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Documents sur l'Erguël à l'époque de la Révolution française

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(1)Documents sur l'Erguël à l'époque de la Révolution française. Autor(en):. Joliat, H.. Objekttyp:. Article. Zeitschrift:. Actes de la Société jurassienne d'émulation. Band (Jahr): 57 (1953). PDF erstellt am:. 29.01.2022. Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-558712. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) Documents sur l'Erguël à l'époque de la Révolution française par le. Dr H. JOLIAT, LA CHAUX-DE-FONDS Sceau de la République. Nous continuons ici la publication et la numérotation des pièces d'archives, telles que nous les avons commencées dans les deux premières parties, parues dans les « Actes » de l'Emulation, en 1950 et 1951. Cette numérotation n'existe pas ainsi dans les documents que nous citons, plus ou moins en abrégé, ainsi que nous l'avons dit précédemment et nous exposons immédiatement ci-dessous, par ces chiffres romains, les quelques observations qu'ils nous suggèrent.. CXI. Les Actes. révolutionnaire ont été publiés intégralement par M. Ch. Simon, pasteur, (Emulation 1906) sous le titre : La e-re iirgttë/, ew 1792, d'après les pièces d'archives de Sonceboz et Corgémont. de cette assemblée. CXVII.. Ce préambule est cité in extenso dans P. César. Notice /e Payj d'ifrgwè'I, p. 70, note 1. Cruchen Airt. kreuzer ; bâche batz. — Ici se précisent les plaintes contre le tracé de la nouvelle route par les Pontins, au lieu de la faire aboutir à Boinod, sur le chemin. jw. La Chaux-de-Fonds à Neuchâtel. Mais l'absence d'un contrôle des matières d'or et d'argent dans la Seigneurie d'Erguël nous paraît un grief plus sérieux. Il n'est pas contestable que ce manifeste SîtMatfo» Pßyj rfAVgtte/ est pour ainsi dire entièrement de la main du maire Liomin. On y retrouve tous les griefs articulés dans les Requêtes des 15 juin et 15 juillet 1790. (v. t/oc. AVgttè'/. Ümaiadoft 7959. II et XXVII). M. Marius Fallet, l'infatigable fouilleur d'archives, a réussi à nous retrouver, parmi ses innombrables fiches familiales des Monde. 215.

(3) tagnes neuchâteloises et bernoises, la filiation de Théodore-FrédéricLouis Liomin, qui fut sans aucun doute le véritable animateur de l'esprit révolutionnaire en Erguël. Son aïeul était Jacob Liomin, justicier de la justice de Saint-Imier en 1736 et tanneur à Sonvilier, époux de Suzanne-Marguerite Marchand ; il mourut en 1762. Son père, Frédéric-Louis Liomin, né en 1748, est en 1763 hôte avec taverne et vendange de vin à Sonvilier ; en 1772, il est lieutenant de milice avec son frère Charles-Louis ; en 1776, ambourg, soit gouverneur de la communauté de Sonvilier ; de son mariage avec Suzanne Chopart naquit, en 1765, notre Théodore-Frédéric-Louis qui est, en 1786, licencié ès-lois de la justice et maire de Saint-Imier (v. <ioc. ArgwëZ. Awwzi/atfo«, 29JÖ. 5. AiWiogfaw/we) et commissaire des fiefs de Son Altesse. En 1797, une mention du Registre des baptêmes de Courtelary, du 6 prairial, an VI (sous le régime français) déclare : « m'étant transporté, à la demande des parents, dans la commune de Sonvilier, au domicile du citoyen Frédéric-Louis Liomin, commissaire du Directoire près le Tribunal correctionnel siégeant à Courtelary, j'y ai baptisé Flore, fille de Frédéric-Auguste (erroné pour Théodore-Frédéric, comme on le verra plus loin) - Louis Liomin, président de l'Administration centrale du Département du Mont-Terrible, et de HenrietteLydie, née Voumard, fille dont le père est domicilié actuellement au chef-lieu du Département et n'a pu être présent au baptême. Parrain : Frédéric-Louis Liomin, commissaire près le Tribunal correc-. tionnel, grand-père de l'enfant. Marraine : Catherine Voumard, née Schaffter, grand-mère maternelle de l'enfant, domiciliés à Courtelary. La date et le lieu de décès de Théodore-Frédéric-Louis Liomin me sont inconnus », ajoute M. Fallet en terminant. Nous avons dit (cZoc. Argwë/. Am-w/aiN. 795$. que les Mémoires de Guélat signalent la mort à Paris, en 1800, de son fils, Liomin fils, alors souspréfet de Porrentruy. Cette généalogie nous montre que Liomin, père, s'était remarié, mais l'erreur de prénoms (Frédéric-Auguste fait les saisir toutes difficultés qu'il y a de se reconnaître dans ce genre de recherches.. CXXXI.. Les appréciations de Heilmann sur la genèse du mouvement révolutionnaire sont frappés au coin du bon sens. Le tort semble grand, de la Cour de Porrentruy, de laisser sans réponse les réclamations du Pays en 1790.. CXXXIV. CLII illustrent. bien l'audace et la présomption de l'esprit révolutionnaire, en face de la passivité et des appréhensions de. 216. et. l'ancien pouvoir..

(4) CXLI. La prévision. émise par la Régence que l'arrangement avec Bienne n'aboutirait pas se réalisa. La ville ne concédait que trop peu de pouvoir politique aux Erguélistes. Les pourparlers rompus, l'assemblée dissoute en février 1793, une situation anarchique, avec quelques troubles en Erguël, état de fait qui malgré les interventions du prince, de la Régence et du Corps helvétique d'une part, des insurgés et des maires du Pays d'autre part, dura jusqu'à l'occupation française, en 1797.. CL. Berne n'ayant aucun droit politique sur l'Erguël, ne pouvait intervenir dans les affaires de ce pays que par le canal de sa combourgeoisie avec Bienne qui, elle, y possédait le droit de bannière. Ce droit de mobilisation militaire était le seul lien de l'Erguël avec Berne et le Corps helvétique.. CLIV. La phrase du capitaine Béguelin que l'Erguël n'a. de dé-. pendance politique « pas même avec le pays des anciens Rauraques » établit bien la véritable position de la seigneurie d'Erguël. Ne relevant ni de l'Empire germanique, ni des Suisses, elle était une petite contrée indépendante, sous la souveraineté multiséculaire des évêques de Bâle.. CX/. Divers procès-verbaux. de la Société. patriotique d'Erguël. Villeret, 5 décembre 1792 wert 5 A. dw toir. Le départ dw go«vernement Le S./I. /'évê<y«e et /a coa/itfo« de /'évêcAé de Ba/e po«r te donner «ne co«.rfû«ttow répwè/icnine /ait tentir powr /'£rg«ë/ /a nécettifé d'éfaè/ir wn nowvea« gowüerwemewt. TVowt, /et toMtt/gwét, c/toyewt d'L/g«ë/, nowt tommet décidét à former «ne Soc/été patriofiçwe powr frnvai//er à étaè/ir ce nowveaw gowvernement. fVo«t avont tenw notre première téance en ce Le«, en invitant to«t /et èont c/toyewt à y att/tter moyennant de fréter /e terment patriofigne dont formw/e ci-aprèt ; Serment. iVbttt fwront à /'Etre Sttprême de tacri/ier notre /ortwne et notre vie po«r /e Bien de /a patrie, dant /e èwt de /«i attnrer «ne Contt/tMt/on //ère et no«t fwront de même de tacri/ier notre /orf«ne et notre vie à notre dé//ente comm«ne contre ce«« g«/ entravera/ent not pafriofiqnet /ntent/ont et d'être à font êgardt /idè/et à /a patrie. /nvoçwont /'Etre twprême powr oètenir tet regardt /avoraè/et à /'œwvre à entreprendre. — B/ecfiont : prêt/dent, /e c/foye«. 'LA.-/ red. Lîomtn ; vtce-prétidenf : ^4dam i/owrgtt/«; tecrêfa/ret : ^4èram-Lo«/t Bor/e et Simon-Pierre /acot-Pare/. — On adopte entwite «ne adrette a« Payt d'Brgwë/ ç«i tera /mpr/mêe à 5ÖÖ e«emp/a/ret, a«« /rait de /a Société. (Suivent 114 signatures). Villeret, 12 décembre 1792. /<9 A. d« matin. L« et approwvé /Mdrette imprimée. On adopte q«e cAaçwe Commwnawté powrra dé/é217.

(5) anfnnt Le memirer gn'e//e vonLra et gner, à /'ArremP/ée gne /à i/ rera LéciLé /e nomPre Le Lé^nfér an« arremP/éer. Ponr Lirenter nne motion, i/ fanLra LemanLer /a 2>ermirrion an PrériLent. On enferra Lanr /er ^aroirrer Ler commtijatrej ^>onr y porter /er e»em£>/airer Le /'ALrerre et /'éLification nécerrairer. Ponr Frame/anL, ce rera P. More/ et M Ponrgnin ; £>onr /e Par-Prgné7 : Pr. FonmarL et ,/ean-Pierre /eangnenin ; £onr Penan, /er citoyenr Cnnier et More/ ; ^>onr Corgémont : More/ et Lange/. (Suivent 37 nouvelles signatures). 3me Séance à Courtelary. iL LécemPre 7792. Per réancer reront Lérormair ferméer à tont nonvean memPre fnrgn'a /a fenne Le /'Arremè/ée nationa/e. — Per citoyenr ront invifér à ne ^>ar arborer /a cocarLe nationa/e Le Prance ; ce//e à aLo^ter étant /a cocarLe mi/itaire Ler Prgné/irfer. —- De tonter /er Commnnantér, ren/e /a F^toirre Le Per/er a refnré Le faire canre commun« avec nonr et reconna/t /a ronveraineté Le /a Pégence. 4me Séance à Courtelary. (77 Léc. 7797. Dircnrrion Ler matièrer à traiter Lanr /'ArremP/ée nationa/e Le Lemain.. A Villeret (77 fanvier 7795). PrériLent:. /.P.. AP'co/et. 73 no«wean# memPrer. Pne cocarLe ronge et ZLnncPe £onr /er memPrer à /a réance.. A Courtelary (77 janvier 7793). PemanLe L'a//i/iafion Le /a Société ^atriotigne Le Saint-7mier. Accepté 73 nonvean;«: memPrer. A Saint-Imier (7 février 7793). Parré à /'orLre Ln fonr rwr nne /ettre Le P. More/. A dram Ponrgnin ert nommé memPre L« Comité Le rnrvei//ance, en remplacement Le P. More/. 77 nonveawc. A Saint-Imier (79 février 7793). ConriLérant g ne /er canrer firca/er étaient maintenant rnrp>enLner et gne /er pierronner rirgnaient Le pjerLre /er p>renver L'innocence et /a partie p>n/Ligne /er rienner, /er pmroirrer ront piriéer Le faire en rorte gne /er rap>p>ortr roient faitr Lanr /a Pnitaine et /er affairer firca/er p>onrrnivier Lanr /a gninzaine Levant /er Priènnan.v, ronr p>eine L'être rerp>onra/Ler e//er-mêmer Ler amenLer. — 7/ ert p>rop>oré Le p>onrvoir enfin à /'e#écnfion Ler Lé/idérafionr p>rirer Lèr /ongtemp>r p>onr /'éta/Lirrement L'nn poinçon p>onr /er onvrierr en or et argent. — d nonvean:*: et 776 rignatnrer Le /a Société Le Saint-Zmier.. Règlement (77 fanvier 7793). 7 p>rériLenf, 7 recrétairer, 7 trérorier, et 7 comitér, /e premier Le rnrvei//ance Le (5 memPrer et /e reconL Le correrp>onLance. Pe p>rériLent et /e recrétaire ront é/nr p>onr nn moir, /er comitér p>onr 7 moir, et /e trérorier p>onr 3 moir. Sont rpiécifiéer enrnite /er fonctionr Ler officierr. 218.

(6) CX/7. Le Comité de Régence établi par S. A. aux sujets d'Erguël et en particulier à la Communauté de Courtelary. (7 décembre 7797J. /w/orwéj- gn'ii te mani/ette de ia /ermentafion dant gneignet Zien» de Z'Ergnëi, /et tonttignét /ont tavoir à /a dite Cté de prendre Zet metnret convenaAZet ponr prévenir i'e»écnfion de manvait detteint contre /a mairon de S.A. andit Zien, ter domainet, arcAivet et anfret oA/ett gn'iit contiennent dont /a contervation ett tentée tont ia tanvegarde dn Eayt et parficniièrement de /a Cté de Coicrte/ary ; en/oignent à tont cen» çni Montraient être regnit par /a Cté de ini prêter wain /orte, tont peine contre en» on ia dite Cté d'être retpontaAZe de tont dommager. .Etant de /'intérêt de tont Z'Ergnëi de prévenir de pareiit dommaget, cAargeont ie tantier Adamir Fonmard de régnérir /a convocation de /a Cté ponr ini intimer ia prétente. /Signée à Sienne.- /mer, L/eiimann./ Réponse du sautier //? décem/re /792 : Commnniçnée à ia Cté çni ini a répondn çn'eiie ne pent /'envitager gne comme nniie. /Signée Adamir Fonmard./. CX///. Avoyer. et Conseil secret de la ville de Berne à Nobles, sages messieurs, bons amis et voisins /d décembre /79<?j. Sommet Aenren» de ravoir de gne vont agittez en commun avec ia viiie de Sienne ponr amener ia trangniiiité de i'Srgnëi et ton refonr à ia Conrfitnfion. /Vont ordonnont encore à notre Saiiii de /Vidan de /avorirer de tont ton ponvoir cet démarcAet.. CX/F. Wildermett, maire. de Bienne, au baron de Roggenbach.. //P décembre /7P2/. Font avez vn par iet reiafionr dn recevenr //eiimann, comment ie départ de S.A. /nt ie tignai de /a commotion éiectrigne dant ia •//fe-Ergnëi. Set nonveiiet aiarmanfer gne M. ie Grand-Aaiiii d'Srgnëi a apporté à ce rn/ef ont déterminé ie Comité de Ségence de ie prier de te rendre à Sienne ponr demander co?ueii. L'on r'ert pen édi/ié de ia proporifion, mait /ngeant /'intervention de ia viiie de Sienne avantagente dant cet circonrtancer, /'on nont a conteiiié, comme vont verrez par ia ieffre dont LL. SS. ont Aonoré ie Comité de Ségence /voir ci-dettntj d'agir et de coopérer avec A/M. de Sienne, /'ai en ia ratir/action de voir /'intérêt gne /'on porte à Serne ponr ie tort de S. A. et /'intention de /aire ce gni ett pottiA/e ponr remettre iet cAotet dant /'ancien pied, tant te co??ipromettre avec ia France. S. S. de Steiger voniaif gn'on rétaidif incettamment ie potte de La SencAenette, ponr arrêter ie /en de ia propagande ; mait cette décition ett 219.

(7) ne reconrrera à ce moyen, çn'à /a liermère exire'mifé, penf-être iorsgn'ii sera trop farti. /'ai été combié lie po/itesse. M. lie Steiger m'a prié Centrer tians nne correjpowiiawce avec ini, gne 7'ej'aère avantageuse anx intérêts lie S. A. — Ayant invité aM;oMrii'AMî M. ie Laiiii tie ./Vii/an et MM. /es i/épntés tie tienne lie se ;'otncire an Comité ponr, en snife ties i/irections lie LL. LL\, aviser an moyen ci'arrêter i'insnrrecfion lie /'Lrgnëi, ces MM. ont fngé g ne /'intervention lie /a vi/ie <ie i/ienne devenait assez nécej'j'aire, sons /a réserve i'itn arrangement gne/congne ponr /a snprématie lie S. .4. et tin sfatn-gno lie /a Consfifnfion. 7e vons avone g ne f'atteniis très pen tie tont ceci, et sans tronpes £>ernoi.re.r, nons verrons an premier fonr, /'arbre lie /a über té _rnr /es frontières lie /a mairie lie tienne. Dans ces circonstance.? nons croyons votre présence ici très avantagense à /a c/tose pnb/igne. TOfl/A.fMrewj-£mewf tiifférée.. de. 0». CAT. De Watteville au baron de Roggenbach, grand maréchal S.A. à Frauenfeld f/<? décembre 77P2J. Fofre présence ici est abso/nment nécessaire.. CAFL Le Comité. de Régence. (Wildermett, Heilmann, Imer). S.A. fiP i/écembre 7792J. Défà /e i/imanche 2 conrant, /a vei//e i/n i/épart lie F. A., lians ia soirée, ii se tint à Conrfeiary nn c/nb nombrenx, composé lie gens lin iien, présiiié par ie ministre, en bonnet ronge, an» app/aniiissemenfs lie i'assemb/ée, eniioctrinée lians /es principes révointionnaires. Les inniii et mariii snivanf, ies cinbisfes annoncèrent ienr intention ti'opérer ia révointion, lie p/anter /'arbre lie ia Ziberfé an iien lin carcan, lie briser ies armoiries lin grince snr ia porte lie ia citateiainie, li'en eniever ies gironettes, lie liemaniZer /'extradition lies archives lin Laiiiiage. Le mariii matin 5, ies premiers officiers lie fnstice lin iien vinrent an nom lie ienrs corps tiécZarer an baiiii gne i'agitation montait an point gne ienr intervention pacifigne serait inntiie et liemanlièrent à être aiiibéré ties obiigations tie ienr office à cet égarii. — Le feniii, ie baiiii se renii à Sienne et avec ses tien» coiiègnes, b/eiimann et PFiiiiermetf, eht nne conférence avec MM. tie Sienne oh ii fat tiéciiié ie voyage à Lerne tie M. IFiiiiermefi g ni, s'y reniiit ie (5. Le même fonr on est informé gne ie maire Liomin et gaeignes membres tie ia fnstice lie Sf-bmier s'étaient tiévêtns tie ienr empioi tians nn cinb tenn à Fiiieret et gne ia révointion se propageait. Snr gaoi ie baiiii dépêcha gaeiga'nn lie confiance ponr s'informer exactement, et ponr prévenir ties excès contre ia chdteiainie, ie comité envoya h à. 220.

(8) CoarteZary /a Zettre ci-;oiMte (voir ci-dessus). -Der reareigMemeatr pZar précir arrifeMt. Le mercreOi roir, iZ r'ert teMM à FiZ/eref mm cZmP comporé <ie réwoZatioMMairer Oe /a Die Paroirre et Oe CoMrte/ary, mm MomPre Oe 40, oà arrirtait Ze maire Liomia, gai OécZara comme oawertare ga'iZ re Oérirtaif Oe rer em^/otr, eM /araat roZeaaeZZemeat, raiui Om /articier PorZe Oe Le nan, 0m /articier Poargaia 0e FiZZeret, aiari ça'aae Oéc/aratioM écrite 0m /articier Liomin père. Pair LiomiM /Or, éia prériOeaf Om cZnP, Poargaia, wice-prériOeat, -Sorie, recréfaire et /ectMre O'mm mémoire iMceMOiaire à répaaOre ^armi /e peapZe. Or Ore mm prériOeaf Oe re reMOre mm»; Fernerer, poar Ze /aire imprimer. {/Me circaZaire coawogaera toar Zer Soar patriofer à CoarteZary poar rigai/ier mm PaiZZi Oe re retirer et 0e remettre Zer arc/tiwer. — Ce/>eM0aMt aMCMMe réwoZfe Oirecte Oer Ctér ; Mr 9 m'à préreat, excepté ceZZe Oe. A. CoMrfeZary (7mi' a /ait Oé/eMre mm miMirtre Oe paPZier Ze Oécret Oe S. étaZOirraMt Ze Comité prowiroire, gai Oewait être Zm eM c/taire. — La géaéraZité Oe Za paroirre Oe 7*rameZaaO garait être gagnée à Za réûoZafioa. 0 CorgémoMt Ze miairtre m'a pa Zire Ze Oécret ga'ea /airaMt Oer réreruer 9ae MOMr Me coMMairroMr par. — DaMr Ze Par-Prgaè'Z, Za /ermeMtatioM commeMce. /Z parait çae Ze ryrtème Oer réuoZafioaaairer ert O'étaPZir aae répaPZiçae ZiPre et iaOépeaOaate avec coM/éOératioM awec Za Sairre ; ga'iZr oMt Oer reZatioar avec Zer poMwoirr citti/r et miZitairer Oe Porreatray. — DaMr Ze particaZier, Ze maire PFiZOermeft a reça Zer arrMraMcer Zer pZar poritiwer gae Perae et Ze Corpr /teZûéfigae Me roa//riraieMt par çae Z'PrgaëZ r'érige eM répaPZiçae. — DaMr MMe coM/éreMce O'aa/oarO'Lai, 0 a été OéciOé Oe OépMfer Ze Paaaeret, Ze c/taaceZier et Ze coMreiZZer Sc/taZteaPraaO Oaar Zer Ctér ergaéZirfer poMr tac/ter Oe rameMer Zer erpritr. La veaae à Pieaae O'mm miMirtre Oe S. j4. ert w'yemeat roa/taifée.. CXFLL. Brochure imprimée. — Situation politique du Pays. d'Erguël. (7(5 OécemPre PréamPa/e aMaZogMe à. Za. DécZaratioM Oer. Doitr. Oe. Z'/iomme.. 7 m-. OépMt, aprèr Za OoMatioM « riOicaZe » Oe Z'éféçae ZLeari Oe ZVeMcPateZ, Om Payr à roM PgZire, Ze régime Oer éztéçaer /at arres ZiPre,. PrgaéZirfer gai afaieat Z'aOmiMirtratioM ZocaZe Oe Za /arfice, « o//rireMt Ze moOèZe O'mm peapZë aarri /teareax ça'aa peMpZe peat Z'être Zorrça'iZ a perOa ra roaweraiaefé et ça'aa Aornate reaZ Z'exerce. j4m ZFZ« riècZe, cette ZiPerté M'était Oé/à pZar ça'aae c/timère. Ler Priacer auaieat OoMMé à Za uiZZe Oe Pieaae MMe aatorité miZitaire aProZae, roar prétexte gae O'aMcieMMeté Zer PrgaéZirfer avaient rerwi roar Zer Orapeaaa: PieMMoir. Feate Oe Z'LrgaëZ à PieMwe poar 7000 écar 0'or, carrée Zer. 221.

(9) par /a 7)ièfe jmj«. Octroi z/e/ Francbi/e/ tic 755(5 gni ne renferment p/n/ bé/a/ gn'nne partie z/e/ antigne/ /rawcA.iJ'CJ'. — « Combien, z/è/ /or/, o ÄrgMe/ijtcj', Ze/ cbo/e/ onf-e//e/ encore empirée/. Fon/ ne z/eviez, par /'art. /<", gne /a z/ime ein grain, von/ payes ce//e z/n iin, z/n c/z-anvre, z/e/ Jomwe; z/e terre et /a ^aroijj'e tie Per/e/, même ce/ie z/n foin, z/n regain et z/er /égnme/. La con/trnction z/e/ ronfe/, z/e/ cban//ée/ liont /a Déc/arafion /onveraine von/ a c/zargéj, von/ /ait /entir ton/ /e/ fonr/ nne ezcten/ion bien o?téren/e, avortée à /'art. 2 z/e/ corvée/. — L'ob/igation impo/ée an» ba//e/ ^aroij'J'ei' z/e fonrnir z/e granz/e/ gnantifé/ z/e boi/ à certaine fief/, e/t venne re.rtreincZre beanconp /e z/roit z/'itjage z/e/ bantez-fona: mentionné en /'art. 3. — Le Pay/ accorz/e, par /'art. 5, an Prince, /e ponvoir z/e /aire certaine/ orz/onnance/, certaine/ z/é/en/ez ; pni/gn'on /«i z/emanz/a /on con/entement iZ e/t c/air'gn'i/ anrait pn /e re/n/er. Fb bien / on ne no«/ éemzznée p/n/ z/e parei/ con/entement ponr non/ promn/gner mi//e orz/onnance/ gni b/e//ent no/ z/roit/. — L'art 5 non/ z/oîtnait /a cba//e ; ^oîzrgnoi z/one /a//nt-i/, en 777(5 /a z/emanz/er comme nne grace, ne /'obtenir gne révocab/e zi /a vo/onfé z/e/ Prince/ et en voir /zi z/è/ /or/ Z'n/age entravé, géné par /e bai//i, parce çn'i/ avait p/n zi çne/gne/ maire/ z/'y con/entir /an/ avoir rien z/it zi /enr/ paroi//e/ — L'ezcempfion z/e/ péage/ /fipn/ée en /'art. (5 n'o//re-t-e//e pa/ bien z/e/ réf/ezeion/, /nr /on ezcécnfion acfne//e TV'e/f-i/ pa/ probab/e gne zZan/ /'origine, i// ont z/n être emp/oyé/ à /'entretien z/e/ ronte/, tanz/i/ gne /e Prince /e/ perçoit et gne non/ /omme/ terra//é/ /on/ /e poiz// z/e /a con/trnction et z/e /'enfrefien z/e cban//ée/ — Par /'art. 7, i/ était encore orz/onné gne /e/ emp/oi/ /eraient amovib/e/, pni/gne /e/ ;n/fice/ z/evaient comme anparavanf être ra//i/e/ ton/ /e/ an/, ce gni ob/igeait ton/ /e/ membre/ z/e z/emanz/er /enr congé. Ce /a/nfaire n/age n'ezei/fe p/n/ ; on /'a abo/i afin gne /e/ maire/ et /e/ fn/ticier/ con/ervant tonfonr/ /enr/ charge/, fn//ent p/n/ intére//é/ zi tenir /e penp/e z/an/ Z'a//ervi//ement et gn'en.r-même/ /n//ent z/avantage z/an/ /a z/épenz/ance z/n Prince. — Par /e même artic/e, /e Prince n'avait encore gne /e z/roit z/e faire pré/iz/er /e/ TYibnnanx civi// par /e maire z/e Pienne et non z/e /e/ compo/er z/e non-Lrgné/i/fe/ comme Z'e/f zi pré/ent /e /Zège bai//iva/e et comme Z'e/t /e Pribnna/ z/e/ appe/Zation/. — Par /e même artic/e, on ne z/evaif ponr /ce//er ton/ /e/ acte/ gne/co?tgne/ /an/ exception, gne /a faib/e taoce z/e 7 ernebe/ et z/emi et z/epni/ 7(505 on a mi/ en n/age nn /cean /eignenria/ ponr certain/ acte/ angné/ i/ fant payer 77 bacbe/ et z/emi. — L'art. # étab/i//aif z/e moz/igne/ amenz/e/ ponr /e/ z/é/itz minenr/ et anfonrz/'bni on y a /nb/fifné z/e/ procéz/nre/ z/i/penz/ien/e/, z/e/ engnéfe/, z/e nombren/e/ anz/ition/ z/e témoin/ et z/e 222.

(10) arPitrairej. — .Arbitraire, ce jea/ mot ei monjfraeajej annonce it» gowucrwcTOcwi Jej^>ofigne ; an fco« goMwerwcmcwi n'inf/ige J'aatrej ;peinej gae ce//ej gae /a /oi j^écifie c/aircTOCwi ; «w bon gowucrne?newt /awjerati ^/atot e»ijfer /a ^>ojjibi/ifé Je /'im^anité J'an coa^>nb/e gae Je consacrer /e moi oJiea» J'arbitraire. — A/air ga'ejtce encore ce/a an ^>ri» Ja changement a^^orié à /'art. P ^>ar /egne/ i/ était ordonné gae /'tnjiraciton Jej ^rocéJarej erimine//ej je ferait Jevanf /a jajiice Je Si-/mier ei an renfort Jej aatrej fajttcej Ja Payj, tanJij gae ^>ar /a Z)éc/nrntion. .roaueratne Je .7742, on a Jéfà rejtreint ce/a à J ^>erjon?îej javoir /e bni//i, /e fircaZ ei /e greffier Ja ^>ayj ei ga'aa ??z-é^>rij même Je cet acte-/à, Zej Lai//ij je joni ^ermij J'é/iminer /e fijca/ ei /e greffier, Je jorfe gîte /e 5ai//i en informant jea/ /ej ^rocèj crimine/j Jevient maiire Je /a fortane, Je /'honnear, Je /a vie Je ioaj cea» git'i/ a intérêt à />erJre, car c'ejt ioafoarj jar /ej 2>rocéJarej crimine//ej gae /'on fîtge. — Oai, Prgaé/ijiej, voj Lai//ij je joni arrogéj /e Jroii Je faire ^érir /'innocent ei /e Jernier a a££récié ji Âaîti ce Jroii infame çae ma/gré Je^îtij J anj on im^/ore Z'e.yécation Jej formej ^rejcriie en /a .Déc/arafion joaveraine Je .Z7J2, i/ n'a famaij von/a appe/er à /'injtraciion Jej ^rocéJarej crimine//ej, /ej Jea» co//ègaej gae /a /oi /ai Jonnaif ; i/ a ioafoarj coniinaé Je /a faire jea/, moyen infni//ib/e Je jaiijfaire aa rejjentiment contre jej ennemij. — Pajjonj joaj ji/ence /'art. fP, bien Jifféreni ^oariani Jej ob/igafionj mi/iiairej aciae//ej Jej Lrgaé/ijfej. — Lej art. ff et 72 offrent bien Jej e»em^>/ej Je /'ancienne Joacear Ja goavernement, Lrgaé/ijfej / Joaceztr ji éfrange?»ent rem^/acée ^>ar /a rigaear tyrannigae gai tant Je foij é/>aija noj concitoyenj ^>ar J'e»cejjivej amenJeJ. — Lnfin /'art. i5 contient /a ^/ainte Je noj aïea» contre /'immoJicité Jej fraij Je fajtice. Lh / gae Jirnienf-i/j en voyant gae /'on a écarté toaj /ej ^rocèj Jej fajticej Je ^aroijjej ^>oar /ej traJaire toaj Jevanf /e Lni//i Jont /ej aaJiencej jont £ayéej Ji» foij ^>/aj ; gae Jiraient-i/j en comparant /ej fraij immenjej ga'occajionnaienf /ej étatj J'a^e' avec /ej moJigaej réiribationj gae /ej membrej Jej fajticej Je renfort recevaient ^oar fager /ej caajej J'a^e/. — Poaj voj Jroitj jont tranjgrejjéj. Le grince A/e/chior, en 755^, avait accorJé et /»ermij, en ^>aro/e Je Prince, J'en objercver /ej c/aajej bien et fiJè/ement ^oar /ai et jej jaccejjearj et ne cotijer, ni charger Javantage /ej Lrgaé/ijtej. L'ont-i/j fait cej Princej /orjgae ^>ar mi//e orJonnancej arbitrairej, i/j voaj ont oté voj ^rivi/ègej. L>anj /'Ltat J'a^e/ Je /dP#, /ej Z)écretj Je /dd2, Je fdJ/, Janj /a Léc/aration joaveraine Je /742, oà i/j ont fait /a Jej^ofigae réjerve Je ^oavoir en toaj tempj en aagmenfer oa en Jiminner /ej c/aajej. — Lt /'interJiction Je toat 223.

(11) acdat de grainj danj iej antrej Ftatj, jam/ à Porrentrny on mem« vonj we ponvez en acdefer çn'nne petite gnantifé. — Fe/nj générai de noj Princes de prendre en conjidérafion iej regnêtej ein Payr. Pa regnete de ia paroijje tie Sf-/mier, contre i'étaèitjjement de ia nonveiie ronte /nt re/njée par ie èejoin gn'avait ie Paiiii d'nn cLemin cowwoeie ponr aiier à ja métairie et eionf ia direction actneiie ia rend inntiie à ia pinj grande partie dn Payj ; an iien gne ji on i'avatt dirigée par iej Converj contre Poinod, eiie anrait trèj pen conté de conjtrnire, prejgne rien d'entretien et anrait jervi tont ie payj ponr commnnigner avec iVencLafei comme i'antre et en ontre avec Le Locie, La C/tan»-de-Fondj et même ia Prancde-Comté. — (?ni n'a été indigné de voir avec gnei emprejjement on a oidigé ie Payj de conjtrnire ia nonveiie ronte et avec çneiie injonciance on a /njgn'ici /ermé i'oreiiie an» réciamafionj mnitipiiéej et inntiiej gn'on a /aifJ ponr obtenir ia confrièntion an» /raij de cette ronte de tonj iej pro-. priétaire/ /oncierj, non-Frgnéiijtej, à i'inJtar dej Frgnéiijtej en»mémej. £?ni n'ejf de même indigné de ce gn'on a dijerédité notre commerce d'/toriogerie et /avorijé ceini de noj voijinj, en ne paj appointant ia demande /aite depnij dien dej annéej d'nn règiement de poiiee ponr iej onvrierj en or et en argent. — Cette ienfenr à décréter iej regnêtej je refronve danj iej antrej parfiej de i'adminijtration et jnrtont an tridnnai civii dn Paiiii on jont rénnij tonj iej adnj gni propagent iej procèj et minent iej /amiiiej, en partieniier iej jentencej incomprédenjidiej et prejgne ton;'onrj terminéej par nne /inaie dont i'amdignité donne iien à de nonvean» procèj. — Lej Ctéj ne janraient /aire ia pinj petite dijpojition de poiiee, janj en aedeter ia permijjion an Paiiii et janj çn'ii prétende ie droit e»cinji/ d'intimer ponr de i'argent à cen» gni doivent en rempiir iej /onctionj, ie jerment gni était /ait ci-devant janj anenn /raij ponr devant iej mairej on iej /njticierj. Fjt-ce ainji gne vonj jeriez traitéj ji on je con/ormait à ia /ranedije de 755(5 Le gonvernement en vioiant jej promejjej vonj a dégonté dej votrej. 7i n'e»ijte par conjégnent pinj ponr vonj de Frince-Fvégne de Paie. Lorj même gne par iej raijonj dédnitej, ii n'anrait paj perdn ie droit adjnrde et contre natnre d'être ie jonverain dn penpie d'Frgné'i, ii ie jerait néanmoinj par ia dijjointion dn Cdapitre de Paie, par i'anéantijjement de tonj jej Conjeii et jnrtont par ja /nite. — Ce prince gni ponr tenir jej penpiej danj ia gêne, j'éfait entonré de jateiiitej antriedienj, tronpej à çni i'on doit i'e»ijfence dej pignetj gni content à ce moment, janj e»agérafion, miiie ionij an Payj. — Ce cdapitre, ce prince-évégne, jej conjeiij, jej minijtrej, jej 224.

(12) officiers ont fni sans même nons en prévenir ma/gré gne Ze Pays fnt assemZJé Zorsgne Ze PaiZZi en rejnt Za nonveZZe, par exprès Ze sameJi Z«r Jécemère Z793. Mais sans Jonfe gn'iZ Z'a cacfté an# Jépntés Jes Ctés afin J'avoir Ze temps J'invenfer nn moyen gn'iZ a crn propre J nons réJnire an pZns Jangeren# escZavage ; Jisons-Ze, c'est Z'étaZJissement Je Za monsfrnense Pégence gni an Zien Jn grince nons en Jonne Jen#, éfaèZissement inonï, Jans Z'Ztistoire, iZZégaZ et nnZ par Zà-meme et Jesfrnctenr Je notre Z>on/z.enr et Je notre siirefé, pnisgne Ze èaiZZi et Ze receveitr, gni en sont c/targé ont Z'nn et Z'antre intérêt à ne pas nons rendre ^'njtice, car c'est contre Z'aJministration Jn èaiZZi gn'e#iste nne partie Je nos récZamations, c'est contre Za viZZe Je Pienne gne sont Jirigéej Zes antres et Ze recevenr est membre Jes ConseiZs Je cette viZZe-Za et sontient même nn procès contre nne Je nos Ctés. — C'est Jonc nos aJversaires gne Z'on nons Jonne ponr fnges. PrgnéZisfes / garJez votre .ronverainefé. ZVe Za remettez pas à nn Pfat voisin, vons risgneriez Je retomber en pen Je temps Jans Z'escZavage. — Garanfissez-vons J« Jespotisme intérienr en vons créant nne constitntion gni ne permette pas gn'nn Ztontme conserve nn empZoi an-JeZà Je 2 on 3 ans.. a vons nnir ponr éZire Jes représentants, 3J seront éZigièZej- tons Zes PrgnéZisfes à partir Je 3<5 ans, 3) cZtagne Cté éZira 3 Jépntés et ceZZes Je pZns Je 33 éZefenrs anront Jroit à Z Jépnfé par 33 éZecfenr.r, je rénnir à ConrteZary Ze fonr après Za pnZJication Je ce mémoire, précéJé J'nn office Jivin ponr impZorer Za protection Je Z'Pfre snprême, 3J procZamer Z'PrgnëZ inJépenJant, et propriétés Je Za répnZJigne tons ZJens, Jroifs et revenns Jn gonvernement précéJent, (5) étaZJir nne aJministration et Jes triJnnan# provisoires, 7J réJiger ensnife nne constitntion répnZJicaine, Jémocratigne, 3f éfaZJir Jes comités représentatifs ponr faciZiter Zes commnnications entre Zes Ctés et Z'assemZJée ponr permettre à Za constitntion Je n'être aJoptée gn'après sa ratification par Zes Ctés. ConcZnsions. Fons venez J'entenJre Ze Za?tgage Jn patriotisme. GarJons-nons tontefois, penJant cette interrnption Je ponvoir, Je Z'iJée fnneste gn'iZ est permis Je nons Zivrer an maZ. Pvitons an contraire Ze JésorJre et Zes Jissensions. slppZignons-nons à acgnérir tontes Zes connaissances et Zes verfns propres à nons inspirer Zes vnes Zes pZns saZntaires à notre patrie.. Za Société ^atriotigne J'PrgnëZ vons invite Jonc. : 3J. 225.

(13) RrocAnre. CXF//7. Avertissement que le département. le Conseil provisoire de Régence pour. d'Erguël adresse aux Communantés du Pays, /Décent-. ère 7792j.. L'/tomme etf tant cette porté à détirer Ze p/at gratté èow/tear pottiè/e, wrait /et pattiont, /et imper/ectiowj' gai towf- affac/téet à ta watare prétewfent aatti tant cette det oèttac/et à tet ucsa:*... Cet? ce gai /ait ça'on n'a /amait um mm et ga'ow we uerra /amait ga'aw peap/e, ga'ane nation ait pa te procarer det /oit et mm mode d'être goauerwé gai /attent par/aitt, tawt iwcoMuénienft, gai pattent attarer co?a^)/ètemeMt /e èon/tear de c/zacan en ^articM/ier et de fowt en généra/... C'ett poargaoi /'on a toa/oart dit gae /e mei/Zear det goauerwemewtt ett ce/ai gai etf /e moiwt wta-Muatt / — C/tert Argaé/ittet / /ortgae uoat uewez à ré//éc/tir tar uofre Contfifafion et à /a cowt^arer à ce//et det aafret watiowt, comèiew de /oit n'auez-uoat pat paè/ié auec /oie et reconaittance et aMtti auec raitow gae uoat /a froauiez pré/éraè/e à toMtet /et aafret. Det /to7>imet gai c/terc/tewf p/atot /eart intérétr parfica/iert gae ce/ai (/m èien paè/ic towt uewat depait gae/gae tempt uoat agiter, uoat trauni/Zer poar uoat oè/iger à /ear teruir d'iwttramewft propret à remp/ir /eart uaet. Aiwti uoat tauez ce gai t'ett patté en 779(7 aa tw/et de /a èattwière, det pertécatiowt iw/attet ga'i/t owt earercéet contre uot c/te/t à cette occatiow. Pait mom cowtetitt de t'é/euer contre /ear /égifime toauerain, i/t ont cAerc/zé... à èriter /et /iewt aMtti antigaet gae tacrét gai uoat /iewt à /'/zonoraè/e ui//e de Pienne et an Corpt /ze/uéfigae, à anéantir uotre e.vitfewce po/ifigae. ZVoat auowt um ce Zièe/Ze nadacieMa; ré^nwc/ît auec pro/atiow tozzt /e titre de Sitaatiow po/ifigae de L'Argzzë/ auec awe inuitafion à /e taiure tigwée Liomiw, prétidewf. // w'awMowce azzczzn /ait, aacan ^riwci^e, aacaw tytfème gai ne toit aatti aètarde et impréua gîte tow motif et par ZegzzeZ ow uomdrait uoMt entra/wer dant det t/é^warc/tet gai uowt attireraient /e mécowtewteinejtt et /'iwc/ig^zatiow r/et Atatt uoitiwt, wot a/Ziét et wot ^rotecfewrt et uowt e.v^oteraiewt uoMt et uotre patrie à itwe raine certaine. Let aateart rie cet imprimé y montrent Zewr twcapacité et /ear igworance aèto/ae en po/itigwe. Oà ett-ce gae Z'e.vpérie^tce /ear a apprit gae /a conttitîttion grt'i/t uoirt propotewf uoat rendra p/at A-earea» oa p/atot ne uortt rendra pat mn/Learer«: par toat /et détordret det partit, det /onctiont et de /'awarcAie. At t'i/ était pottiè/e de uoat conttitrter en répaè/igae /ière et indépettdartfe, uoat ne poarriez uoir taètitter ce ridica/e pro/et ga'aata^z-t gae uoat teriez en état de /e 226.

(14) sonfenir par vos propres moyens ; m«; on jowt-t7j Fons series Jone ZJenfot oZJigés Je vons appnyer Je gneZgne protection gni ne tarJerait pas à vons Jominer et Je Zà à vons /aire perJre cette Zièerté et cette in Jépen Jante à ZagneZZe vons aspiriez. Fronveriez-vons Z'appni Je Za S««e, récZameries-vons ceZni Je Za France Jont aZors tot on tarJ vons sniveriez Ze régime et Ze sort Comparez Zes c/iargej Je Za conftitittion Jésertée avec ceZZes gne vons vons seriez imposée. — Mais en at tenJanf gneZs év énements anriez-uowj à conrrir Fésorganisafion Je Za société, interruption Jes pouvoirs, Z'anarc/iie gni en résnZfe, Janger ponr vos personnes et vos propriété et tont ceZa à pnre perte, si Ze Prince vient à récupérer Z'autorité Zégifime et vons JemanJe compte Je votre Jéserfion Ft Zes gneZgnes inJiviJns gni vons ponj-rent vons a&anJonneront aZors ponr porter Zenrs têtes et Zenrs crimes Zoin J'nne /nsfice vengeresse. — t/ne conifitttfion si Jonce, si moJérée çni en exemptant Jes cÄ-argej- Jn gowvernement, J'aJminisfration et J'impo-rifion.r gni acca&Zent pinj-on-moinj Zes antres penpZes, vons garantit Za vraie Zi&erté, Za snrefé Je vos personnes et Je vos Aiens et vons protège e//icacement par Zes rénnionj" çn'eZZe vons o//e contre tont aZ>ns J'antorité, contre tonte in/n/tice et tonte oppression... — Ft sons gneZ prétexte vons porte-t-on Jans cette carrière Jangerenje. Fer mofi/s Je sagesse et Je prnJence ont engagé notre Prince à transporter sa Jemenre ponr nn temps à Constance en Zaissant Z'aJministration provisoire Jn gouvernement entre Zes mains J'nn ConseiZ Je régence gni a Jes Jroits à votre con/iance. On vons trompe en af/ectant Je vons /aire envisager Z'aPsence Jn Prince comme nne /nite. — On a cAerc/ié tont J'aèorJ à vons séJnire par Za Joctrine Je Za Zièerfé et Je Z'égaZifé, Jans Ze sens J'ea:a/fer Ze ccenr et Z'esprit Jes penpZes gni après avoir Zongtemps gémi Jans nn Jnr escZavage et Jans nne Zongne oppression, viennent font à conp rompre Zenrs cAaines et tombent Jans nn système opposé avec nne véAémence et nn enfÄ.onsiasme gni Zenr /ont perJre Z'égniZière Je Za moJération et Ze précipitent sonvent Jans Jes monvements opposés, anssi /acAena: gne Zes premiers. Mais nons gni sommes Jans nne position moJérée, nons Jevons Jans nne méJitation reconnaître gne Zes /tommes tons égan» an sortir Jes mains Je Za nafnre gnanJ à Zenr naissance, à Zenrs besoins et à Zenrs /ins, se trouvent cepenJant Ji//érenciés par Za Jiversité Je Zenrs /acnZtés pAysignes et inteZZecfneZZes gni proJnisenf anssi nne Jiversité Je vertns, Je vices, Je /orces et J'intérét Jont Zes nns pèsent nécessairement snr Zes antres. C'est Za Zoi Je Za natnre. Fe Zà Z'ascenJant et Z'oppression gne Ze pZns /ort exerce snr Ze pZns /aiAZe, Je Zà Za nécessité on Zes /lommes se sont vns Je renoncer à nne portion Je ZiAerté Jont 227.

(15) je»tZmeMf JaMJ Ze cosar et Je Za traMj^>orfer JMr «ne force ^wZJZgMe ca^aZJe Je Zej protéger. -De Zà Z'orZgZMe J» goMwerMemeMf. MaZj ZZ ejt A-orj Je -»attire çae ceZ-wZ çmZ ejf a^eZé à oèéZr, JoZt égaZ à ceZtii gaZ coraMiaMJe, aw mow tZe Za ZoZ, aMtremenf Z'e#écMtZoM cZe Za ZoZ jeraZt towfowrj- éZ-acZée £ar Zej eMtrauej gîte Ze-ar porteront Z»faZZZZèZemewt Z'ZgMoraMce et Zej 2>ajjZoMj. — jjMMMf à Z'égaZZté Jej Zn'eMJ, om Me ^>réjM-mera ^>aj çm'om ait ;/>m womj ^réjeMter cet a^>£»J, 2>MijgM tZ eJt éuZJeMt ç»'ZMJépeMJarameMf iZe Z'Z»;MjfZce JoMt eZZe jeraZt frayée, eZZe ejt aMjjZ c/iZwérZgMe gMe Za ^remZère, g-a'eZZe jeraZt jMèzterfZe aw woweMt gwZ jMZuraZt ceZwZ om om Z'awraZt étaZJZe et gw'eZZe JewZeMJrait JejfrMcfZue iZe toMte ZMjMjfrZe et Je foMt cotn-werce Jmmj Za JocZété. — AfaZj eM faZjaMt mm retoMr JMr Motre jiO-fZtZoM, çmZ Me recoMMaZtra gMe momj ;omZjjomj jomj Zej ZoZj et Ze goMwerMe-weMt çmZ momj régZjjeMf, Je toMte Za ZZèerté gMe Z'Ziowwe zwaMt e» JocZété ^>eMt raZjoMMaZJemeMf JéjZrer / — CommeMf <Zomc ^OMrrZoMj-MOMj a^ZZgMer Zej- motZfj- gMÎ OMt o^éré Za réwoZMtZoM fraMfaZj-e JoMt om woaJraZt momj- eMgager à Om jOMt aM wZZZeM Je momj ce j-MZztre Za warcZie et Zej ^rtMci^ej Jej^otZjme ar&ZtraZre gtiZ JZj^ojaZt eM jecret Je Za Zi&erfé et -meme Je Za wie Je ^erjoMMej, cej Zw^ojZtZoMj accaZJaMfej g-wi ^ejaZeMt jZ Zm^'mjteweMt jMr Ze ^aacre ^eti^Ze, gtiZ ^ortaZt jcmZ Ze ^oZJj Jej fraZj Jm gotwer»emeMt et Jm JéjorJre Jej fZMaMcej Om JOMt cej erreMrj et cej fraZj eMorwej Je fziJtZce g»Z e^ojaZeMt Za cZe et Za fortMMe Jej ^artîCMZZerj à MMe rMZMe ZMewZfaZJe Om ejt cm/Zm cette jerottaJe féoJaZe çmZ réJMZjaZt Z'Ziomme à Za coMJZtZoM Je Z>rMtej — ZVomj zjomj offronj moj comjcZZj, Motre jecoMrj, Motre ZMferweMtZoM Miewe JMr ce gMt womj rejteraZt à JéjZrer £oMr ztotre ^Zmj graMJ èoMZieMr, et JaMj cet o&fet momj üomj ZMüZtoMj à Z'auaMce à mmc ajjewZJée Jm £ayj, ZégaZe et coMjfZfMfZoMMeZZe om momj ^»oMrroMj coM/érer eMje-wZJe JMr Zej ztraZj woyeMj J'o^érer Ze ^Zmj graMJ ZJeM Je Za c/ioje ^MèZZgMe. S'ZZ i;omj rejte Jej JoMfej JMr Z'ZMfeMfZoM Jroife et jZMcère çmZ momj a?nme ^>OMr woj ztérZfaZJej et joZZJej ZMtéretj, momj womj maMZ/ejteroMj Motre JéjZr jîMcère Je coMCOMrZr aMji uceM» gae uomj ^oMrrZes former ^>oMr MMe aJmÎMZjtratZoM JZfféreMte, weme eM momj Jé^oMZZZaMt aztec ^ZaZjZr J'mmc foMCtZoM ;peMZZJe et JéZZcate gMe Motre JéuoMeme»f jcmZ à S. j4. et à Za ^atrZe a ^>m momj eMgager à recevoZr. — ZVomj Me rZjgMOMj rZe» Je JeweMrer fZJèZe à Motre coMjtZtMtZoM, waij momj rZjgMOMj toMt Je Za Jéjerfer. ^e^owjjez Z'erreMr JaMj ZagtteZZe om cAercZie à womj eMtratMer. — Fomj recoMMattrez, c/terj coMcZtoyeMJ, ta»t à ^réjeMt çm'J Z'aueMZr, ^>ar ce gMe momj ucmomj Je uomj JZre, Za jZMcérZté et Za ^)Mreté Je moj ZMteMtZoMj ^>0Mr wotre yéritaZJe et joZZJe auaMta^e Jmmj Zej cZrcoMJtancej ^réjeMtej... JZeMreM» jZ moj effortj Me JOMt ^>aj ZMMtZZej ZZj. 228. oMt. Ze.

(16) et ri notre zè/e, notre affection />onr wonr ;£>ent confriAner en gne/gne cAore à wotre AonAenr et à rerrerrer de />/nr en />/nr /er /ienr de /a />ni», lie /'nnion et d'nne confiance mntne//e gni en reront /a Anre et. notre constante jo/iicitMiie. (Signé: JFi/dermetf, maire de .Sienne; /mer, Ani//i d'Prgnë/J.. gni reront tonfonrr /'oAfet. de. CXLX. Verbal de la Grande Journée, f/rc nrremA/ée « réwo/ndécemAre /792, fait et e»/>édié à /a Pégence tionnaire » d'Prgnë/ dn />nr nn nmif.. //. //. y await /er dé/>nfér de /<? Ctér gni forment /er ^nroirrer de St-/mier, Conrfe/nry, Corgémont et Trame/an; mnir nncnn der ^>nroirrer de SomAewn/, Péry, Fnnffe/in et Per/er, fairant 9 Comm«na«ter. — (59 dé/mfér re ront ncAeminér de /a mairon de commnne, ^>ar rang d'âge, werr /er // Aenrer, à /'ég/ire, awec /a cocarde ronge et A/nncAe de /a Pannière an cAa/>enn. //r marc Anient den» à den», />récéder der 2/ mnricienr de /a mnrigne dn //ant et Moyen Prgnë/. Dewnnt /'ég/ire /e ^artenr Cnnier r'ert rangé danr /a fi/e, derrière /a mnrigne, en AnAit racerdota/, /»errngne Aien retapée awec à ra droite M. Z/ime/y, ^nrfeztr à Sf-/mier, /a téte concerte tant ren/ement d'nn Aonnet A/nnc, ranr ^>errngne, tenant en ra main nn grnndirrime cAn/>enn grir détronrré, wétn de ron /ong frac an rnrfonf de dra/> noirette et, à gnncAe de Cnnier, ron />enrionnnire de IFyrrenAonrg, fenne Âomme de /5 à M anr, awec nn Aonnet ronge, (c'ert /e ren/ et premier Aonnet ronge à /a frnnçnire gni ait été wn à gne/gn'nn dn />nyrf. — Le cortège an ron der c/ocAer et de /a mnrigjfe gnerrière r'ert tn dewant /e cimefière on /a mnrigne de /'ég/ire /'a rem/>/ncé. Le ^>arfenr a prir ra />/ace ordinaire awec rer den» rniwnntr. Ler dé/>ntér ont occnpé /e Anne de /a fnrtice et /er rniwantr, anrri rérerwér />onr en». Ln />en^/e notn-Aren» rem/>/irrait /e « wnze » gni n'a /m contenir tonr /er cnrien» çnoign'on ait édifié nne grande ga/erie ranr riège, de /5 />iedr de /irofondenr on /'on montait />ar nn erca/ier. Le minirtre, monté en cAaire et rniwi de ron />enrionnnire, /e Aonnet ronge tonfonrr Aien c/oné rnr /a téte, a fait nne prière de circonrtance et cAnnfé der cantigner ; />nir /e />nrtenr commença ron dirconrr et r'adrerrant an» dé/>ntér /enr dit ; « Citoyenr mandatairer dn />eiçp/e, fe wottr ra/ne. » Le rerwice diwin fini, r'ert retiré gni a won/n. — — Pnrnite /e maire Liomin a fait /'onwertnre de /'nrremA/ée ^>ar nn dirconrr, ^>nir wérification der />onwoirr, nomination d'nn /»rérident : Lio?»in ; wice-préridenf : p. More/ ; 5 recrétairer : CL. Gagne Ain, fadir ZnndrcAreiAer, /.-//. Foirin, fadir greffier et P. Fonmard, fadir capitaine en Prnrre. Cer J recrétairer ont />rir p/ace à nne taA/e dewnnf /e 2>réridenf, an /tant dn Anne de /a 229.

(17) /wjtice. — 0» 7éci7e ewjwite Zej iwwitationj Zej pZwj prejjawtej a«« cowwMMiîMiéj 7w 9aj Lrgwé'Z 7e je réwnir à Z'AjjemèZée ; pwij «ne commùjiow powr appoter Zej jceZZéj à Za cZiamère 7'aw7ience 7e /a C/iafeZaine. Adjonction évidemment postérieure au verbal précédent. — C/iagwe /owr wert 79 Ziewrej, Ze cariZZon 7ej cZoc/iej a rajjemLZé /et 7épwféj an tempZe /wjgw'aw jame7i ow Ze /roi7 étant jwrweww, Z'ajjemLZée a prit ter jéancej 7anj 7ewa: apparfemewtj réwwit en ww c/iez Z'ancien jawtter, Lrawfow LawgeZ et 7èj /ort /a jowwene a prit /in. — Pew aprèj Ze nombre 7ej 7épwtéj a 7imiwwé gwoigwe par/oit ZZ ewt été rew/orcé, jeZow Z'im^ortawce 7ej mafièrej ; iZ y a ew awjji çweZgwej cowrtj iwferwaZZej 7e reZacLemenf ; maij aZorj ww Comité weiZZait. Lw/in Za Z>eJogwe awançanf pew et gweZgwej Ctéj j'apercewawf gw'eZZej j'écartaiewt 7e Za 7roife voie, on pewt 7ire gwe cette /wmewje aJjemèZée gwi te çwaZi/iait 7'ajjemZ7ée 7e Za ma/orité <Zw Payj 7'LVgtté'Z j'ejt 7ijjowte Ze 7 /éwrier 7793, /owr awgweZ on a régZé Ze compte 7ej /raw à Za c/iarge (Ze Za matte, ZetgweZt atcew7aiewt à prêt (Ze 799 écwt /aiZiZet. Dant cette tomme ne tont pat compritet Zej /owrnéet 7et 7épwtéj taZariét par cZiacwwe 7et Ctéj ; ce gwi /ait wwe tomme approcZianf (Zw 7owZ7e (Ze ceZZe ci-7ejjwt et (Zet /raw (Ze 7épewtet (Zw CZwè gwi ett Za towrce (Zet maZ/tewrt acfweZt (Zw payt. — (Jwant à Za /ormafiow (Ze Za répwèZigwe cZémocratiçwe powr ZagweZZe on await été cowwoqwé, eZZe ett encore iw-petto, teZZemenf gwe Zet 9 Cfét <Zw 7?at gwi tont rettéet françwiZZemewf c/ies eZZet et gwi n'ont 2>oinf 7e cZwZ>, 7oiwewt rire jowj cape. C/OT. Le Comité de Régence ReZate. Za. à. S.A.. (7<5. 7écem9re 7792/.. twite 7ej éwénementt. Foyage en Lrgwé'Z. (Ze. MM.. Ze. èanweret, cZiawceZier et Ze conteiZZer et commaw(Zant ScLaZtew7raw7, (Zw mar(Zi 77 aw wew7re7i 77. 7)wrant ce ternit, 7i//wtion 7ti LièeZZe iwjwrgatoire ew Lrgwé'Z, çwe Ze maire Liomin wewait 7e rapporter 7e PowtarZier, ow iZ await été imprimé, Zet imprimeriej 7e Aewc/iafeZ et 7et Ferrièret ayant re/wté. Ci-;oint 2 exem^Zairet. — La 7é^wfafiow 7e Liewne arriwa Ze mar7i toir 77 cZiez Ze maire Liomiw à SowwiZier ; eZZe ne Ze frowwa point aw Zogir parce gw'à Z'arriwée 7e jet MM. iZ ew tortit cZaw7ejfiwement powr je ren7re à FiZZeret awec Za c/targe 7e .jej ZièeZZej et ow iZ /it ajjemZ7er Ze cZ-teZ? powr 7éZi9érer tant 7ot(te fwowj tie jommej pat encore in/orméj aw /wjtej jwr Z'arriwée 7e Za 7épwtation èiewwowe et iZ parait èien çw'iZ /wt 7éci7é 7e perjijter 7awj Za réwoZwtiow, pwijgwe Zej ZièeZZej /wrent répan7wj Ze Zen7emain awec céZérité et pro/wjiow et gwe prejçwe partowt Z'o9;'et 7e Za 7épwtation /wt éZw7é. Cepew7awt Za 7épwtatiow a rapporté çwe Za gran7e ma/orité 230.

(18) de /a Cté de Sonviiier await déciaré gne Jon intention n'était ^oint de ^e défacAer de Za Aanniêre de Sienne ; à Penan iej ej;prifj étaient ^arfagéj ; à St-/mier, mai accneiiiie an ^>oint gne iej gem dn ^en^ie pariaient de Zanteraer iej o//icierj de viiie gni étaient à ia jnite dej dé^>ntéj ; à ^>en ^>rèj de même à FiZZeret ; Cormoret j'ejf tronvé Aon et nonj devom rendre cette 7'njtice à cette Cté gne /njgn'ici eiie répronva cej innovation! et ne délirait rien tant gne de rejfer /idèie, maij eiie ejt jom Z'op^>re.r.rion de ia Cté de ConrfeZary gni ia frnvaiZZe. ConrfeZary ia dégustation a été en gneigne jorte £erjifiée 2>nijgne ie miniitre Cn?zier gni Z'a Aarangné à ia téfe de ia commitne dijait gne c'était avec Aeancon^ de jatii/action gne ia Pé^nAZigne d'Srgnëi voyait ja jcenr ainée fia viiie de Sienne/ /aire iej ^>remièrej nunrnncej d'amitié jincèrej. CortéAerf jernit Aon j'ii n'était fravaiZZé £>ar Corgémonf on ia dé^nfation n'a £>aj été Aien accneiiiie ; gnoign'ii y ait encore Aeancon^) de ^erjowtej Aien i?ttentionnéej mail gni y jont jonj ie ;ong de ia /amiiie ilforeiie flic/ gni y a nne grande in/inence et danj iaçneiie je tronve maZAenreniement iej den» fiij dn miniitre et jnrtont ie cadet /nriite çni jont aimi à ia téte de ia révointion. SonceAoz j'eit tronvé en régie à fonj égardi. La ^aroiue de Periei ejt Aonne en fonj jenj et Péry de même jan/ iej réciamationj concernant iej /ie/j de PencAeneffe et de PondcAafei. ri Fan//eiin et à 7*rameian, iij je jont confentéi d'envoyer nn méritoire Aortatoire. — 7onfe/oij now ne ^onvow diui?nnier à F. j4. gne nonj ^>réjwmonj gne ie trawaii ^rincipai de ia dé^ntation tendait à maintenir iej droitj de ia viiie de Sienne en Srgnëi, 'et « ^ent-étre à /aire dej vnej j)inj éfendnei » fee dernier Aont de ^Araje Aien gne jériemement Ai//é ejt /aciie à iirej. — iVonj avow donc ia cowoiafion de voir gne i'épidémie j'arrête à SonceAoz. ZVow vow remettonj ci-/oint ie déiiAéré de ia Cté de SerZej an» troij émijjairej dej iwnrgenfj, mani/ejfanf ja /idéiifé à S. A Sioge dn maire LanAjcAer gni a Jn maintenir cette Cté danj ja /idéiifé, dn 2>njfenr Penggner an-dit iien, dn /njficier PTnrz de Monfmény ; ?»ention AonoraAZe dej ^aifenri GiAoiet de Penan, /mer de PrameZan, IFaff d'Orvin et Fan//eZin et encore dej o//icierj de PrameZan, Séry, Fan//eiin et SonceAoz dont ie zêie ^ozsr S. /t. ejt ionaAie. — Le vendredi dej dé^nféi dej ^aroiuej de Péri et Fan//eiin je rendirent aPeriei ^>onr prendre connaijjance dej dij^ojitionj de cette ^aroiue et agrandirent à ia déiiAération de cette commnwe. Cependant ceîs» de Péri je ^iaignirent vivement de Z'e»teniion Aien onérewe ponr en» gn'on avait donné à ia L>eciaration jonveraine de /7L2, concernant iej /ie/j de PondcAafei et PencAeneffe et déciarèrent vonioir à cet égard prendre i'avij de Serne. iVonj ne iej. jam cejjej.. ^4. //. 231.

(19) awowj ^>aj tiétowrwé tie cette itiée, ^>ewjawt èiew gw'iij we trowwerwtewt /à çwe ti'e»ceiiewtj cowjeiij. — TVowj auowj commitwiçwé ew owtre tf cette réwwiow ie mé?woire çwe wowj aoowj rédigé jowj /orme ti'èlûerfijjemewfj aw» Ctéj ti'Prgwëi tiowf ii a été /ait iectwre tiawj i'ajjemi>iée tiw iewtiemaiw, à /a jwife tie çwoi, iej L Ctéj tie Sowceèoz, Péri, Fawffeiiw et Periej owt wwawimemewt réjoiw tie we ^>aj paraître à i'ajjem&iée tie Cowrteiary tie tiemaiw 27; ti'ow ü réjwite gwe cej 2 ^aroijj'ej' je comme womj tiewowj wowj y attewtire iej jowt jé^aréej. — ...Maij o^>iwiowj wiewwewt à je tiiwijer ^armi iej iwjwrgewtj ew»-mémej et gwe fatigwé, towrmewté 7>ar iewr ^>ro^>re agitafiow, iij Je ra^rocAewt ^>iwj ow moiwj tiej ré/ie»iowj gwi ^ewwewt caiwrer iewr efferyejcewce, c'ejt aiorj çwe wowj tac/rerowj tie uewir à iewr jecowrj ; c'ejt aiorj gwe wowj iewr adrejjerowj ie mémoire <jwe wowj auowj rédigé. — Sigwé PFiitiermett, 7mer, Tieiimaww.. ji. CXX7. Heilmann au Conseiller référendaire Schumacher,. à. Constance. (7(5 tiécemPre 7792).. Dw matiw aw joir, ma maijow we tiéjaiowtif ^>aj ti'Prgwëi. (Jwe tiitej-oowj tie M. Piomiw çwi iiore ie -majçwe ti'wwe ^areiiie mawière v4wriez-fowj crw ceia tie iwi Moi, fe uowj auowe gwe fe we m'y cowwaij ^>iwj /. CXX77. Wildermett à son très cher ami (7(5 tiécemère 7792). <2e Le 2>iwj efficace était tie rétaèiir, ew ie rewforfawf, ie La PewcLewetfe, comme me ie cowjeiiie M. tie Steiger ; maij MM. tie Piewwe towfowrj ew craiwte tie porter omPrage aw» Prawfaij, et M. tie JFafteiwiie, ewtrawt ^>iwfof tiawj iewrj uwej, ceia we je fera ^>aj ewcore. Dowwer jwite iwcejjammewt aw mémoire çwe M. tie Parf/téiemy a 7>romij à M. ie Powrgwemaitre tie faire ^ajjer, az>ec Ja recommawtia-. tiow à iMjjemèiée cowyewfiowweiie et ceia ew wwe tie iej ewgager d tiowwer ortire aw Commawtiawt tie Porrewtrwy tie we 7>oiwt ajjijfer tie trow^ej iej mjwrgewtj, wi iej fauorâer ti'awcwwe mawière tiawj iewrj ^rofetj. Ceci étawt ew cowfratiicfiow aw jyjtème tie ia Cowcewtiow, fe tiowte gwe M. tie PartLéiemy, maigré towte ja i>owwe woiowté, réwjjijje tiawj cet ofrfet. — Pw attewtiawt, ia cowjfitwtiow tiej 7wjwrgewtj jera orgawijée et cowjitiérée. Ce çwe wowj acowj ^>w faire tie miew», c'était tie jé^arer ie Paj-Prgwè'i... TVowj auowj été oèiigé ti'omettre tiawj i'e»Lortatiow ia jigwatwre tie M. 77eiimaww çwi a ie maiMwr tie tiéf>iaire ew Prgwëi et à Piewwe. Le Paiiii tie iWtiaw awrait aimé ia ^réjewce tie M. tie Poggewèacir £owr orgawijer awfremewf ia Pégewce et y mettre ie maire et ie cowjeii tie Piewwe. /e voij èiew tiawj towt ceci gwe MM. 232.

(20) de Pienne pensent p/utot à /ewrs intérêts gu'à ceu# du Prince.. Le ma/ tie tout ceci est gue c/incun a nn p/an et gue /a Cowr n'en ait aucun, /e commence à me persuader gue mime si /es c/ioses retiennent sur /'ancien pied, grace an friompLe des armées aufric/tiennes, i/ /ant/ra (ianj /es terres d'empire <ie /'Duéc/ré (i'antrej- arrangements ^>o/itignes, car /es têtes y ont été trop esja/tées pour accepter /'ancien ordre de c/roses. Ce retonr est-i/ certain comme /e ten# /e croire et /'espérer. Mais i/ est assez de /a prudence de penser an cas contraire et d'aviser an moyen de disposer a/ors dn miens; possi/de des intérêts de S. si. et dn /innf-C/tn^>itre. La situation est a//reuse dans /e pays de Porrentruy pour /es Lonnêtes gens. Mesdames de Pi//ieu# et /a maison n'ont pas encore eu de désagréments margués, mais /e tondrais /es satoir Lors des mains de ces monstres. A^ous atons aussi à Pienne sons tontes sortes de prétextes des émissaires. // est arrité ici un secrétaire de M. Demurs, cLargé de /etfres pour /es Moser, parents de iîenggner. gui est un entoyé pour /a propagande. /e /ni ai /ait part du Décret gue nous /ni ations /ait sur /es Emigrés et /es étrangers. // m'a promis d'oètempérer et /'apprends gn'i/ rode encore par /à. Cette /ata/e crainte des Français nous /ait commettre en Suisse èien des ^assesses, /'ai ici' M. /e grand-èai//i de Courte/ary, atec tonte sa /umi//e. //s s'arrangent à passer /'/titer dans /a maison de M. LauPrcLer. CATX777. Délibération de la Communauté de Perles. /7<5 décem-. bre 1792).. Pn a//emand.. 7° A^ous ton/ons rester /idè/e à notre Prince. — 2» ./Vous re/nsons d'assister à Z'assemZdée du 77 gui est inconstitntionne//e. -— ./Vous protestons d'atance contre tontes réso/ntions gui pour-. raient y être prises. CATX/F. La Société patriotique d'Erguël. /7<5 décembre 7792). ^4ssem7/ée /e 72 décembre dé/ègne /es citoyens Pred Foumard, /ean-Pierre /eanguenin, Georges A^ico/as Prisard, Pred. Louis Peynon, /ean-Pierre Pourguin, CAar/es-Pmmanue/ Penoit, Datid-gl/p/tonse Ponrgnin pour intiter /es Ctés du Pays à se réunir sous /e /ien de /a /raîernifé, de /'union et de /'amour du èie?t-pu7/ic, eu suitant /'imprimé ci-/oint si e//es /e /ugent à propos. Signé: Liomin président, L. Por/e secrétaire. CALVF. Les Communautés du Bas-Erguël, réunies nette. /75 décembre 7792).. à. La Reuche-. .dyant /ugé prudent d'atoir une conférence entre e//es au su/et de /'appeZ de /a Société patriofigue d'Prguë/ ont décidé : gu'en atten233.

(21) dant mm antre ordre de choses snr (a sifnation de notre Pays, om entrerait ponr rien dans (es vne et profets de /a difte société, ponr Me passer ponr rebe((es et parfnres envers (e SoMueraiM, et nos Miiés, (e (onab(e Corps Ae(véfiçne ; et gne ce dernier serait instrnit de ce gni je passe cm Prgnë( et gn'on (ni demaMdera dîVectioM et protection. Signée : /.-//. LanbscA-er, maire de Per(es, 7. Groj;'ea?t, maire de Péry, /.-id. 77ngne(et, maire de Fanf/e(in, PowrçMtM, maire de SombevaL CALLF7. Certificat de pose de scellés (77 décembre 7792 j.. à là. maison de Courtelary.. Secret, signé FoiriM, snr ('ordre de (a mafenre partie des Ctés d'PrgnëL On dépnté de cAaçne commwMawfé s'est rendn à (a maison seignenriaie on i(s OMt tronvé (e secrétaire Pernot, (e doMtestiçMe Los. CAateiain et /ean Po/(ier ; i(s demandent (a c(ef des arc/iiues. Le secrétaire répond gn'e((e se tronve eMfre (es mains de (a SeigneMrie à Per/es, om e((e a tronvé à propos de /ticer (e siège dît bai((iage fnsgn'a antre disposition. On a ensnife apposé (e scean dn citoyen Liomin, père snr (es bn/fets de poi((e d'andience, pnis an# trois portes de (a dite cAambre, pnis an» portes des archives, pnis retiré (5 c/e/s servant à onwrir (es portes d'entrée de (a chambre d'andience et des bn/fets.. CPT77. Lettre de Wildermett. (2/. à. M. le président. de. Tscharner.. décembre 7792J.. P:*posifioM de (a révoite en Prgnëb Se piaint des reiations des rebe((es avec MM. de Pienne et (e bai((i de (Vidan et de n'avoir pas été tenn an conrant de ces rénnions. On se prépare même Mne conférence avec (es rebe((es et prière de faire part de ce(a à LL. PP. et' demande conseii. fP((e re(ate ensnite (es événements en qwestion gn'expose anssi (a (ettre snivantej.. CXXF/77. Le Comité de régence à S.A. (25 décembre 7792J. Les révoités se /(affaienf d'obtenir ('appni de (a Prance ; ensnite i(s ont dît perdre cet espoir pnisgne dès (e 75 conrant, i(s ont travai((é promptement à retirer (es e»emp(aires dn (ibe((e et (enr ont snbsfitné nne provocation fort capfiense et insidiense signée des trois secrétaires de Cassembiée de Conrfeiary adressée an« 9 Ctés dn bas-Prgnëb. Pevenanf de (enr premier système de rompre avec (a vi((e de Pienne et (e Corps Aeivétigne, i(s annoncent gne (enr intention est de (es conserver et invitent à (enr assemb(ée dn 29. — Cette (ettre était cependant fa((aciense, car on apprend gne (a paroisse de 7Yame(an entière et (es Ctés de Corféberf et Cormoref n'ont envoyé des dépntés 234.

(22) i'ajjembiée dn 77 gn'anec nne injtrncfion iimifée d'entendre jeniement iej déiibérafionj ponr iej commiwiigtter à ienr Cté, janj participer awirement à cej déiibérationj. P'ajjembiée n'était donc paj compojée de ia ma/orité dn Payj, maw de /a minorité, 9 Ctéj opéranfej contre 9 o^oja^ttej et 5 re^ojajttej'. Pécit rie ia cérémonie tin 77 à Conrte/ary P)wconrj tin minwtre Cnnier gni débnte ainji : « Mandatairej itonorabiej de ce penpie, ;e uonj .raine. Citoyens, mer citerj /rèrej rie fontej iej conditionj, /e uonj jaine. » P'ajjembiée, ^onwoirj uéri/iéj, arrête gîte iej Tmpriméj (Sifnntion dn Payj d'Prgnëi et antrerj jeront retirée. Pej paroijjej cée Péry, Sonceboz, Ctéj rie Pomont et Peiben, an un dej ^iémarcA-ej- /aitej par 77 dépntéj avortant ia jeconde iettre, je décidèrent à enuoyer dej dépntéj à i'ajjembiée dn 79 marj, maij auec i'intention iimitée tie réciamer nne conjnitation auec Pienne et ie Corpj Peiuétigne et à demander gn'ancnn minijtre étranger tin département ne pnijje j'initier danj iej a//airej poiifignej. ylnjji en a-t-on dé;'à éiiminé ie miniJtre Cnnier gni, tie dépit j'ejt abjenfé pinjienrj /onrj. Pa paroijje de Péry, trauaiiiée par ie minijtre Piomin et d'antrej, doit auoir retiré cette proenration et donné pieinj ponuoirj à jej dépntéj ponr i'ajjemà. biée dît 79.. Craignant gne i'indépendance ne joit prociamée ie 79, ce gni ponrraif donner à ia Prance nn prétexte ponr intervenir en Prgné'i, nonj auonj çon/éré avec M. ie baiiii de iVidan et ie bonrgmejtre Mojer et ii /nt réjoin çne M. ie citanceiier TVen/tanj avec nn membre dit Conjeii jeraif dépîtté à Conrteiary ponr emporter i'ajjembiée à ne rien décider /njgn'a ce gne ia uiiie de Pienne ent con/éré avec ie payj d'Prgné'i. /Venhanj et PaxeiPo/er rempiirent cette mijjion et ie iendemain i'ajjembiée dépêcha à Pienne nne dépntation de d membrej. A/aij ayant prétendn traiter avec Pienne jnr nn pied d'égaiité, ie Conjeii iej a renuoyéj aprèj nne grande admonejtation de demenrer danj i'ordre conjtitntionnei. — Pej # membrej aiièrent enjnite cites ie baiiii de TWdan en i'ajjnrant de ienr attachement à Pienne et an Corpj iteiuéfigne. Pe baiiii ienr dit gne PP. PP. (de PerneJ verraient avec jatij/action iej jenfimentj gni iej animent maij gn'Piiej n'en agréeraient i'etvprejjion gn'antant gne ce payj rentrera danj jon devoir enverj S. j4. et Pienne. Pe hajard ayant uonin gne cette andience y /nt donnée pendant gne nonj étionj an chafean de iVidan, nonj conuimej avec M. ie baiiii, aprèj ie départ dej dépntéj gni /nrent refnj à part, gn'ii je proenrerait de PP. PP. nne réponje a/firmatiue à jon adrejje jnr Jon rapport et gn'ii ia commnnignerait en Prgné'i. — Pépntéj e^aitéj, iij déciarent vonioir vivre iibre on monrir ; maij nonj 235.

(23) croyonr cependant gne cer conrei/r ont /ait gne/gner imprerrionr rnr en». La dirporition paci/igne gne /a France mani/erte aM;o«r^'/i«î enverr /a Snirre, /e pen d'accèr gne /er révo/fér tronvent roit en Snirre, roit en France, /er em&arrar inférienrr, /er /raw énorwej- (a 799 /ow par remainej, Zer dirporitionr dn Far-Frgnë/ et /er événemenfr e»férienrr, /onrniront, nonr /'ej-^éronj, /e refonr à de mei/Zenrer jitnationj.... (FOT/X. Imer. à. très honoré patron (FoggenAacA ?/ (27 decern-. Are 7792/.. Ci-/oint copie dn dirconrr dn Aonrgmerfre Adorer, à Z'andience dn Conrei/ de Fienne /e 22 dn et. et gni déve/oppe ie ryrfème de cette vi//e de /efer nn /i/et gni danr tonr Zer car pnirre /ni rapporter çne/gne cAore. — Si /e Magirtrnf avait tenn /rancAement avec nonr, nonr rérionr parvenn à ramener /e rtafn-gno en Frgnë/. Tin /ond, Fienne tont en ayant /'air de ronfenir /e Prince, n'était par /acAée gne /er Frgné/irfer r'en réparent, a/in de ponvoir parvenir à Zenrr vner, tont en re convrant d'nn manfean ri /e Prince ert réintégré danr rer Ftatr. -De /à, /a méconnairrance de /a Fégence. A mon avir, i/ vandraif mien» gne /'Frgnë/ /one /a comédie de /a FépnA/igne indépendante, et empécAer nne coa/ifion de /'Frgnë/ avec Fienne. /e rendr /nrtice an zè/e éc/airé de M. JFi/dermett, rnrtont danr /a porition di//ici/e on i/ re tronve. TVonr avonr été Aien morti/iér gne vonr on M. de Fi//ien» n'ait pn venir ici prendre en main /er réner di//ici/er gni nonr ront con/iér.. CXXX. Wildermett. à. très honoré patron (FoggenAacA ?/ (23. décemAre 2792/.. L'intervention dn Aai/Zi de TVidan rnr /e Magirfrat de Fienne a prodnit /e mei/Zenr e//et. Fer démarcAer gne /'ai e/feetnéer /'ont été ranr /e conconrr de M. TTei/mann ponr /a rairon gne ce/ni-ci re déc/are ridien/ement ponr /er intérétr de Fienne et danr notre dernière re/ation, i/ r'opporait à nor inrinnafionr rnr Fienne. Fonr verrez gne nonr avonr été oA/igé de tracer nn parrage danr /a rédaction o//icie//e. — iVonr avonr ici nne cAnnce/Zerie d'Ftat gne /er re/ationr avec Fienne et /e payr d'Frgnë/ et /a correrpondance avec /a Conr rendent indirpenraA/e. M. Fnnèrc/ter et /e maire Ce/Zier (?/ écrivent ranr cerre. /'ai été encAanfé gne M. /e grand Aai//i de Femp/ et ron /i/r roient vennr anprèr de nonr. iVonr conrn/tonr enremA/e rnr /er intérétr de notre prince cAéri. /e croir gne madame re décidera à venir en /ami//e AaAiter /a petite ferme. Fonner nonve//er der raznrr de M. de Fi/Zien». 236.

(24) CXiOL. Heilmann. à. (24 Jécemère. Mgr. (de Roggenbach. /792j. /e regrette f ofre wow-f ewwe ; /e f owj atfewJaij comme Zej /wifj Zewr Mejjie. /e me ré/ère, gwawt awa: affairej, à Z'iwformatiow officieZZe çwe MM. Je PFt'/dermeft et /mer /ont et çwe /e we ferrai 2>roZ>aZ>Zemewt, comme /a ^récéJewfe, çw'aw momewt Jw Jé^art Je Za pojte. Maij ce çw'eZZe we owj Jira ^>aj, /e me ferai ww Jewoir Je owj Ze Jire. Z,'im^iriwté Jej £rgwé/wtej- fowj awra a£2>rij çrwe Zej ^riwcipawa: iwjtigatewrj Je /a PéfoZw.tiow jowt Zej mêmej gwi, iZ y a troij awj et Jemi, je jowt éZeféj cowtre M. Ze ZmiZZi J'LrgwëZ ; Ze ^riwci^aZ /oyer ejf aZorj comme aw/owrJ'Lwi CowrteZary et Za //awte Paroijje ; et Zej Ctéj çwi w'y owt ^>oiwf 2>rir ^art jowt Zej wtêmej çwe ceZZej çwi, iZ y a troij awj w'owt £aj accéJé awa; fwej Jej maZcowfewtj. Le même iwt^rimé fowj iwJiçwe ewcore Zej mêmej jw/etj Je pZaiwte çwe cej maZcowfewtj ^>réjewtèrewt aZorj, ew Cowrj, et jwr ZejçweZj iZj w'owt £aj ew Je répowje. Se jeraiewt-iZj moiwj réfoZtéj aw/owrJ'Lwi, Jawj Ze tewwpj ow await miew# accweiZZi Zewrj griefj C'ejt ce qrw'iZ m'ejf iwrpoJjiZJe Je Jire, maij wrai ejf-iZ çw'iZj ew ^rewwewt Ze jw/ef Je Zewr iwjîtrrectiow et c'ejt jwrfowf Je Zà çw'iZj ^artewt ^>owr traiter Za régewce Je mowrtrwewje. C'ejt Ze motif gw'iZj aZZègwewt £owr re/eter Ze ZaiZZi. (Jwawt à moi, Zej motifj çw'iZj Jowwewt £owr être re/eté, Je meme, jowt frif oZej çw'ZZj /owt 2>itié. La première, çwe /e jwij Jw CowjeiZ Je Piewwe, tom/e J'eZZemême aw/owrJJ'Lwi çw'iZj owt ar/oré Za cocarJe ZJewwoije ; Za Jeimè?w.e, çwe /e jwij ew ^rocèj awec wwe Cfé ejt wwZZe, ^wijçrwe Ze ^rocèj çwe /'ai awec Sowce/oz we me cowcerwe ^>aj ^erjowweZZemewt, maû mow fiZj et çwe /e w'y ^araij çwe comme jow twtewr ; aw jwrpZwj w'ai-/e ^>aj ew Za JéZicatejje Je JemawJer à SJ. ww commijjaire ^>owr /iwir towte cette affaire awwaZJerwewf ; J'aiZZewrj Je^wij çwawJ ww grocer ewzj>êcLe-t-iZ J'exercer wwe c/targe ^>w/Ziçwe ^woigw'iZ ew joit /e w'ew jww ^>aj ?woiwj Za fictime Je ma /owcfiow afec M. Ze GrawJ PaiZZi. La rage Je Liomiw ejt mowtée aw jw^erZatif ; iZj je ré^awJewt, à ce gw'ow wr'awertit, ew iwwectifej et ew iw/wrej cowtre wioi. PZwjiewrj ^erjowwej m'owt jiréfeww Je we £aj me ?wowtrer ew LVgwëZ. /e jaij me rewJre /wjtice ; /e jewj gwe /e we Joij ^)aj me fZatter Je Z'amitié Je Sowce/oz et Je Péry, ^>arce çwe cej gewj-Zà owt été iwJwitj ew errewr, maij /e w'awraij /amaij crz« compter awec towtej cej aîttrej Ctéj Jw Payj, ^owr wwZZe raijow. — Fowj jawez, Mgr, gw'iZ y a troij awj, ce jowt mej joiwj et mej remottfrawcej çwi ^riwci^aZemewt owt arrêté Z'efferwejcewce et caZmé Zej ej^ritj. — Lw ttw mot, Za Pégewce ejt viow-jewZemewt wwZZe et jawj iw/Zwewce Jawj Zej Ctéj iwjwrgewtej, maij eZZe ejt même Ze motif gw'iZj mettewt ^riwci^aZemewt ew awawt ^owr coZorier Zewr iwjwrrectiow.. f. f. ji. ji. 237.

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