140 Aut einem Briefe det Bm. Couell an Hm. Prof. Weber.
derselben: ebenso der dritte nnd vierte für die dunkle Hüirte. Die Namen lauten : eitrab ketuh prabbto äbbün sambhän jyotisbmäns tejasvän | tapas tapann abhitapann arocano rocaniänah ^obhaoah (obbamanab j akalyänah {{ I ||
datä praditä nando modah pramodah | äveyayan nive^ayan samvefanah sain- fäntab fänta äbbavan prabhavan sambhavan sambhoto bhütah |{ 2 || savitä pra¬
savitä dipto dipayan dipyamäoab | jvalan jvaliti tapan vitapan rocamano 'roea- mänab (aubbüli fubhamäno vämah (der fünfzehnte fehlt) || 3 || abhi;£stä'numantä nando modab pramodah { äsädayan vishädayan saiusädanah saiiisannah svannah | ibhür vibhüh prabhüb (ambhür bhuva iti j{ 4 jj
2) Ohne Unterschied der weissen und dnliklen Hälfte im jyotihfäslra von Ka^yapa aufgeführt:
gaurivallabhasarpamitrapilaro vasvambuvifvähvayä
brahmämbhoruhaaambhavenduhutabhugdevefanaktanicaräh | toyefäryamayooayo da^a tathä panca xanä väsare (ein päda feblt t)i{
rudrä-'ja-'hirbudbnya-püshafvinäh syuh kinä^o'gnir dhätricandrä- dilijyäb |
vishnur bhänus tvasbtridhätä (!) muhürta ra.iau, krüräa tv antakä- 'jä -'gni rudräb ||
3} Ebenso die amärtäni nämäni puräna-dar(itani : und zwar zunächst die 15 Tagstunden (divämuhürtäs) vom Sonnenaufgang ab , sodann die 15 Nachtstunden :
raudrah fveta; ca mitra; ca tathä sArabhatah smritah | sAvilro vaifvadeva; ea gändbarvab kutupas tathä || 1 ||
rohioa; ca virinea; ca vihhavo oirritis tapäh |
^amburo vijaya; caiva bhedäh pancadafa smritäh || 2 ||
;ankara; cA'jaya; caiva tathä 'hirbudhnyamitrakan |
äf vino yämyavähneyan vedhätra; (! vaidh» ?) cändra eva ca || 3 ||
iditeyo'tha jaiva; ca vaishnavah aaura eva ca | brähmo nähbas tata; caiva muhürtäh krama;o ni;i || 4 ||
Varianten aus gankha : zu 1 raudra; caitra; ca maitra; : sävitra; ca jayanta; : kntapas: — zn 2. raubina; ca viraipca; ca vijayo nairrilas : mahendro varuna;
eaiva, —
Aus einem Briefe des Herrn Cowell an Hrn. Prof. A. Weber.
CalcutU 12. June 1660.
Dr. Roer and I are going on with onr joint edition of the Tait¬
tiriya SaiiihitA. I hope you have received the two numbers already oat (Nos. 9 and 10): a third will he out shortly. — Dr. Ballantyne is now priming in the Bibl. Indica an edilion of ^ändilya's sütras witb Com¬
mentary and he is also now printing his Iranslation of the Sänkhya aphorisms. — Pandit Bahu Deva is also rapidly going on with his trans¬
lation of the Sürya Siddbanta whieh will he, I think, really well done.
Our great Indian Mathematician, Archdeacon Pralt, superintends the work as far at he can, — We have also commenced t geriet in the Bihl. Indiea
ilu« einem Briefe des Hm, Griniblot an Prof. Brockhaut. 141 whieb I think will be very interesting and userol, viz. a aeries of the
contemporary Mobammadan writera of Indian history. Sarh
a aeries was originally projected by Sir H. Elliott and the N. W. Govern¬
ment had intended to publish it : hut the mutiny put a rude stop to all such literary schemes. We hope in a measure to undertake the relinquished plan: if we always have one work in hand and confine ourselves to the
contemporary autbors (wbicb are really the moat valuable) we shall in
course of time bave a valaable aeries.
We commence with tbe extremely rare work of Zia Barni Lai'^)
which Ferisbta so often 'quotes for the Toghluk Dynasty. He lived under Firüz Toghluk (A. H. 758) and wrote his history to continue the Tabakat-i- Nüsiri of Minbaj-ud-din Jüz(r?)jäni. He begins witb Bulbun and goes on lo the sixth year of Firüz, from whom he takes the name of bis work Tarikh- i-Firüzshähi. It will fill ahout five numbers, I think. There are only three copies knowo to exist in India. Our edition is fouoded on these. — We have a very clever Maulavy Syed Ahmed of Maadabid who is carrying it through the press. The mss. had heeo collated by Cpt. Hammond for tbe Government in 1856, when they had planned their Corpus Scriptorum In- dicorum.
We hope to follow with tbeTabak&t-i-Nisiri itself, and Mr. Muley of London has ofl'ered to send ns his Iransscript (ready for the press) of Baihaki'j History of Masaüd. Baihiiki was Mts&üdi secretary.
Aus einem Brief des Herrn P. Grimblot, fl'anz. Vieeconsul
in Colombo, an Prof. Brockhausc
Colombo (Ceylan) 12 juillet 1860.
— — Le Ms. Pali - birman de l'Abhidüna - ppadipikü qui avait tli ac¬
quis par la Bibliotheque Imperiale de la veuve de Burnouf, ieiil par un individu entierement ignorant du pali, est Iris fautif. II ne ae trouve ä Londres qu'un tr^s petit nombre de Mss. palia, et la plupart tres mauvais, comme le sont la plupart des Mss. palia , aoit birmtns , soit singhalais ; les premiers sont pourtant de beaucoup prifirables, car lea Mss. singhalais ne sont qne des transcriptions de Mas. birmans , mais comme ils sont transcrits par les novices ou par des bhikkbus ignorants da pali, ils le sont inexacte- ment et ä de tres rares exceptions pris il eat ä peu pres impossible d' en faire usage , car lea habiles se contentent d'apprendre les lextes par coeur
«t ne ae aoucient nuUement de corriger les erreura et de remplir les lacunes des copies dont ils se servenl. J'ai corrige ici aar d' exceUenls Maa. , tant birmans, que singhalais, l'Abhidina, et j'en fais väritablement nn index du Ti-pifaka et de ses commenlaires qui renferment des extraits de beaucoup d'ouvrages qu'ila ont contribui a faire oublier et qui ae sont perdua. J'y ai joint toules les racines tirees du Dhütu - manjüsä et du Dh&tu-pütha, et
142 Aus einem Briefe des Hm. Grimblol an Prof. Broekhaus.
lous les verbes composes que je rencontre dans mes lectures. Ce diclion¬
naire pourra servir de base aux travau.x Tuturs des erudils d' Kurope , et sera en realite une encjclopedle buddhique. J'espere pouvoir Ic (aire im- primer ici dans le courant de l'annee procb.aine, car le gouvernement de la colonie Tera Ies frais de la publication , el aux caracleres singhnlais je joindrai une transcription en leltres latines ponr le rendre plus accessible
en Europe. Apres cela je songerai h faire iinpriiner les .Sülras de Kac cayana, qui ne sont pas perdu comme Turnour se Test laisse dire, avec nn extrait des meilleurs commenlaires, el en meine lemps le Pada-rüpa-siddhi qui est aux Sülras de Kaccäyana ce que le Siddhänta Kauinndi esl aux Sülras de Pänini, et si de ces materiaux je ne lire pas moi-ineme une grammaire palie la lache sera aisee ä ceux qui vnudront le lenler. Le Pada-rüpa - siddhi et les commenlaires des Sülras de Kaccäyana sonl veriiiiblemrn! un index grammatical complet des lextes palis canuniques.
En ce moment je reimprime par 1' ordre du Ilouvernenr Sir H. \\ ard, que nous venoos de perdre, et anx frais de la Colonie, une edilion com¬
plete et exacte de tous les travaux de G. Tiirnnur qui sont cerinlneinenl ce que nous possedons de plus complet el de plus exact sur le Buddhisme, muis je me perinels d'y joindre le texte pali de tous les passages Iraduils ou seulement analyses par Turnour, etmheaucoup d'autres texles que Tnrnour n'a pas connus nu qu'il a negliges, de maniere que ce volume supplemen- taire qui ne formera pas moins de 5 ä 600 pages in-8vo sera un recueil complet de lous les lextes bistoriques qui sc trouvent dons \n lillerature palie, el j'y joins le texle complel do coinmenlaire de Buddhagbosa el aulres, qui est indispensable. Tous ces lextes sonl preis, collalionnes sur les meil¬
leurs Mss. singhalais et birmans qui se trouvent dans l'ile, el avec le se¬
cours des deux plus habiles pandits , et l'iniprinieur n'allendra pas. Celle publicalion sera une revelation historique et une base cerlaine pour I'hisloire de rinde. Malheureusement j'ai dü employer les corocleres Singhalais; si j'eusse ete lihre, j'eusse donne la transcription en leltres lalines, mais alors ce volume de lextes eüt ete illisible pour les Buddbisles de Ceylan el de Birma auxquels j'ai dü songer et le gouvernement aussi.
Kn meme lemps que je recueillais ces texles, la plupart purement hislo- riques, j'en ai recueilli d'autres qui sonl biograpbiques el de doclrine: ee recueil esl en-fail le lexle pali des deox volumes que M. Hardy a Iraduits du Singhalais. J'en al fail la transcription en caracleres lalins, et coinine il est compose d'extraits, les plus imporlanls, de chacun des livres canuni¬
ques, tons accompagnes du commentaire dc Buddhagbosa et aulres. il peul etre coosidere comme une cbresloinulhic palie.
II y a une autre publication que j'ai preparee el qui me tienl fort ü coeur, c'esl celle du Buddba-vuüsa. C'esl uo discuurs en vers que Buddha prononfa en renlrant a Kupilavallhu el en revoyani son pere el ses proches, apres elre devenu Buddha, pour leur deiuontrer qu'ils ne devaieni pos elre honteux de compter dans leur clan un Buddha, les vingl-trois Buddhas qui I'avaient precede avaient ele ou brahraanes ou khalliyas. Le commen¬
taire qui est beaucoup plus iniporlanl el plus instruclif pour nous que le
Ätcoti, über yX^. i43 texte , et qui par pareothese n'est pas de Buddhagbosa , est une histoire de¬
laillee des 34 Buddhas , et en particulier du Gotama jusqu' au moment oä il devient Buddha, et celte derniere parlie est ou le texte, ou tiree du texte, dont oo a fait en Sanscrit la paraphrase legeodaire du Lalita-vistara.
C'est le fond ou ont ele puisees toutes les histoires de Gotama dans les tangoes vulgaires. Tnrnour en a traduit une parlie dans le Joarn. As. d«
Calcutla, el le Mahavansa, tant le texte que le eommentah'e, le cite eewne aon autorite, el en realite oe fait que le Iranaerire.
leber ^-4.
Voo C I. Aaeoll.
(Vgl. Zischr. 11, S. 237, 111, S. 363 u. .381.)
Die Sage, welche hei arahischen Schriftslellern die Römer oder die römischen Herrscher zu Nachkommen ^afar's, des Urenkels Esau's, macht, nnd welche maocher Orientalist als etwas ganz ond gar Grundloses wenn nicht geradehin zur Erklärung des dunklen Römernamens Banu'l Asfar Er¬
dichtetes angesehen zu haben scheint (s. OtMilrem^e, Journ. As. nouv. 1835, S. 391; de Sacy, ehendas. Janv. 1836, S. 94), rnht auf jüdischer Grund¬
lage (s. Anpoport,'Erech Millin, u. d. W. Edom u. Italia sei Jawan).
Dies deutet die von Fleischer (Ztschr. III, 381) angeführte Slelle des Qamza Ispabini ungenau an , oacb welcher die Israelilen hehauplen sollen dass der als Stammvater der Römerherrscher erscheinende ^äfüt kein anderer ala
AI-Asfar, der Sohn des Nasr, des Sohnes des 'Ais (Esau) sei. Die
jüdische Sage (s. Josifün, II. Kap.) lässt den $efo, Sohn des Elifaz, des Sohnes Esau's, sich zum Könige voo ganz Italien emporschwingen. Nun
scheint es mir ausser allem .Zweifel , dass Nasr und AI-Asfar nichts
anderes sind als graphische Entstellungen jener biblischen Namen Elifaz und
§ef6. Statt Nasr {/^) habeo wir bei Birüni (b. Quatremire, ebeod. 390) Nefar (jÄ>), ond bei Mas'iidi (b. Erdmanu, Ztachr. II, 239) Enoefer, also ^ijj] . Elifaz wäre aber bei unpunklirter arabischer Transcription
^AaJI, ehenso wie Elnefer. Nachdem man also durch eine bei fremden
Eigenoameo nichl sellene Verwirruog der diakrilischeo Puokte voo Elifaz
zo Eloefer gekommeo, war, bat man späler das Jl, worin man irrig den
Artikel sah, ausgelassen, wodurch jii entstanden ist, und daraus als letzte
Entstellung , ^eft (^tit), arabisch ji*o iranscribirt, entartet gra¬
phisch am leichtesten zu $afar (^Ao), und der Anklang an mag
die Entstellung hervorgerufen oder befestigt haben. — Eine aodere arabisehe
Sage machl den $afar zum Sohoe Rum's, des Sohoea Eaau's (^Imfis b,
Quatremere, ebendaa. 390).
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