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Oikoumene : à prendre ou à laisser

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Academic year: 2022

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(1)Oikoumene : à prendre ou à laisser. Objekttyp:. Group. Zeitschrift:. Aînés : mensuel pour une retraite plus heureuse. Band (Jahr): 10 (1980) Heft 5. PDF erstellt am:. 31.01.2022. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) Message. A prendre ou à laisser Comment avez-vous commencé cette année 1980? Dans la joie ou dans la peine? En maugréant ou en pleine reconnaissance? En tout cas J'ai pensé à vous tous, chers ami(e)s d'«Aînés». D'abord à ceux d'entre vous qui m'avez écrit à l'occasion de certains billets que vous avez lus attentivement. Merci pour vos vœux et vos approbations, pour les amitiés trouvées ou retrouvées parmi vous. A propos du billet sur le premier août, un couple cher écrit: «Le contenu de. t. fljftsà. L'air Parts. Jean Nohain. Cher merveilleux Jaboune En raison d'une opération douloureuse qu'il vient de subir, Jean Nohain n'a pas été en mesure de rédiger son billet mensuel. En lieu et place, nous accueillons ce texte dû à la plume de Myriam Champigny, et nous présentons à notre cher collaborateur et ami nos vœux d'heureuse convalescence. Jamais mélancolique, même quand il s'efforce de l'être («Que de souvenirs!» aime-t-il à s'exclamer), jamais blasé, jamais malveil¬ jamais amer,. votre dernier message nous décide à vous écrire pour vous dire que nous nous réjouissons avec vous de savoir que notre pays a été fondé sur les bases les plus solides. Les hommes de 1291 aimaient et craignaient Dieu, conscients de leurs faiblesses, ils ne pouvaient que compter sur Lui, et ils n'ont pas été déçus. Qu'en est-il aujourd'hui? Dieu n'a pas changé, mais les hommes. Les incroyants étant le plus grand nombre, ne supportent pas de se soumettre à Dieu, et il est gênant pour eux de lire ou d'entendre les affirmations contenues dans le titre de notre Constitution fédérale. Et voilà qu'à propos de ce même message du premier août, un autre lecteur, (malheureusement anonyme, pourquoi?) exhale sa douleur de façon si profonde et si vraie qu'on ne peut qu'être touché par ses arguments, arguments d'un incroyant plein d'amertume à l'égard de Dieu. D'un Dieu auquel il ne croit pas, mais qu'il accuse cependant. Vos raisonnements semblent tenir, cher Monsieur, aussi longtemps que vous vous placez dans la seule perspective terrestre. Pour le croyant, le but dernier de l'être humain, c'est la résurrection et la vie éternelle; le Dieu tout-puissant et amour à la fois, c'est celui qui a vaincu. la mort en Jésus-Christ. Des mots, écrivez-vous, révolté. Non, cher ami, des réalités qu'ont vécues d'autres êtres éprouvés comme vous. Plus que vous, Ce sont d'autant moins des mots pour celui qui écrit ces lignes qu'il est actuellement lui-même dans une de ces passes douloureuses dont vous faites la description dans votre lettre si juste et si humaine à bien des points de vue. Loin de moi l'idée de critiquer ou d'anathématiser attitude. votre L'homme a la glorieuse liberté de choix à l'égard de Dieu. Vous avez choisi, et beaucoup d'autres avec vous, la fuite dans l'athéisme, teinté d'amertume et un4 brin d'aigreur. Quel dommage, car votre lettre, qui témoigne d'un cœur noble égaré par la souffrance, me semble mériter amplement ce repos et cette paix, quoi que vous en pensiez, qui ne se trouvera jamais qu'en ce Dieu Tout-Puissant et Amour à la fois, manifesté en JésusChrist. C'est à prendre ou à laisser. Dans ma souffrance qui rejoint fraternellement la vôtre, je vous souhaite ardemment de prendre. Ou mieuxi d'être pris!. lant, trouvant tout «merveilleux» (l'at-on assez taquiné à ce sujet!), Jean Nohain est dans la vie comme à la scène. Lorsqu'il présente un spectacle, vif, enthousiaste, chaleureux, assurant les spectateurs qu'il est «tellement heureux» d'être parmi eux, eh bien, c'est vrai, il l'est. Et lorsqu'il évoque tous ceux qu'il a connus (Maurice Chevalier, Sacha Guitry, Pauline Carton, et tant d'autres) disant combien ils étaient charmants, il est totalement sincère. (Tout au plus peut-on se demander si ce n'est pas lui, parfois, qui projette sa propre gentillesse sur autrui — tant sa bienveillance est. j'était une «Benjamine». C'est-à-dire que j'étais abonnée au journal Benjamin. grande.) Jean Nohain, qui est un homme de spectacle et qui, depuis trois quarts de siècle, fait partie du «Tout-Paris», n'a jamais été contaminé par le côté. superficiel, souvent médisant ou flagorneur des gens du show business. Et lorsqu'on pense qu'à sa bonté, sa spontanéité, s'ajoutent ses talents multiples de poète, d'auteur dramatique et d'animateur de spectacles (scène, radio, télévision) on se dit que c'est beaucoup pour un seul homme! J'ai l'honneur et surtout le bonheur de compter parmi les intimes de Jean Nohain. Lorsque j'avais une dizaine d'années, il y a de cela un demi-siècle.. Jean-Rodolphe Laederach, pasteur, 2034 Peseux. dont il était le rédacteur en chef, et j'arborais fièrement, sur le revers de mon manteau de petite lycéenne, un insigne émaillé rouge et bleu, avec la devise «Le cœur sur la main». A l'occasion de fêtes qu'il organisait pour les petits Parisiens, j'admirais, de très loin, «Monsieur Jaboune»... Quelques années plus tard, j'ai fait sa connaissance à Londres, pendant la Seconde Guerre mondiale: si juvénile (malgré ses 44 ans) dans son uniforme d'adjudant des Forces Françaises Libres, l'œil étonnamment bleu, le sourire irrésistible, il avait un charme intense et je tombai sous le charme. Il y a trente-six ans, donc, qu'une solide amitié nous lie. Et nous sommes restés d'autant plus proches que sa plus grande amie se trouve être aussi la mienne... Jean Nohain, à l'âge de 4 fois 20 ans, nous livre, édité chez Juillard, un nouveau recueil de souvenirs intitulé La Main chaude. Lisez-le. Vous y trouverez, à travers mille anecdotes, la fraîcheur, la drôlerie et l'esprit du «Monsieur Jaboune» que nous aimons tous. Vous verrez: c'est un. livre... merveilleux!. MC 7.

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