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Zu A. Fischer's „Die altarabischen Namen der sieben
Wochentage" S. 220—226.
Von C. F. Seybold.
Zum Zweck der Vervollständigung der Litteraturangaben für
das Vorkommen der altarabiscben Namen der Wochentage möchte
ich nur die Erwähnung derselben auch bei Sujüti: al samärt^ fi
'ilm alta'rih (in meiner Ausgabe, Leiden 1894) S. 10—12, wozu
das Vorwort S. VIII zu vergleichen ist, anführen. Namentlich hätte
auch die Stelle im Muzhir I, 221/22 die bei Fischer ganz fehlende
Form lJ^I (schon bei Freytag nach Kämüs, und im TA) als will¬
kommenes Zwischenglied zu dem S. 224*) wohl mit Eecht an¬
genommenen i_ÄA.s\juaj von lAÖ",! für q,^! an die Hand gegeben.
Die beiden jene Namen zusammenfassenden Verse kehren auch in
Ifetijär's (t 897 = 1491) Asäs aliktihäs (Stambul 1298) S. 148
wieder, ebenso wie die oben S. 226 erwähnten Namen der |,Lji
jj^S^jJi. Ob sie auch in den ethisch - religiösen Vorträgen des
Abü Nasr Mohammad al Hamadäni oQ^lif ^A^^ ^ oIa»a*»J!
(Tunis 1280 vmd am Eand yon FaSni's ahna^dlis alsenije filkeläm
'alh 'larba'in alnawawife, Cairo 1299 und 1305) vorkommen, ist
nicht gerade wahrscheinlich.
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Anzeigen.
Dictionnaire dtymologique de la langue des Namas par
G. H. Schils, Membre de la SocidtS Orientale dAllemagne,
de la SocidtS de Linguistique et de la Socidtd des Etudes
Sinico-Japoruvises de Paris. — Louvain, Polennis & Centereck.
1895.
Nous avons ici m6me rendu compte d'un ouvrage precedent
de M. Schils, l'orientaliste bien connu, ouvrage intitul6 : Grammaire
complete de la langue des Namas. Aujourd'hui le savant auteur
vient d'achever l'oeuvre commenc6e en publiant le dictionnaire
etymologique de la mSme langue. H existait döjä un vocabulaire
de Tyndall, et un dictionnaire beaucoup plus d6velopp6 de Krcenlein
paru en 1889, lequel rangeait sous la rubrique de chaque radical
la plupart de ses derives, et foumissait de nombreux exemples de
leurs emplois. L'objectif de M. Schils dans son dictionnaire etymo¬
logique a 6t6 different, il a cherchö une analyse plus 616mentaire
et, par consequence, plus complete, de maniere k presenter, non
plus les radicaux seulement, mais les racines, comme chefs de chaque
familie de mots. Son dictionnaire n'est ä ce point de vue que le
developpement et la mise en pratique du chapitre de sa grammaire
consaere aux suffixes de derivation. Ces suffixes fournissent la deri¬
vation primaire et celle secondaire, il pourrait 6tre question d'une
derivation tertiaire, car trfes souvent de nombreux affixes se
cumulent pour aff'ecter la mfime racine. En voici le nomenclature:
1) a, e, i, o; 2) ba, be, bi, bo, bu; 3) da, di, du; 4) ga, gi
(gye), ge, go, gu; 5) he, ho; 6) im; 7) in; 8) ma, me, mi,
mo; 9) n, na, ne, ni, no, nu; 10) ra, re, ri, ro, ru; 11) sa,
se, si, so, sam, sen, sin; 12) ta, ti, tsi, tsam, tsim. On ne pent
s'empftcher de les comparer aux suffixes si nombreux du Mandchou,
qui se composent presque des mömes syllabes, quoiqu'il n'y ait
aucune parente entre les deux langues, et ä ceux de derivation
primaire et secondaire des langues Indo - Europeennes. Lorsque
tous ces affixes ont ete eiimines du mot par une analyse attentive,
la racine apparait presque toujours monosyllabique et consistant
en une syllabe ouverte.
Voici I'economie du dictionnaire etymologique de M. Schils.
Chaque racine est precedee de I'initial R. Au-dessus de chacune