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Note sur une épidémie observée dans l'ancien Evêché de Bâle

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(1)Note sur une épidémie observée dans l'ancien Evêché de Bâle. Autor(en):. Ceppi, Ernest. Objekttyp:. Article. Zeitschrift:. Actes de la Société jurassienne d'émulation. Band (Jahr): 28 (1923). PDF erstellt am:. 29.01.2022. Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-685241. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) NOTE SUR UNE. ÉPIDÉMIE. observée dans l'ancien Evêché de Bâle par le. Dr Ernest CEPPI, de Porrentruy. Lorsqu'on parcourt un ouvrage d'histoire, on rencontre de temps à autre des passages que la grande masse du public lit sans y prêter autrement attention, mais qui parfois intéressent singulièrement certaines personnes que leur profession et leurs études ont spécialisées et entraînées dans une direction quelconque. C'est souvent le cas pour les médecins; et il est compréhensible que nous nous sentions attirés et retenus par les mentions de maladies ou d'accidents concernant des personnages importants qui ont joué un rôle dans leur pays. Il y aura bientôt quarante ans que, cherchant un délassement dans la lecture de nos annales, je fus intrigué par la description d'une épidémie singulière au sujet de laquelle on ne donnait guère de détails et qui en peu de temps avait emporté une dizaine de malades. J'avais relu plusieurs fois ce récit en essayant de découvrir la nature du mal; mais je n'arrivais qu'à des hypothèses plus ou moins plausibles. Quelques années plus tard, le souvenir de ces faits me revint; et comme l'expérience des misères humaines avait élargi mon champ d'observation et que j'étais documenté, cette fois, sur une question que mes études n'avaient pu qu'effleurer, je crus avoir trouvé l'explication de cette affection si grave. A mesure que j'avançais dans la carrière, mon opinion se trouvait fortifiée et confirmée. Aujourd'hui, aucun doute ne subsiste plus dans mon esprit; et, comme parmi les victimes de l'épidémie en question, se trouve une personne en vue qui a joué dans l'ancien Evêché de Bâle un rôle intéressant, je me permets de livrer à notre Société le résultat de mes recherches et de mes réflexions. Nous sommes en l'an mil sept cent quatre vingt-quatre, à la veille de la tourmente révolutionnaire qui va secouer le monde, et c'est dans une de nos hautes vallées du Jura que je vous convie à étudier avec moi l'événement tragique qui fait le sujet de cette communication. Qui de nous ne connaît les gorges si curieuses du Pichoux, et qui n'est allé excursionner un peu plus loin pour arriver enfin à Bellelay? Bellelay, la.

(3) -. 70. —. fameuse abbaye, qui comme Lucelle, fait partie de notre histoire! Bellelay, qui,, fondé en 1136, ne disparaîtra qu'après 661 ans! Bellelay, dont l'ensemble s'impose à l'admiration du croyant, de l'artiste, de l'historien! Bellelay, dont les vastes et solides constructions révèlent l'importance et dont l'aspect monumental fait: honneur à l'abbé Sémon qui l'édifiait de 1728 à 1736, après que l'abbé Voirai avait fait surgir de terre, entre 1710 et 1714, la splendide église abbatiale, si belle encore malgré son inconcevable délaissement, ses nefs vides de fidèles, ses tours sans dômes et sans cloches! (') Le monastère est arrivé au point culminant de sa célébrité. Son pensionnat, fondé en 1772 par l'abbé Nicolas de Luce, un Bruntrutain, jouit d'une réputation telle que, sans parler du Jura, les familles nobles de France, d'Allemagne, de Savoie, d'Italie, des Flandres et de Pologne envoient les jeunes gens dans ce collège merveilleusement organisé au point de vue de l'instruction et de l'éducation. Nombreux sont ceux qui en sortirant pour fournir des carrières brillantes et faire honneur à leurs anciens, maîtres. C'est l'époque la plus florissante de son histoire. Mais voici que tout à coup l'horizon s'assombrit et qu'un mal étrange va surprendre, comme un coup de tonnerre, la maison de Dieu. J'emprunte à Mgr Vautrey (-) la description du fléau; mais, pour faciliter la vue d'ensemble et rendre le tableau plus frappant, je supprime la plupart des. détails qui ne sont pas d'ordre médical. Ce sera en quelque sorte le squelette de la narration. « Le 13 mars, P. Thomas Erard est malade d'une pleurésie: le 14, le mé» decin Millar arrive. 11 dit: c'est une péripneumonie avec complication de» rhumatisme. Le 16, il expire vers midi. » > Le 17 mars. M. le Révérendissime (TobW de arrive. Le 18, il enterre: P. » Thomas. » » Le 19 mars, le P. Henri Wiser se trouve mal. Il meurt le samedi 20, à 6> » heures du soir. » » Le 21 mars, M. notre Révérendissime se trouve mal. Le 23 mars, P. Hiérome tombe après sa messe. » » Le 24 mars, le Révérendissime meurt. Il a souffert extraordinairement » tout le jour. A la fin, la gangrène l'a achevé. » » Le P. J.-B'c Fleury reçoit le S' Viatique le 24 et expire tout à coup le 26 » à 6 heures du soir. Reste P. Hiérome qui se dit mourant. » » Le 26 mars. P. Placide Raymann est attaqué. Il vomit beaucoup, mais à » midi il avait toujours cette pierre sur l'estomac au côté droit. » » Le 27, les médecins Verdat et Millar ont ouvert P. J.-B'<\ Les parties » nobles étaient attaquées et gangrenées. » » Le 28 mars, P. Norbert Palisot se trouve mal. 11 tombe presque ; il faut » le conduire dans sa chambre. Peu après il perd le sentiment et la parole qu'il >(. 1) Le regretté Dr Schwab, de St-lmier, a maintes fois attiré l'attention des autoritésbernoises sur l'état pitoyable de cet édifice et sur la nécessité d'une restauration. Recommandé au comité chargé de la conservation des monuments historiques. 2) Notices historiques sur les villes et les villages du Jura bernois. Fribourg,1886..

(4) —. 71. ». retrouve néanmoins. Le 31, il meurt vers. ». P. J.-B"'.. — 9. heures et demie.. 11. avait enterré. ». J'extrais du même ouvrage la notice complémentaire suivante tirée du journal de H.-J. Voirai » 1784. Au mois de mars une maladie épidémique s'étant manifestée dans » la paroisse (ttos &V?tm'2) enleva quelques particuliers et le Révérendissime » abbé de Luce et cinq de ses Religieux et le Sieur GodefrideBerberat, maire. » Dans son intéressant mémoire qui parut en 1859 dans les Actes (') M. Mandelert, gérant de l'ancienne abbaye de Bellelay, consacre à l'épidémie les lignes suivantes : » Dans les quinze derniers jours du mois de mars 1784, un temps humide » et malsain occasionna une grande mortalité à Bellelay. A son retour d'un » voyage (7/ rmutrt/7 </c J'omo/L «// où /c 77 n/ce-iïcA/wc far«// «ppr/é pour néyo» ctor te trnns/cj't cht co/tcr/c de ßrto'tot/ à 7'uc/vnfr«// op/As to Mt/jprmtoM des » JcsHi/es) l'abbé de Luce eut la douleur de ne plus retrouver en vie l'un des » Religieux qu'il estimait le plus, le P. Thomas Erard, de Porrentruy. Après » avoir embrassé cette figure glacée par la mort, l'abbé de Luce fut lui-même » atteint de la maladie à laquelle il succomba le 24 du même mois, à l'âge de » 58 ans. Dans le court espace de 15 jours, l'Abbé, cinq Religieux et deux domes» tiques sont morts dans l'abbaye. » Enfin, le chanoine Saucy, auteur de 17/?Voire de /Viuc/emie uöhtit/e de ße//cto//, Porrentruy, 1869, écrit sur le même sujet: » Pendant que ces choses se passaient à Porrentruy (to neV/octo/ion Cide.s.su.s » concernant /e eo/ßY/ej, une fièvre maligne sévissait à Bellelay. Rentré à » la hâte dans son monastère, l'Abbé de Luce y trouva la communauté dans le » deuil. Un domestique et une des femmes attachées à l'Orphelinat étaient déjà enterrés. Le P. Thomas Erard gisait dans la chambre des morts. L'Abbé eut » l'imprudence d'aller embrasser le corps fétide de ce compatriote qu'il affec» tionnait beaucoup. » » Le 20 mars, l'Abbé tient son dernier chapitre et soumet aux Religieux » l'affaire du Collège de Porrentruy qui est votée à la pluralité des suffrages. Ce » fut le dernier acte de l'exercice de sa juridiction. Atteint lui-même du typhus, » il tombe malade le 21... Le 24 mars, il expire à 9 heures du soir. » Si je ne craignais d'abuser de votre attention, j'aimerais rappeler ici les mérites de l'Abbé Nicolas de Luce. Nul n'en a fait un plus bel éloge que le pasteur Bridel auquel je cède bien volontiers la parole: « J'aime, dit-il, et je révère » la mémoire de l'Abbé de Luce qui a rendu un si grand service à la Société » par l'érection de cet institut. Je le canoniserais volontiers dans les fastes de » l'éducation et de l'humanité, et je désirerais qu'on donnât au public recon» naissant sa gravure avec l'emblème ingénieux qui rappelle son nom et son » souvenir au-dessus de l'escalier de son séminaire. C'est le soleil qui luit sur » de jeunes ceps avec cette devise: A Luce ii/u/urttox. » :. ><. 1). Bellelay, traditions, monuments et histoire. Porrentruy,. 1859..

(5) —. 72. —. De son côté, le pasteur Frêne, de Tavannes, possédait un portrait à l'huile de l'abbé de Luce et il avait transcrit derrière le tableau ces vers délicieux dont nos latinistes goûteront tout le charme:. jinte /cm erj/o pascen/wHn w/ftère ecm. " 75/. /'re/rt r/esZi7«cw< w/ca'cs »1 Zi/Zore /j/.sc;«' : zb/fc, pcmraf/s «VMÛO/ H H; /VxiU/.s c.r»/ J.«/ k'/'ärit» P«»7/j«s /»'/«•/, ««f Cerna»/« ï'ii/nw öiiriWi «os//o i7/ù(s /aii«/-«r j»ec/orö »»//««.. Je traduis. :. On verra les cerfs légers paître dans le ciel et la mer abandonner sur le » rivage les poissons privés de l'élément liquide; on verra le Parthe et le Ger» main traverser leurs frontières respectives et boire dans l'exil, celui-là les » eaux de la Saône, celui-ci les eaux du Tigre avant que son visage s'efface de » notre mémoire. » C'est d'ailleurs chose connue que l'abbaye entretenait avec les ministres réformés les meilleures relations. Le couvert du pasteur de Tavannes était mis chaque jour à la table des Religieux et le dit pasteur se rendait fréquemment à cette invitation; mais revenons à nos malades. Nous nous trouvons donc en présence de cas de mort survenus très rapidement, en cinq jours, en moins de trois jours, après 2 jours, après un jour. A quel mal ont succombé les six conventuels, le maire des Genevez et les deux ». domestiques? Jusque vers les dernières années du XIX= siècle, il eût été bien difficile d'avoir une opinion ferme. Mais, en 1839, une épidémie apparut qui déconcerta les médecins par ses allures et la rapidité de sa diffusion. Venue de l'est, elle faisait en trois mois le tour du monde, atteignait jeunes et vieux, mais emportait surtout les personnes affaiblies par l'âge ou une maladie antérieure. La grippe, puisqu'il faut l'appeler par son nom, ravageait l'Europe et les Etats-Unis. Elle se montrait sous des formes diverses, parfois bizarres, et cette maladie, vraiment nouvelle pour les hommes de notre temps, devint et resta le sujet de discussion habituel dans les réunions des médecins du monde entier. A l'heure actuelle ces discussions sont loin d'être closes. L'épidémie ou plutôt la'pandémie terminée, je pensai de nouveau à mes Religieux de Bellelay, et il me sembla que la maladie qui les avait frappés pourrait bien être celle que nous avions eu à combattre en 1889 et longtemps après sous des formes de plus en plus atténuées. Nous n'avions pas cependant, eu affaire à des cas aussi extraordinaires et à des séries de décès foudroyants comme ceux-là. Néanmoins mon esprit était satisfait et dès ce moment mon diagnostic était posé. Vienne 1918, l'année terrible, et je ne conserverai plus le moindre doute. Cette succession de cas de la dernière gravité, avec la brusquerie de l'invasion, la prostration d'emblée équivalant à la paralysie des défenses naturelles de l'organisme, une situation alarmante après quelques heures de maladie, l'appa-.

(6) —. 73. —. rition d'une pneumonie et la mort rapide, parfois après un ou deux jours, qu'est-ce cela sinon ce que nous avons vu à la fin de la guerre, alors qu'un public affolé s'écriait: mais, c'est la peste! Non, ce n'était pas la peste, pas plus que le typhus. C'était la grippe dans sa forme la plus épouvantable, celle qui fauche et les femmes en état de gestation et la jeunesse entre 20 et 35 ans et qui épargne par une ironie singulière ceux que leur âge et leurs infirmités semblaient désigner à ses coups. J'en appelle à tous mes confrères qui ont fait cette campagne à jamais maudite de 1918 et je suis bien sûr que s'ils étudient cette épidémie de 1784 avec les données de notre expérience actuelle, ils partageront mon avis. Non, ce n'était ni la grippe saisonnière, ni celle dont on se riait en l'appelant la coquette, la follette, la cocotte, etc. C'était bien, comme l'écrivait déjà en 1820 le D' Most, de Hambourg, la plus grande épidémie des temps modernes. Il n'est pas nécessaire de faire de longues recherches bibliographiques pour trouver la relation de cas analogues à ceux qui ont marqué les épidémies graves dont notre génération a été le témoin. Il est pour moi hors de doute que la grippe a régné autrefois déjà sous les formes exceptionnellement graves que nous avons appris à connaître. Et il est fort probable qu'en étudiant attentivement les relations nombreuses publiées par nos devanciers (on en possède f/ui rfwtenf rfd JT/il» siècle) on retrouvera sans trop de peine la trace de l'encéphalite léthargique, décidément apparentée à la grippe des Français, ou râ/teeftza des autres nations. Sans vouloir remonter trop loin, j'ai recherché si les épidémies de grippe avaient été fréquentes dans le cours du XVIIN siècle et j'ai appris que les années 1730, 1733, 1737, 1742, 1743, 1762, 1767, 1773, 1775, 1780, 1782 et 1790 avaient été marquées par des épidémies plus ou moins sévères. Celle de 1782, qui s'étendit à l'Europe et à l'Amérique, est signalée et décrite dans 18 mémoires ou articles scientifiques. Je n'ai pas découvert de relation se rapportant à une épidémie de 1784. Mais alors il n'y avait pas de journaux, les bulletins statistiques n'existaient pas; on ne connaissait pas la déclaration obligatoire; et nous savons que les grandes explosions grippales ne cessent jamais complètement après quelques mois, mais qu'elles se continuent, au contraire, durant les années suivantes, de sorte que les cas observés à Bellelay en 1784 peuvent fort bien être la suite de la grande épidémie de 1782. En résumé, et pour conclure, l'Abbé de Luce et ses confrères ont succombé à une grippe dont la nature infectieuse était exaltée, dont la virulence était TnaZijrnc ou portée à sa plus haute puissance, à ce que j'appelle la de l'altération du sang dans cèmù/iM?, pour bien marquer la part prépondérante la Symptomatologie du mal. Le drame est court et poignant. On passe instantanément de l'état de santé à l'état de maladie. A peine se trouve-t-on indisposé que déjà l'espoir est perdu et, malgré tous les secours, c'est bientôt la fin. Il ne manque ici qu'un Bossuet pour dire en des phrases inoubliables et la soudaineté du mal et l'horreur d'un pareil spectacle.. '.

(7) —. 74. —. Je devrais, en terminant, m'excuser d'avoir parlé de la grippe presqu'aui lendemain de l'épidémie qui a fait mourir plus d'hommes que la guerre. Je devine que dans cette assemblée il en est qui ont perdu des parents, des amis et plus d'un sera tenté de m'appliquer le vers de Virgile. ifl/rtm/ffwf.... y«.6es. rraorarc tfo/ora«. Oui, je le sais; en prononçant ce mot fatal, je réveille sans doute d'indicibles chagrins. Mais la méditation de nos peines et de nos deuils est chose salutaire. Et puis, n'est-ce pas les honorer que rappeler la mémoire de ceux qui ne sont plus? On l'a dit il y a de longs jours: «la mort, ce n'est pas la mort.c'est l'oubli. ». rVT-ii.

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