cette courbe pendant qu'elle passait son aveu sur l'écran. Charles porta les mains à la tête en. Charles en secouant la tête, «Je dois être complètement coupé de mon corps et de mes sentiments!» Ce contact avec lui-même, avec son corps et ses sentiments, établi au moyen d'appareils hypersensibles, fut le début d'une thérapie couronnée de succès.. czzzztac/ avec so/'-zzzézzze es/ z/zze czz/zz/zY/'zz/z essezz/ze/ta z/e sazz/é. Qzzz zze /zez'poz/ ce z/zz 7/ /«//ge à so/z corps, «e /zez// zzo/z p/zzs /e zzzé/zagez: Qz/z «e co/z/za/7 /es sezz/tazezz/s z/zz 7/ re/ozz/e, zze pez/Z zzozz p/zzs /ezzr /a/sser /tare cozzrs. Ces/ azz pro/essez/r Ltata/Yc/z Sc/zzz//z, z/7vez7/ezzr z/e / azz/ore/axa/z'ozz e/zzzzz/Yezz /979 zz. /age z/e #6 azzs, z/zze /'zzzz z/zz/7 /acce/z/a/tazz z/e / ecozz/e z/eso/7propre corps z?zê/7ze/7ar/a Z77éz/ectae o/?C7'e//e /a p/zzs pzzr/s/e. Les /z/'ata/zzes zzzez/z'ta/zves /acz/ztazz/ ce//e écozz/e sozz/ 770777ta'ezzses. C/za/Yes é/a/7 z/zz /zozzzzzze soz//?7/s à zz/ze press/ozz é/7orz??e e/ y réagz'ssa/z/ par /a z/é/ezzs/ve. Hz//à z/zz ezz/zzz // pozzva/7 appre/zz/re à. /•éztatae p/'ogz'essz've/zzezz/ cozz/z'az'/z/e.. ce//e z'/zszzpporta/z/e. cinq: Madame A. Elle avait •ansCaset numéro trouvait en clinique psychiatrique 40. se. depuis trois ans, depuis que son mari l'avait quittée. Deux ans auparavant, l'on avait diagnostiqué un cancer du sein. Lors de sa visite, la psychologue la trouva au lit depuis des mois, apathique, abandonnée de tous, isolée, seule avec son cancer. Elle se déclara prête à se rendre à la consultation. Lorsqu'elle y arriva le lendemain, Madame A. était métamorphosée - une femme jeune, soignée, méconnaissable. La psychologue écrit à ce propos: «Je prononce le mot „cancer" dès le début de l'entretien et ajoute que j'aimerais chercher avec elle une voie praticable pour mettre fin au rythme apathique du quotidien. Le mot „cancer" ne la fait en rien sursauter. Au contraire, elle le prononce elle-même. Elle dit „Maintenant, je puis de nouveau croire à l'avenir. C'est la première fois que je me suis exprimée." A une soirée de club, Madame A. fit la connaissance d'un homme seul. Quelques mois après, elle quittait la clinique - une jeune femme attrayante, aimée d'un homme. Elle mourut un an et demi plus tard, sans l'assistance de sa famille, mais tendrement entourée des soins de son ami. Son rêve la nuit précédant sa mort: elle se promène dans un jardin paradisiaque, traversant des prés verdoyants jusqu'à une source dans laquelle elle s'apprête à descendre.». -. Qzzz, soz/s ta /zzz/'z/s z/'zzzze eLfrayatae zrza/az/ta ca/zcez; s/'z/zz /za/' exezzz/z/e - m/;//'« z/zz/z.y 5a coz/zz/7/e, z/e /zez//; z/e /zozz/e e/ z/azz/ocoz7zz7z/sé7-a/taz7, /ze/zez// ezz ê/re ex/ra/Y z/z/e/zar/e czzzz/ac/ oz/ve/Y e/ stacère avec z/zz azz/re z/zzz cozzzzaz/ e/ acce/z/e /zz/-/zzê/?ze ye.y /z/rz/zz'e.y a/zgez/'sses.. m.

(5)

Referenzen

ÄHNLICHE DOKUMENTE

/Médecine de base en co//aborafion avec des communautés rura/es dans un district.. /Mise sur pied et déve/oppement du service nationa/ de transfusion de sang et introduction du

L'abbaye peut compter sur Frêne: lorsque des curés français émigrés retournent chez eux, ils s'arrêtent chez le pasteur, avant de partir pour Bellelay, dont l'abbé leur procure

La plus ancienne consiste en une nappe de graviers étagée, perchée dans le versant d'une quinzaine de mètres par rapport au fond de vallée, mais discontinue dans son

Bienne s'en tient aux moqueries et'aux menaces contre ces paysans rebelles d'Erguel ; ceux-ci, de leur côté, ne font rien pour détendre l'atmosphère et ironisent sur l'état réel du

«Avoir connu de près une Claire de Saint-Victor que berça Hugo, que salua Flaubert et qu'admirèrent les Goncourt, c'est avoir fait alliance avec un Paris disparu, mais qui a façonné

Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen.. Dies gilt auch für

La branche aînée représentée par Ulrich, Rodolphe III, Walram, possède, comme fiefs de l'évêque, le domaine d'Aesch avec le château et l'église de Pfeffingen, les châteaux

— 125 — comptant revenir dîner tranquillement chez eux le soir, ont été surpris par les approches d'un cyclone; les communications avec la terre étant alors interdites, ils ont dû