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(1)Notizen und' Corregpondenzen

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Academic year: 2022

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Notizen und' Corregpondenzen. 395

HS. (bei S. Kohn, Die hebr. HSS. des ungar. Nationalmuseums

in Berliner's Magazin IV, 86, Sonderabdr. S. 12): Vertilgimjg der

Namen von Götzen gilt auch jetzt, wenn die Ismaeliten tS» der

Qiii und die Edomiter t"y der Ismaeliten erobern, . . letzteres von Mekka?

S. 363,8. Natan ... Ihn Tibbon. Letzteres ist zweifelhaft.

In der Histoire lit. de la France, t. XXVH p. 550, wird mir

die falsche Auflösung einer Abbreviatur ohne Weiteres unterge¬

schoben {Abbreviation que Mr. Steinschn. rend par . . .). Davon

steht kein Wort in meinem einfachen Index zum Michael'schen

Catalog (18 4 7). Wenn der Namen ibn Tibbon wirklich nur auf

einem solchen Irrthum beruht, so ist daftir ein vor 300 Jahren

lebender Autor verantworthch : Abraham ibn Megas (vgl. Pol. Lit.

S. 382), welcher f. 126 L Z. citirt . . . 1-IB03 ■)i:3n T^N ins S

310 VnST. Diese SteUe citirt schon Zunz in den Additt. zu De¬

litzsch's Catalog (1839) p. 324, und daher der Namen Natan . . .

jTibbon' in Hamberger's Uebersetzung des histor. Wörterb. von

de Rossi (1840) S. 245. Dass der im J. 1307 schreibende Autor

ein Sohn des bereits 1199 übersetzenden Samuel sei, ist meines

Wissens Niemand eingefallen! die Hiat. schreibt: noua aurions

. . un file . . . ou au moins un descendant de la familie.

Die Widerlegung des Letzteren ist nicht gelungen; im Index p. 759

ist „pr ia pour un fils de Sam." zu streichen. Dass diese , eine

Seite füllende starke antichristliche Stelle gedruckt sei, ist auoh

Hm. Schiller (Catal. S. 192) entgangen.

S. 370 Z. 12: Tortosa (14*8) 1. 1418.

S. 408 zu S.' 17; BuUetino, Jimiheft: „Rectification de quel¬

ques erreurs relatives au mathSmaticien arabe Ibn al-Banna.

Extrait d'une lettre ... par . . M. Steinachneider*. Auch in

einem Sonderabdrnek (2 Seiten), wovon mir einige Exemplare zu¬

gegangen.

S. 413 A. 1: Die Thora mit schwarzem Feuer; vgl. den

Artikel „Schwarz auf Weiss" von Egers in der Hebr. Bibhogr.

N. 99 S. 63.

Aos einem Briefiß des Herrn Hal^ry

an die Redaetion.

Paris, 30. Novembre 1877.

— Je demande la permission de terminer ma lettre par nne

tentative d'expliquer deux mots talmudico-aramöens trös-obcnrs,

qui me paraissent avoir une origine assyrienne ')•

1) Wir unterbreiten diese interessante Tbese dem Urtheile der Competenten.

D. Bed.

(2)

396 Notizen und Correspondenzen.

Le mot biS^'iFi, Nyi5:"!n ,coq" a exerce inutilement jusqu'ä

present la sagaci^ des 6tymologistes. On se doutait bien que

c'6tait un mot 6tranger, mais on besitait ä en affirmer la prove¬

nance d'une manifere precise. Je suis convaincu qu'il presente

l'alteration du mot assyrien i3b''3'it<n qui d6signe le meme gallinacö.

Dans ses annales, le roi Sargon dit avoir sacrifie entre autres

volatiles TNSNbNb in"'3"iND •'m"niB iib-iaiNr „des coqs engraisses

(racine n-^N?) et des poulets (cf. talm. htiSIB, ar. ^^j) tendres

(ar. avec nuance >_JlJ „^tre tendre, caressant". Talm. abab „pousse,.

fleur tendre"). Un bymne au soleil (IV R 19, no. 2) contient ces

mots (1. 59) i;bi5-iNn ij^ifN («■'n-bf» C"'»-]«) ■'atti •'b-'N ,les grands dieux ^content avec plaisir ') le (chant du) coq". La racine de i3b''S'iNr est natureUement bai „marcher, pietiner, 6pier", racine

qui entre aussi dans le mot ibNaT"; „lion sculpte" et dans le

nom divin Nergal, ba'i 5 qui figure egalement sur une inscription

phenicienne.

L'autre vocable qui a aussi fait le desespoir des semitistes

jusqu'ä präsent, c'est le mot talmudique taa, Nüa, Nü-a. Et, en

effet, sous cette forme U est absolument impossible d'en deviner

l'origine. Constatons d'abord que par l'expression aa, le Talmud

dösigne toute espfece de contrat et de document affirmant une

disposition ou un engagement. Les rabbins disent nettement:

üa i"tp"'N nT-iUffl bD „tout acte conventionnel s'appelle aa". Cette

definition m'engage ä ramener ce mot ä la fbrme primitive et

assyrienne irriD . Les rois assjrriens se servent pour designer leurs

aUies infidfeles, des expressions ■'nt* T'SNJ Nb (= heb. ^nny ia-; iib), et "«n-'D "iiSn: sb „n'observant pas mon pacte, la convention faite avec moi" ; ainsi la synonymie de nN et de iriD dans le sens de l'hebreu

nny „acte affirmatif pouvant servir de temoignage" est indubitable;

c'est precisement la signification du mot aa teile que l'ont d^finie

les rabbins. Quant ä l'etymologie du terme assyrien irria, eile

ne presente aucune difficulte. in-'S est contracte de inrs, de la

1) i:"'S"'N, sans le redoublement du 5£, se trouve Del. III, 49: "'b'^N NCI^'N na-iS^N (üJ"'73-1N) „Les dieux remarquferent le (= mon) desir"; Va¬

riante: laNa Nffl''T'N IS'^S-N (iB'^a-jN) ■'b-'N „Les dieux remarquferent le (= mon) bon desir." Le sens de garder, conserver propre k la racine qLo en arabe, confine de tres-prfes !i la conception du assyrion. Comparez aussi l'h^breux TI^S „marque, signal" et le verbe mischnai'tique ^"K „faire des mar¬

ques, marquer".

(3)

Notizen und Corretpondenzen. 397

racine ■jiS ^affirmer, fixer, etablir". La ressemblance entre »^i et

irfO devient beaucoup plus 6troite, quand on sait que la pro¬

nonciation assyrienne confondait d'une fa^on presque iUimitee les

consonnes similaires. 11 est av6r6 que le verbe se trouve sou¬

vent 6crit "pa; d'autre part, la confusion de n, O et n se constate

dans un grand nombre d'exemples. On ne peut donc pas con¬

siderer comme anormale la forme Naa pour «ns. Je remarquerai

en passant qu'une confusion entre n et 3 a empeche jusqu'ä pre¬

sent de reconnaitre une vüle phüisteenne dans les Fastes de Sargon.

Ce roi dit qu'il a assiegö et pris nnnON Asdod, nni^N (Azotus)

et iä"'nilON mn'a ; quelle est la dernifere localite ? C'est simplement

la ville appelee dans la Bible na, mais dont la forme pleine est

nsa ,Jardin", suivant I'analogie de na pour n:3. L'expression

iiü''nnDN nnia^a equivaut ainsi ä l'hebreu D-innipN na ,6ath des

Asdodiens".

Aus Briefen des Herrn E. Himly

an Prof. A. Müller ').

— Die mir übersandten Bücher sind die Ztschr. XX S. XXXIT

unter No. 2848 verzeichneten von Hm. Dr. A. Bastian eingesandten

,23 Hefte chinesischer Dracke". Eins der Werke ist unvollständig,

nämlich ,

1) das Sing Ming Kuei Ci — so auf dem Schnitte und in

andem Büchem genannt (Sing ming „Leben" kuei 6i „Richt¬

schnur"?). Das Werk, genauer betitelt Sing Ming Suang siu wan

Sön kuei ci „doppelt [Suang] verbesserte [siu] Lebens-Richtschnur

der 10,000 [wan] Götter [Sön]", erschien 1615 und wird gewöhn¬

lich Yin kao ti als Verfasser zugewiesen (s. auch Wyhe, Notes on

Chinese Literature S. 178); eine neue Auflage erscbien 1669,

weicbe Jahreszahl sich auch unter einer Vorrede der Ausgabe der

Kön. Bibliothek zu Berlin (Schott's Verzeicbniss S. 33, H) befindet.

Inhalt ist die Wabrsagekunst aus dem menschlichen Körper, wie

sie sicb aus der Lehre des Tao als ein Auswuchs gebildet hat.

2) Vollständig m 22 Heften ist das (Li Tai) kön Sien

(Tung) Kien „(Allgemeiner) Spiegel der Götter und Elfen (aller

Zeiten)" [auf dem Schnitte steht das Eingeklammerte nicht mit],

1) Gelegentlich einer Correspondenz, welche in Folge der von Hrn. Himly gewünschten Entleihung chinesischer Druckwerke aus der Bibliothek der D. M. G.

gefuhrt wurde, hatte derselbe die Güte, sich zur Durchsicht und Bestimmung der bisher nicht näher bezeichneten Nummern 2848 und 2818—19 des Accessions¬

verzeichnisses bereit zu erklären. Die Resultate dieser freundlichen BemUhung werden zur Orientierung der sich für Sinica interessierenden Mitglieder hier

mitgetheilt. A. M.

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