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Un compositeur jurassien

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Academic year: 2022

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(1)Un compositeur jurassien. Autor(en):. Laudec. Objekttyp:. Article. Zeitschrift:. Actes de la Société jurassienne d'émulation. Band (Jahr): 89 (1986). PDF erstellt am:. 29.01.2022. Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-550139. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) Un compositeur jurassien propos re«zez'//zs pzzr Lwzzfec. On entend souvent dire: — Le Canton du Jura,. petit pays, ne possède pas de compositeurs.... Cependant, à y regarder de plus près, on s'aperçoit que deux catégories de «musiciens» émaillent le monde musical jurassien. La première catégorie échappe à l'appréciation générale. Il s'agit de compositeurs comme Henri GAGNEBIN ou Alphonse ROY, qui ont eu l'avantage d'habiter hors de nos frontières, la chance de composer pour orchestre et dont le talent et la renommée nous honorent. La deuxième catégorie fait tellement partie de notre patrimoine que l'on finit par l'oublier. Si ces compositeurs ne sont pas «prophètes», ils n'en ont pas moins de talent. Le dernier ouvrage de Henri DEVAIN nous rappelle quelques noms marquants inspirés particulièrement par l'art vocal. Mais à l'instar d'un Paul MONTAVON, n'oublions pas les «polyvalents», ceux qui ont été inspirés, au départ, par la pratique de l'art instrumental et qui font partie de la vie populaire jurassienne depuis 150 ans déjà — époque de la création des sociétés de musique dans nos cités. Ernest BEUCHAT est un de ceux-là, qui «font» le folklore jurassien, en composant pour nos sociétés musicales. Modeste et spontané, possédant un instinct créatif aux possibilités multiples, il sait toucher par un langage sain et rustique, empreint d'une grande joie intérieure. Il habite toujours son village natal : Courfaivre. C'est à son domicile que l'entretien suivant a eu lieu. AI. RezzcAzf, gzzzznd et comwzerat êtes-fozzs mzzz à /«. zrzzzsz'gzze?'. — C'était en 1921, j'avais 9 ans quand ma mère (qui était une Miserez de Lajoux) décida de me procurer un violon afin d'étudier la musique avec mon instituteur Henri CHRISTE. Mon père avait un petit train de paysan, était officier d'état civil et exploitait avec son épouse le restaurant de la CroixBlanche. Durant les années 1925-1926, nous avions chaque semaine la visite de Léon FROIDEVAUX (le patriote) qui, après certains événements relatifs 365.

(3) la question jurassienne, était venu habiter chez sa sœur, à Courtételle. Il avait beaucoup voyagé et avait enrichi sa culture musicale en assistant, à Paris, à l'audition d'opéras. Ce politicien était donc aussi un très bon musicien et m'inculqua les rudiments de la musique. Je jouais déjà des morceaux classiques et il m'accompagnait au piano. Les clients de l'auberge nous écoutaient et trouvaient que c'était beau puisqu'ils faisaient silence! Puis je pris des leçons chez André ETIENNE à Delémont, alors professeur au Colà. lège.. A. cette qPog«e, twzs /zmssz'ez ïzotte sco/arifé?. — En effet, et comme j'étais attiré par l'enseignement, je décidai d'entrer à l'Ecole normale où je fus reçu en 1928. Durant ces 4 années de formation, j'ai joué beaucoup d'études de Kaiser et Mazas. Monsieur James JUILLERAT, professeur de musique à cette époque, nous enseignait le solfège, les principes de l'harmonie et les bases du piano. Pb«5 zzHez, coOTwze o« Jtt, /e Jézwore Je. /zz. mzzszgzzc?. — Oui, c'était peut-être cela. Nommé instituteur dans mon village en 1932, je perfectionnai mes connaissances de violon chez M* FELICANI, au Conservatoire de Bâle. Ensuite, j'appris seul le saxophone et entrai à la fan-. fare L'Espérance de Courfaivre en 1934. En 1936, le directeur, Henri CHRISTE, tomba malade et me dit tout bonnement: «Tiens, prends la baguette, tu en sais plus que moi!» Et c'est ainsi qu'à l'âge de 23 ans je devins. directeur.. £t. t>o«5 ttzztzez cessé Je tzozzs. pe^ctt'owwer?. — C'est vrai. J'ai suivi les cours organisés par la Fédération jurassienne de. Musique, donnés par le professeur JENNI, alors directeur du Conservatoire de Bienne. Szzr /e p/zzzz znzzsz'czz/, ce _/«r zzrae orz'ewtzzfzozz ?zozzfe//e pozzr wozzs. — En effet, après les «classiques», me voilà orienté vers la musique populaire: marches, valses, petites ouvertures, etc. De plus, en 1936, je fais partie. d'un orchestre delémontain très en vogue: «Le Happy Band». Six musiciens qui lanceront des succès comme: «Madame la Marquise», «Il pleut sur la route», «Le plus beau tango du monde», des valses de Strauss et de Lehar. Q«e Je. sozztzerazVs J'zzwe. pérz'oJe J'zwsozzczJwce/. — Vous pouvez le dire. Riches années qui contrasteront avec les suivantes, puisque nous arriverons en 1939. Jeune lieutenant d'infanterie, j'ai servi mon pays de 1939 à 1945. Ce furent de longues années loin de ma famille et de mon village.. 366.

(4) Poartawt,. M. 5e«cÂa£,. was «wz essaye Je rompre /a moraotom'e Je cette som-. £re pmoJe?. nouveau en musique. Il y avait les «Noël du soldat» et c'est pour ces occasions que je fis mes premières expériences en composition. En faisant chanter les soldats, les soucis s'envolaient et les liens d'amitié se fortifiaient. —. Oui, et. à. Ernest Beuchat, compositeur.. /'étaJe Je /a masigae après /a garn-e? — Vous savez, la musique est la plus exigeante des maîtresses et l'on n'a de cesse pour elle. En 1947, j'obtins le Diplôme fédéral de direction harmonie-fanfare au Conservatoire de Bâle. Ce cours avait duré deux ans et m'avait été donné par des professeurs réputés : Muller von Kulm, D" Moor, Engel pour le piano et Klosé pour la trompette. dJ. Z?eacAa£, at>ez-t>oas cozttzraae. 367.

(5) Sz. J'ai N'en compris, vo«s wœ /o«é ci« vz'o/on, ci« saxopùone, ci« piano et de. /a trowjöertef' —. Et du violoncelle aussi, au temps de l'orchestre de Porrentruy.. Fofre première composition «o^iciei/e» date de gaei/e année? — Cela remonte à 1943. La firme CONDOR célébrait son 50= anniversaire et ma première composition, pour cette circonstance, a été la Marche jubilaire «CONDOR». En 1947, la direction de la fanfare de Courtételle, vacante à la suite du départ d'Emile SANGLARD, m'a été confiée. Pour marquer mon entrée, ce fut ma deuxième composition «Salut à Courtételle». Fo«s dites Lmi/e dew, — En effet,. SANGLARD 7/e crois savoir g«e c'était a«ssi «n ùon masi-. il dirigea la fanfare de Courtételle durant plus de 40 ans et chan-. ta son Jura par des arrangements et harmonisations de chansons populaires.. comment avez-voas aùordé /a composition voca/e? — C'est en devenant auteur-compositeur. Après mes quelques compositions pour fanfares, j'ai été appelé à créer de petites cantates, des chœurs de bienvenue, comme on les appelait à l'époque, avec accompagnement d'une formation de cuivres, à l'occasion de festivals ou de fêtes de tir. Puis d'autres chants suivirent, sur des paroles de Henri DEVAIN, comme « O Jura» ou un Noël «Au pas lent de leurs chameaux». dé. Eeacùat,. Lnsaife, dé. Eeacùaf, voas avez exce//é <Dns «n domaine N'en spéczj%«e de notre /ô/Nore, ce/«i de /n cùanson pafoise/ — A vrai dire, c'est une aventure qui dure depuis 1962, une amitié sans faille entre Joseph BADET de Saint-Ursanne et moi-même. Joseph BADET, alias Djôsèt BAROTCHÈT, auteur de plusieurs pièces de théâtre, m'avait demandé d'animer musicalement sa pièce «Mon bé Jura», d'où ma première chanson patoise. Dès lors, une collaboration intense a donné naissance à une trentaine de chansons. Pbas connaissez donc /e patois? —. Oui,. assez. bien, sinon. il me serait impossible de mettre un texte patois. en musique. dé.. 5e«cùat, -notre grande activité a fo«t tie même été marg«ée par gae/gaes. distinctions. Il. vrai que. efforts sont quelquefois récompensés. En 1978, le 2= prix du concours de marches de la Fondation «Marylong» a été attribué à ma —. 368. est. les.

(6) composition «Béridier». Cette marche fut exécutée par l'harmonie «La Landwehr» de Genève au Victoria Hall, lors de la remise des prix. Mon «Hymne AJGJM» a été sélectionné et est devenu la pièce officielle de l'Association jurassienne des groupements de jeunes musiciens. L'année dernière, une de mes compositions est devenue, à la suite d'un concours, la Marche officielle du 100" anniversaire de la FJM — Fédération jurassienne de Musique. /'zzi. zzzzssi. zzppris zpz'zzn certain retozzr zzztx sozzrces s'était nzzzni/esfe'?. l'on peut dire, avec une composition de caractère classique, «Osmose», pour flûte et cor de basset (ou clarinette), jouée en première audition lors d'un concert des Jeunesses Musicales en 1985. — Si. An p/zzs Jes/àn/ares Je Cozzz^/azwe et Je Cozzrféfe//e, nfez-fozzs Jz'rigé J'zzzztres socze'tesj'. — J'ai dirigé également la fanfare municipale de Delémont et la fanfare de. Saignelégier. Àf. Aezzcûzzt, pozzr rewzz'ner ce jynzpzztûz^ne entretien, czzr z7yîàzzt szZfoir s'zzrréter, conz/t'en Je conzpositions conzptez-fozzs zz fotre zzctz/pzsgzz'zz ce Jozzr?. — Une cinquantaine de compositions, toutes annoncées à la SUISA — Société suisse des auteurs et compositeurs.. /e pense <pze /es personnes intéressées pensent tozz/ozzrs wozzs en JenzzznJer /z'ste zz fotre zzJresse. — Naturellement, c'est avec plaisir que je la leur enverrai.. /zz. M. AezzcAai, Je tzozzs renzercie et Je sozzûzzz'fe zpze wzzs zz/iznentz'ez encore /ongtenzps /e Jonzzzine Je /zz crezztz'on nzzzsiczz/e Jans notre pzzys Jzzrzzssz'en.. LazzJec. 369.

(7) -. ". ;':V Y. .vi.'.,. v;>1. Vr'-v'^. -. '. -. '. i^r.

(8) Hommage à Mr. Otto Fricker Directeur des Usines Condor. Conducteur si. „CONDOR" marche. b. Tutti >. J*. 7. Mr. -r— »—». =>=M. 1. J. L^-f-. —1—Ï-. j>. /i. =j=i=. F# 3. =t+F i— 3. r C-4-. j-. -JiJi. 6M--. ztj-f. flary/or. -Hk. =r=^=*=f=^=. J. >J. hJ—. J>l. 3 3 a 3. J. =M^= r ' -M-* rv. «J.. ^. Lf. i=h= « 3 Ai. 5). Ernest BEUCHAT. f—«. S. FFf. jubilaire. ÎU -4— P. 3. J 1. J.. =£~ r '. r. *. -». 'I. jili^. =r~P~ '1 r '. ii. p=t±rrîfcLf. Hh= -SM-. i. 1. *. r. j>— îv. ;T4 ''. fe. r p. •—. U>. Edition: E. Beuchat, Courfaivre. *. Vente exclusive: Hug et Cie Bâle. 9-.

(9) A l'harmonie nos chants-A nos amlsnoscoeurs J.. ^ 7.. i?e. IW lU de par-/oc//. Z0//7,. chez. 2. J"c - _yez. je-. 3.fioa/7d vooj JD. nooj nez. fe chez. ^. hj^. iE. 7. Mi. ^. Choeur de Bienvenue. J?. ft. $j. ^ £-. J*. EE. 0. £. &. 3^np. ac - coor/,. h/e/7 - ve - /?c/j,. 0/7. voc/j. ^. 0/7 -. /}. 4-. fe/, _. ce. j?. Cfes/e:,) «h. Ernesh Beuchaf. É -. coo/h nos,. o/en/J - /77/î,. e/7. a. X0/>,. ££>. JY7//). jNüÜ I Tg t f ^ fe. E C'a - /7700/ do d/'en,. v/'en/ oc />7j- jo/7 /?e /a - mov/j. /77/j, de nor coeo/j fe é - Zoj. p/*è5 /70C/J «5 - /0//* Ofe „ 00/7- jofe". jj il. J. Jfey. J*. /a-. /e - ce - Ktf//; ftfor /e - /er- rez /#-. hoz/5. J. fefcj—£. - /770O/, - fe, -J0//,. /'a-/770i//; é - fe. 00/7-J0///'. moo/- do hear/, / a - /7?oo/ ?o/ /70oj o - /?/'/, ec - coe/7- //>, Poor nooj poe/ doo* pfe - fe, _ //e c/o - chez, Joc/j /e /o/7 /a - /77/' -. j. J j. r. g r. j>. .rpNji r. /fe.. -7 "J: I. r.. p. r. /'a -/7700/, fe, p/a/ - fe,. - />/'/, -. /fe,. - /fe, /e. /a//.. /7700/. fe ê. /. -. it 372. a fe?po. _. fe/?/' ao fe de vooj. //ej. A.J e. n/'d.. joo - //>' a - do - /ej. r. J>. &. p. k.. -fe-. fe/ - /// d?/7j /oc/j fe d/ez aooy fe d/e/7- oeâoaad eooj je - zez chez oooj ce /a. 7'0/e To- _yez. ^ M. ciï i?. ^. i». ^ ^. fe. j j r;.

(10) Texte Musique. AU PAS LENT DE LEURS CHAMEAUX.. pour choeur mixte. Mo<Wah>. *. /. nus,Ap-pordort,Et Jo-. tit. 1. J*. Ü. =F=f=ï=f=. Au paB Lent de leurs cha-neaux,Les Roi j Ma-ges sont veJé-sus s'enDans les bras de sa maman, Le peDoux En- fant do la No- 81. Qui re viens ce Boir che. PS. /.. /. ^ ^ 1. -J—. T=^. Henri Devain Ernest Beuchat. É r//:,. 14. 1,. Jr > p j-. iO>. i. nous,Tu nouk. •<3. ,w/'. Pi. mier lui a dontant ri-ches ca- ieaux l'En- fant tout sou-ri- ant Le re- garde e: cor.Qu'il es : beau l'En-fant divois à ton ap pel, Tous à tes ge- ioux.Comme au tempB des trois gra|nds Jé. A. seph. 1- J* E... N. ne. De. pour sa. ti-. re-. Tin Bril lant dans la pauvre é rois, U- nis,de-vant ta clé-. .jr. ^ ^ j:. Ü. 77?/. 1. .rrpff. "T=f l'or. X. -sus.Le pre-. *i. Les deux au-tres de la li-re, ta-ble Comme un in- com- pamen-ce,Nous t'of- fronB notre ex-is-. itt. 4. lis. «. l'on vit l'En-fant sou- ri-re Aux trois ra-bleJQu'il est pur,qu'il est ai- ma-ble,L'An- geten- ce,Notre ee-pé- r an-ce Et nos mour,notre " myr-rhe, Et. .£. ir. :. ^. ^. 4Ï1. il. _£•. J:. 121 prin -. lot,. •. ces. le. coeurs qui. 4. J. 373.

(11) bé. Mon. ^. Jura. Pairôles: Djôsèt Barotchèt Musique: Ernest Beuchat. pour choeur mixte. /. Nôs sons. Iff. les pa-toi-saints Einn rotte. Slppf;. ^ ^. a soin. -. Dje-maîs. na. J. 1. P'. J:. ^. lai. X. vad. voin. J. Jï >. ^. 374. j>. *. J*£. 1.. JH. £. £ ^ >. p'. p^=P—. f•ré. u r=rrf è. -pîe-dre. 7^77e. FfpI-r^rcâre. mans. S'nôs s'te-nians en-. le aÔ s. ne. ain-. «m. geaie. -. N8s. 3. ^. mi. dé. ttaint. -nnrr*. jh^li|JA-VjV|| ^. Note bé. vé-. > Jr -£. T^rrr. n/f-. J*. yis qu'èt fat. >. J:. J-. ^. JU*. bïn tohain-taie L'pai. J:. de bons. ». de. >. tîer -. re. J. J" J. „fi. J.. =feg-. "i. •. Ju Oh! Mon. ain-éd qu' -yiß qu'l - ra Pal-yiß. T6. - ra! mon bé pai-yis|In Pai-yis c'ât toi Ju-ra Ju. '.

(12) iL'' hJ É. ". /. 'r. J. J-. r ~t~T. J- J.. f. r. g& r *> r i' i dale ooit-ohie tés poin-nea T)h! é- coûte en - co l'aip-peul 3aina boûe-nee 8e- ré tal djoûe djo te t'veue ré- dJÔ - yi fat â câre d' In mu - rat A bé moi- tan de té a bièa J /» JpJ. £. f=F. - 7r.. i-l. i f J. U. 1. «. J. r r ~T ton a-faint que De. Te Po. po. -r^s rire. toi,. y. i. de. -in17H—Jd-ûf, é. p. r. wV. ;•. J. t'aip-peule. lai. moûe. Téa. V. r. daine ton. De-. fins, téa. aîme te béa grôs yeß se-. t ij rrT. tré-péB-eaîe Tiaind J J fj-P. veus. ^. /. 7> ^ r. ^. —r—P—P—J^J. més. J. r. j. J. f M. eû. -. f r. T^voi-ye Lai sai-pïns Lai. raint. ciôejTe. fr'Lp=p=y. ^ nrr—^. "J-. J*. J. r r p tr ré se mon voi - ye Qu' é - tchâ - de - ré giainne que frS - tchou de tés mai - tins En mes voinnes rai - man Mon Ju - ra c'é - tait te diôs crai - rés ço qu'i J.. j=± r p. ÉÉI r p'r. :. /. r». T=r. tiû rie. re. -raint po toi. £ J. r. J. r. P. i. f/. r/fc. Ouâ Que. Qu'. *•. -. si. i. ip. ques. ain. J. %. ai -. -. got. mÔB. -. dé. (O. r—c^~r- res. tes. taint. en. de mon. j-. i/re. pue. bon pa. saing.. - tois.. Tag. é/ro//-y. rerfr/er. 375.

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