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La Pierre-Percée de Courgenay

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(1)La Pierre-Percée de Courgenay. Autor(en):. Joliat, H.. Objekttyp:. Article. Zeitschrift:. Actes de la Société jurassienne d'émulation. Band (Jahr): 31 (1926). PDF erstellt am:. 29.01.2022. Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-684982. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) —. 147. —. Essais sur l'archéologie et l'histoire du Jura bernois. LA PIERRE-PERCÉE DE COURGENAy par le Dr H. JOLIAT, La Chaux^de^Fonds. I.. gé/zmz/f/és s«r As /«égffW/zes. Pierre-Percée de Courgenay, monument le plus antique de notre Jurassie, que de rêveries et de réminiscences historiques ton aspect n'a-t-il pas suggérées à ceux qui ont essayé de déchiffrer ton énigme! Dans quel but, des hommes, à l'aube de la civilisation, ont-ils dressé cette dalle trouée, au pied du Mont-Terrible? Quelle signification, religieuse ou profane, scientifique ou géographique, avait ce| monolithe, alors que de profondes forêts devaient encore couvrir la plaine environnante, où ne vivaient que des peuplades dispersées? Aujourd'hui, si la lumière commence à se faire sur son origine, nul ne peut cependant le dire d'une manière précise. Mais les archéologues admettent que ces énormes blocs de pierre, connus rrrwzAc/zs, w///«rs, sous les noms bretons de ne datent point, comme on l'a cru au siècle passé, de l'époque celtique et de ses druides, célébrant en des rites, magiques et mystérieux, au plus profond des forêts de chênes, leurs sacrifices sangiants sur des autels rocheux. Ces soi-disant autels druidiques sont encore plus anciens. Ils doivent remonter à l'époque où la pierre polie était encore utilisée, concurremment avec le cuivre et le bronze, pour la confection des armes et des outils. Les fouilles qu'on a pratiquées, à la base de beaucoup de dolmens, ont donné des instruments de pierre polie, des objets de bronze ou de cuivre, mêlés à des monceaux d'ossements humains, ou même à des squelettes complets'). Ineoniestablement, ce sont des tombeaux de l'âge de pierre que ces dolmens qui nous apparaissent aujourd'hui comme des hauts portails, formés de deux ou plusieurs pierres debout, supportant un troisième bloc horizontal. Après leur érection, ils étaient recouvert de terre, de sorte que ces tombes avaient l'aspect d'un tumulus, au flanc duquel s'ouvrait un portail, conduisant dans une ') Voir Déelieletle, .-lrc/iéo/of/i'e pre7ns<oH(/Me. Chap.. 111..

(3) 148. —. —. chambre intérieure. Ce sont les injures du temps qui, peu à peu, ont débarrassé les dolmens de leur manteau de terre, et les ont fait apparaître semblables à de hautes tables de pierre nues. En certains endroits, le monument est composé de plusieurs dolmens, disposés l'un derrière l'autre, de maniéré à former une sorte de tunnel, que l'on nomme zzZZêV czzzzv^zY^. Souvent, dans le voisinage des tables de pierre, se rencontrent des monolithes, de formes diverses, se dressant sur le sol. Ces zzz£zz/zz>s, comme on les appelle, peuvent être isolés ou groupés, soit en cercles, dits zroz?z/z?z:/zs, ou en rangées étroites, dites zzZz'gzz£zzz£zzZs. Tous ces genres de pierres-levées, auxquelles les savants donnent maintenant le nom générique de zzzzzgzz/z'Z/zcs, se voient spécialement en Bretagne. Ces dénominations étranges de zZzzZzzzzvzs, zzzz?zz/zz"z\s, ou pzzzz/vzzzzs et zrozzzZfc/zs viennent du bas-breton, et ont été proposées par certains érudits celtomanes qui attribuèrent à ces mégalithes une origine celtique, comme aux Bretons eux-mêmes. Mais, à l'heure présente, Ton connaît de ces monuments, dans un grand nombre de pays. Les dolmens particulièrement ont zz/zé «/Vf? rfz? zZz'spzzrsz'ozz, pour employer le terme consacré, qui s'étend des Iles Britanniques aux Indes, et de l'Afrique du Nord en Scandinavie. Et, presque partout, les fouilles ont mis au jour un outillage, lithique et métallique, d'une grande analogie. Ce qui porte les archéologues à admettre que, très loin dans l'histoire du monde, aux époques de la pierre et du bronze débutant, les hommes connurent une même civilisation, dont la caractéristique principale était la coutume de construire, pour leurs morts, des rnonuments durables, sous forme de grosses voûtes de pierre, cachées ou non sous un tertre. En conséquence, ils dénomment ce cycle de culture humaine,. la. zrz'vzZz'szzZ/ozz zZz?Zzzzz?zzz"z7zz£. zzzz. zzzégzzZZZ/zzz/zze.. Les. supputations. chronologiques les plus serrées font' remonter celle-ci, avant le III® millénaire antique, en Orient, et jusque mille ans avant J.C., en Europe. Or, à cette époque, les Celtes n'avaient pas encore. fait, dans notre monde occidental, leur apparition, qu'on fixe vers 800 ans avant notre ère. Les Celtes connaissaient l'usage du fer, métal qu'on ne retrouve pas dans les sépultures dolméni-. ques qui sont donc antérieures à ce peuple. Mais il est une autre nation, dont les plus anciennes données géographiques de l'antiquité, nous ont laissé le nom, et qui précè-. da vraisemblablement les tribus celtiques, sur une portion fort semblable de l'Europe. Ce sont les Lz'gzzzrs') auxquels plusieurs récents historiens attribuent maintenant la culture dolménique, et cet outillage énéolithique, mélange d'instruments en pierre et en bronze. Comme les fouilles dans les palafittes témoignent en général d'une civilisation analogue, ces auteurs rangent encore, parmi ces Ligures, nos populations lacustres, dont l'exégèse his'J Voir. z.'eZZzzpzt'.. (1.. Jullian. //ZäZ.. zZe Zzz ZjVzzzfo. 1,. et Déchelette ,4z c/ze'oZzzgze.

(4) —. 149. —. torique nous fei ait ainsi connaître le nom, un demi-siècle après la révélation de leur existence par l'archéologie. Les Ligures seraient donc le peuple édificateur des tombeaux mégalithiques et des villages sur pilotis. Cette hypothèse a cependant ses côtés faibles, très évidents. Comment se fait-il que dans la Ligurie historique, au nord de la ville de Gênes, pays où fitrent refoulés les derniers survivants de ce peuple, l'on ne rencontre aucun mégalithe? En outre les textes anciens ne semblent pas laisser admetire que la Bretagne, contrée des dolmens par excellence, ait jamais été peuplée de Ligures. L'on n'a pas connaissance, non plus, que les Lacustres aient jamais édifié des inonu-. ments de pierres-levées. millénaiCependant, il demeure fort plausible, qu'avant le re antique, l'Europe occidentale et centrale s'est vue peuplée de groupes d'hommes, dont l'habitat et les coutumes pouvaient diverger notablement, mais qui néanmoins se trouvaient unis par un langage commun, par l'unité des conceptions religieuses et une industrie semblable. Tandis qu'en Orient, d'où venait en ces temps-là la lumière, les hommes transcrivaient déjà leurs aimales sur la pierre, la brique et le papier, —< alors qu'aux pays des sphinx et des taureaux ailés, se fondaient et s'écroulaient de grands empires policés et de vastes cités à l'architecture remarquable, Thèbes, Memphis, Baby lone et Ninive — nos contrées européennes de l'ouest et du centre, étaient occupées par des peuplades d'une culture plus rudimentaire, quoique éloignées déjà de l'état de sauvagerie. Connaissant le polissage de la pierre, l'art de la poterie, le tissage des étoffes, le travail du cuivre et du bronze, elles vivaient dans des huttes, clayonnées de branchages et cimentées de terre battue, qu'elles élevaient, soit sur des hauteurs de défense facile, soit sur des plateformes de pilotis, à la surface des lacs et des marais. La culture du sol et la domestication de certains animaux leur procuraient des ressources nombreuses, qu'avaient ignorées les chasseurs de rennes. De vagues silhouettes humaines, à caractère féminin, sculptées en divers endroits sur la pierre, ainsi que les motifs d'ornementations de leurs parures-amulettes — sortes de schémas de roues, de nacelles, de croissants, de croix-à-crochets ou swastikas, qui paraissent être les figures symboliques du soleil, du bœuf, et de la hache à double-tranchant — laissent supposer que des croyances semblables unissaient ces peuples, dans l'adoration d'une déesse-mère, personnifiant la terre féconde, et dans un culte pour les astres, les animaux et les outils domestiques. Certaines tribus, sinon toutes, possédaient à un haut degré, comme les Egyptiens, le culte de leurs morts, puisqu'elles élevaient en leur honneur, ces dolmens et ces allées couvertes, dont l'édification nécessita certainement de nombreux efforts collectifs, démontrant ainsi qu'une hiérarchie et une discipline stricte régissaient déjà ces sociétés primitives. Les Celtes ou Gaulois étaient, d'après les écrivains de l'antiquité, des hommes de haute taille, à la chevelure blonde ou rous-. I".

(5) —. 150. —. aux yeux bleus et au teint clair. C'est 17/omo «ard/cns des ethnologues. D'où vient alors le type de taille moyenne, à la peau, aux cheveux et aux yeux bruns, si répandu dans l'Europe occidentale et centrale, (/7o/«o ßZ/7/ras).? Les Romains avaient des caractères ethniques analogues quoique distincts cependant (77 atête plus allongée (dolichocéphale), teint plus //;o foncé, taille plus courte); mais ils ne s'établirent, en nos pays, qu'en trop petit nombre pour arriver à dominer l'élément blond, auquel appartenaient également les Germains, qui vinrent après eux. Non, ce type brun, brachycéphale, c'est avant les Celtes qu'il dût s'établir dans nos contrées; il est sans doute l'envahisseur qui supplanta les hommes des cavernes et fut aussi l'introducteur de la civilisation de la pierre-polie et du bronze, ainsi que des monuments mégalithiques'). A ces peuplades, nous pouvons bien donner le nom de Lfgüres, puisque Hécatée de Milet, vers 650 avant J.C., dénommait Zigyes, en latin Zigwes, la nation qui habitait au nord de Marseille, Massillia. Les écrivains grecs qui nous donnent les plus anciens détails sur la démographie du monde antique, ne distinguaient les peuples que par leur langage. De l'idiome ligure, il ne nous reste que certaines racines, contribuant à la formation des noms de localités, dans la province italienne de Gènes, toujours nommée Ltgv/nV, où les derniers descendants de ce peuple vécurent sous l'empire romain. Mais ces préfixes ou suffixes en asc, ose et wse se rencontrent encore assez nombreux dans certains noms de lieux en Italie du nord, en France et en Suisse; ainsi Gubiasco, au Tessin, Gréasque, dans les Bouches-du-Rhône, Manosque, dans les Basses-Alpes, Mantoches, dans la Haute-Saône. Ces constatations, et d'autres analogues, portent le grand philologue d'Arbois de Jubainville, et le patient historien des Gaules qu'est Camille Jullian, à attribuer à ces Ligures cette civilisation dont nous venons d'esquisser les traits principaux. Les archéologues sont loin d'être unanimes à accepter ce point de vue, mais on nous pardonnera cette longue digression préliminaire, à cause de son puissant intérêt, et des éclaircissements utiles qu'elle donne à tous ceux qui ne sont pas versés dans la question des mégalithes. se,. II. Lff P/e/re-Percee arZnel/eme/zf En plein village de Courgenay, à gauche de la route qui vient Porrentruy, l'on aperçoit entre deux arbres, sur un emplacement herbu, une sorte de mausolée, entouré d'un grillage k hauteur d'homme. Telle se présente actuellement la vénérable PierrePercée, et réellement, si cette clôture de fer est une bonne garantie contre la « vandalisation », elle n'est que peu propice à réveiller de. ') Voir également. ,T.. Mertenat.. L'oriqiwe. de woms. de 7« r>a/Vee Paris. ZieZejwoftV. Delémont 1921 et M. Boule Le.s Ziommes /"ossPev. 1921, chap. rx.. cZe.

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(7) —. 152. —. en vous les souvenirs du lointain passé, que devrait évoquer l'aspect de ce fruste monument. La vision d'art et d'histoire est abolie là, brutalement! Certes il paraît difficile de concilier ce point, de vue avec la nécessité d'une protection efficace. Souhaitons cependant que la question soit étudiée à nouveau, sous toutes ses faces, et qu'elle aboutisse à autre chose qu'à une sorte de œ's« é/z cagé dé zza/ré ate///zé PzVzr£-P£rc*?£. J'en appelle aux autorités compétentes, à la Commission pour la protection des monuments historiques, au Heimatschutz et à l'Emulation. Ce célèbre monolithe est une grande dalle de calcaire, patinée par le temps, et dressée sur l'une de ses faces étroites. Il s'élève de 2 m. 60 au-dessus du sol. Sa largeur de 2 m. 57 et son épaisseur de 50 centimètres à la base, diminuent légèrement jusqu'au sommet. Il apparaît donc comme une grande pierre plate debout, grossièrement taillée en une forme quadrangulaire, qui s'amincirait un peu par le haut. Mais ce qui constitue sa caractéristique remarquable, c'est le trou rond qui perfore sa partie supérieure, et qui lui a valu son nom de Pierre-Percée. Cette ouverture se trouve aux deux tiers de sa hauteur médiane; elle commence à 1 m. 94 du sol; son diamètre est de 50 cm. à l'orifice nord, et seulement de 40 cm. à l'entrée sud. Elle est régulièrement circulaire et les parois sont lisses et comme polies par un frottement répété Une autre curiosité de cette pierre-levée est son orientation. Les deux faces larges de la dalle regardent l'une vers le septentrion et l'autre vers le midi, de sorte que la ligne nord-sud du lieu passe par la perforation, dont le trajet est ainsi, à peu de chose près, perpendiculaire à la direction est-ouest. Elle ne porte aucune inscription, ni même aucun signe ou trace capable de nous renseigner sur son origine, pour laquelle on est donc réduit aux diverses suppositions que nous allons exposer.. III. La P/é/ré-Pé/réé,. zzza/zzz/zzé/z/ écwz/zzé/zzora/z/. d'Hrâzrâ/é. de /a w'etore. s/zr /es Gazz/a/s. Nous n'avons pas trouvé mention de la pierre de Courgenay, dans l'ouvrage du P. Sudan, Pasz/éa sarra, première histoire imprimée de l'Evêché de Bâle (1659). Le premier historien qui nous en parle est le père jésuite Dunod, dans un petit livre, paru en 1716, et intitulé: Lé/tes à 7W. Z'ateé dé ZL*** ') szzz" te Z)éc<?zz-. i/érte /az'te. szzr /é P/zz'zz, dM/zzagé/atez'é é/ dMzzgzzs/a Pazzracorazz-aéz'é/zzzé. Sur le sujet en. ' m/72, a/zcz'é/z/zés vz/te dé? /ß S«7«ß/zz> question, l'auteur écrit ce qui suit:. te. « Ce zzzo/zzzzzzé/z/ dé Za vz'é/o/ré d'/lnovzs/é s«/Gazz/o/s, s teszs/é é/zzwé à zz/zé dézzzz-Z/ézzé dé Pa/Té/zZrzzy. La /vézzz/éré Zza/a/Z/é s'ésZ dazzr da/z/zéé azz/zrés dé /a v//Zé dé Po/vé/dr/zy; Porré/z/nzy. ') Bellelay,. sans doute..

(8) Pian de la Pierre-Percée de Courgenay dressé en 1716.. Le. texte porte. :. 2?ieWiio« rte in pierre percée proe/ie c?e CoMrgrewaî/.. tt i. pia« déc;/i»e d« sepiewirio« co«ire i'Oriewi de So« ouveriitre « de dioraèihe i;oriso«iai 45 po. ei de ZYiMire. iV° <2«e so«. 43'/s po. Comme autres dimensions indiquées: Largeur en haut Epaisseur 47-i pies. pies 6' en bas pies Hauteur S'/s p«és -f- 4'/s pies? „.

(9) —. 154. —. es/ z/ooc ,4/aagé/o/zr/e. Ce zzzoaazaea/ z/e /a la'e/oz're z/'/lrzoWs/e, es/ z/ae grasse pzerre rozzz/e /s/c/ e/ /roae'e aa z/z/7/ezz, z/e ///as z/e 20 pzez/s z/e /zzza/ ea o7a/aè/re. Oa /'appe//e z/azzs /e pays /a PzerrePercée. La /«a/aère s/aga//ère z/oa/ e//e a é/é p/acée, szzr a/ze pe/zZe co//zae, azz zzzz/z'ea z/e /a va//e'e, ce//e zaaa/ère /'a soa/eaae pe/zz/aa/ /aa/ e/e szee/es, cozz/z'e /es vezz/s e/ /es orages, saas aa/re a,apzzz z/zze sa pesaa/ear e/ sa sz/aa/zoa, z/a se/j/ezz/rzoa azz zzzzz/z. // es/ szzr z/ae ee//e éaor/ae pzerre, p/zzs grosse z/zze z/ezzx azea/es z/e azoa/z'a, // es/ szzr, z/z's-/e, z/ae c es/ aa zzzoaazaezz/. £/ z/ae/ zaoaaazea/ serza'Z-ee z/ae ee/az z/Mnows/e, pozzr /a vzc/o/re z/a'z7 re/zzpoz'/a zz /4/aagé/oôrz'e, sar /es Gaa/ozs? C'es/ aassz aa azoaaazea/ gross/er e/ />ar/zare, eoaz/ae e'/az/ /a zza/z'o/z z/es Ge/'/zza/Yzs ea ee /ezzzps-/zz. C'es/ aa azozzazaea/ z/zz'ozz a /ozz/oars va z/e père e/z /z/s, z/e sz'èr/e e/z s/èe/e. Loas /es aaezeas ///res z/zz paj's ea /zar/ezz/ e/ /e rappe//ea/ /oa/oars. // es/ szaga/zer z/a'oa a'a/7 /a/zzazs ezz /a eaz/oszYé z/e savozr ee z/zze re/zre'sea/a/7 ee azoazzzaea/; az /a sagacz/é z/e /e z/evzaer z/epzz/s /aa/ z/e szèe/es. Les Po/zzaz/zs vze/or/eox /azssèrea/ ce azoaazaea/ e/z p/ace, pazre z/zz'// z/ewa/ a/ors /e zaoaazaea/ a'e /a vz'e/ozre z/es Poazaz'ap-//zê/aes z/az avaz'eo/ va/aca /es vz'c/o;rz'eax z/es Gzzzz/ozs, z/aas /e znê/ae eaz/ro/7. ». Et une note au-dessous porte: «Le //ère Dzzzzoz/ e'/aa/ zz Porrea/ray e/z 7775, /osep/z-GazY/aaaze, /zo/zr /ors e'vêz/zze z/e Pzz/e, /// zz sa so//zez7a/zoa ereaser azz pz'ez/ z/e ee//e pzerre, poar z/e'eoavrzr sz e/fee/zvezzzea/ e//e é/azY aa zaoaazaea/. La ereasaa/ zz cz'az/ /z/ez/s z/e pz-o/ozzz/ezzz", oa /roava zzae aa-. /7z"erre z/e z/zê/ae gz'aaz/eaz*, eozze/ze'e /zo/'zLoa/a/e/zzea/, z/a/zs /az/z/e//e /a pre/zzz'ère e'/az7 /or/ezaea/ eae/zzzsse'e e/ /ezzzze avec z/es /zar/ es e/ pz'ezzx z/e /e'/oa. Cozz/ea/ z/e s'é/re eer/orze z/ae ee//e /z/erre é/azY azz zaoaazzzezz/, ozz z'esp'ee/zz) ee z/zze /es szec/es avaz'ea/ e'/zargae', e/ oa ae /zoassa pas /a z/éeozzvez7e /z/zzs /ozzz, z/aozz/ae /e soa/èvezzzezz/. /re. e/e. /a /z/erre /zoz'zLoa/a/e e/z /zro/azï z/e /z/ea z7zz/zoz7azz/es. Le /zère Lre'z/e'r/e /Izaweg z/e Veaz///zzeozzz7 pe/zse z/zze. ee roe/zer z/azzs Zez/oe/ o/z p/apazY soz7 /'/zzzage z/e z/zze/z/zze z/zWa/Yé, so// /e po/-Zraz7 z/zz va/az/aeaz- a/zrès aae /za/a///e gzzg/zée, serra// eoz/z/ae z/'azz-. /e/. azzzc Ger/zzaz'/zs v/e/or/ezzx. 7/ es/ pro/za/z/e azzssz z/zze ee//e /z/erre, p/aeée szzr zz/ze eo/Zzzze z/e /az/zze//e oa z/écozzvre /ozz/e /a /j/a/ae ozz se so/z/ z/ozzae'es z/ezzx z'za/a///es eé/èZ>res z/a/zs /es /as/es z/e /a Paorac/e, azz Zzoz'z/ z/'azze /oré/ z/az eozzvrazY a/ors /ozz/e /a eo///ae z/zze /ravez'se ae/ae//ezaea/ /a c/zazzssèe, /a/ ér/gèe ea z/zé/zzo/re z/e /a v/c/o/re z/es Gez'/zzazas re/a/7or/e'e szzr /es Lz/zzaz's, ozz z/e /a /zer/e z/e z/zze/z/zzes gz'azzz/s géazérazz/c. Ces sezz/zzzzea/s para/ssea/ /z/'oave's par /es zaoreeazzx z/e casz/aes, z/e ea/rasses, z/e poz'gaées e/z /e'/ozz, /es z/e'Zzr/s z/'épées, z/e /azzces, z/e /oarreaax ea /er, e/ ossezaezz/s /zzzzaazzzs z/zz'oa z/éeoavr//" z/a/zs ses a/ea/oars eoJ ereasaa/ /es /erz'es pozzr /e eoas/rae/zoa z/e /a rozz/e z/az passe zz /rozs pas /ozzz z/e ee//e pzerre. Des sz/zze/e//es e/z/z'ères /sz'e/, raagées avez o/'z/re, z/z/z ozz/ e'/é /roovées /ozz/ près z/e ee roe/zer, z/oaaea/ zz roa/er/az-er z/ae, s'// /a/.

(10) —. 155. —. ZZriT zz?//z//zz? Z/'O/j/zL? zZz? Zzz vzcZzMre z/<?s G^/v/zzzz'/zs szzz* Zz?s Gzzzz/tzs, ZZ serw'Z zvz //zG/z/' Zzy/z/zs zZ? ///////so ZzT ozz z/z? Zo/zzZwzzz /joz/r Zz>s Gz?r/zzzz/'/zs z/zor/s zZzz/zs Zrz ZzzzZzzz'ZZz?. Lz;s zz/z/zzy?s,. Z<?. Zz?/rzzZ/z zWzzzzzssL zZes zzZ^/z/ozzrs. zZz?. cz7/z?. /zzV'/r^. o/zZ zwzsZzZZ/Yz/zZz'z/ze/zZ zZZ/zzZ/zzzé Zzz /zzzzz/^zzr z/zzz zzVsZ /jZzzs gzzz? z/Z.z /z/Vz/s azz-zZ^sszzs zZzz soZ, szz/' z:Z/zz/ /zZzy/s z7z? Zzzz'g^zzz- eZ Zz-ezze /zzzzzfes zZV/jzzzssezzz'. Les /zZ/zzes, Zes orzzg« eZ azzZz'es Z/zdzZe/zZs, Zzz zZéZrzzZse/zZ Z/zse/zsz'Z?Zez/zezzZ, eZ ZZ s'e/z z/éZzze/ze /zzzzr/zeZZezzze/zZ z/zzeZ<7zzes z/zoz'zézzzzjc, sz/z7oz/Z z/zzzzs szz /jzzz'Zzz' szz/zérzezzz-e. Ozz /z'y zZz'sZzVzgzze /jZzzs zzz/zyz/z zozz/7 zZe zzsezzzz, sz /zzzzzzzzs eZZe zz e'Zé ZzzZZZee; zz/z zzZZzvözze /Sz'Z/zzz'/;zzZe/zze/zZ ceZZe zZzsszzZzzZZo/z szzzcesszve zz szz sz/zgzzZz'ère /josz'Zzzz/z z/zzz <fsZ ZeZ/e z/zze, e/z ZzzzZZe /zozzr s'e/z gzzz'zz/zZzL, zz/z. Zes l'zvzZs, zZez7zzeZ zrzzZé z/zz'o/z se /jZzzzz' /ze pezzZ y êZz'e zz Z'zzZzrz, zzzezzze z7/zzz/zzZ Ze pZzzs. zz. Zzzzzs. Ze'gez' ze'/zZz/r sozz^Ze.. Gzz/zs. /zzzzye/z-zzge e'éZzzz'Z /zz'ès zZe eeZZe pzezre zZ'L/z/ZZe re/zzZzzz'Z Zzz /zzsZZee. ylzz/zzzzrzZ'/zzzz eZZe /ze serZ Zzz ez'eV/zzZz'Ze' z/zz /zezz/zZe z/es e/ziz/'rzz/zs z/zzz, //zzz- zz/ze Zz'zz/z ozz yûZzzZôZ //zz/- zz/ze szz//ersZZZz'o/z Z/zvéZeVée, zroz'Z Ze. Ze Z/'ozz zz'e eeZZe /zz'ez*re fz/zzz zz Zzz eoZZz/zze, eZ e/z. z/zze Zzz yWzzzn'e z/zz'zz zzZz/zze/zZez" zz/zez'e/z/ze Zrzzzz'z-. z/zze Ze /zzzsszzge. 75. /zozzzes zZe zZZzz//zè/re) esZ zzzz gzze/rZZ z7zz:o/zZZ/ze/zZ eezzx z/zz/* s'y gZzsse/zZ zzzz Zz'zzi/e/'s. Ce /zzzsszzge /zresz/zze eo/zZz/zzzeZ zzse ZeZZe/zze/zZ Z'Z/zZérzezzr zZe ce Zz'zzzz, z/zz'ZZ /zaz'zzzZ/'zzzZ c/zz'/Z zz éZé /zz/ZZ, sz Z'o/z zze co/z/zzzzsszzzZ ceZ zzszzge sz/zgzzZzez" zZes /zczZzz'Zzz/zZs zZ'zzZe/zZozzz'. ». /;///-. s/ze'ez/zz/zze eo/zZz'e. Les idées du P. Dunod n'ont pas été ratifiées par les autres historiens. Ses arguments ne sont réellement pas assez probants, et parmi les quelques douzaines de localités où l'on a successivement prétendu fixer /IzZ/zzzzge'ZoZzz'zgzz'), Porrentruy entr'autres ne répond pas à l'indication topographique de marécages, donnée par César. La pierre de Courgenay ne saurait être ainsi le monument commémoratif d'une bataille qui n'a pas eu lieu dans la région. Du reste, il n'est pas à notre connaissance et nous n'avons trouvé nulle part, une indication qui permettrait d'admettre que les Germains aient eu l'habitude d'édifier de semblables pierres, comme trophées. Tacite nous dit que «Tous les monuments his-. toriques des Germains se réduisent à d'anciens cantiques»-'). Un passage plus important du texte de Dunod est la note qui nous mentionne les premières fouilles faites à la base de la Tierre-Percée. C'est donc en 1715 que le prince Jean-Conrad de Reinach fit, à la requête du père jésuite, découvrir les fondations du monolithe. Un document d'archives") confirme ces renseignements. C'est un feuillet portant les annotations suivantes: «PZzz/z gw/zzcZ/vz/zzc z/zz Czz//z/j z/z'Z c7z? /zzZzzs-Ccszzr, z/cztz'ztc /Ifo/zZcm, rozzzzzzzz/zc z/c Cozzz"gc/zzzy, zZzrssc /zzzr../?) zZe LWc7zzo/zZ, //zzz//- Zz? /zcrc Gzz/zzzzZ, /T'szzz'Zz?, c/z 7776, 77 /zzzTz», et au-dessous: «PZzz/z ge'o/zzz?G. Jullian. Hist, de la Gaule. Paris 1009. T. Ill, chap. V, § lit. Germania? II. *) de de Bille, à Berne; Liasse N° C. L. XXXIII. Elsgau die l'év. Arch, "j. ') Voir. Herrschaft. Meyerthnm Halle..

(11) -. 156. —. /« PzVrre-Perztee, près cte Czz/zrgzz/zzzy, zzvez: zz/ze /zzz/z'zre fite Joint à ce feuillet — qui n'est qu'une simpie indication d'un archiviste plus récent — le plan en question montre à son angle supérieur droit un dessin de la Pierre-Percée, avec ses dimensions exactes, et l'indication que « szz/z /zZzz/z zZéZrz'z/zzz?. fite. /'zzrz:/zzVzs/e /MzzZzZzz/zer ».. fi/z/zfi. z/zz. srptezz/rz'azz zwz/re Z'Orte/zZ zte 74 z/«grés.. Sans doute, un rapport sur ces fouilles était. ». joint. à ce. plan. Il. est regrettable qu'il ait disparu, parce que nous pourrions confrôler si les souvenirs de l'auteur de la note, concernant la fixation de la pierre, au moyen de barres de laiton étaient exactes. Nous en doutons fort: 1° parce que les fouilles de 1804, nous le verrons plus loin, n'ont rien révélé de semblable, et 2° que partout les antiques pierres Zz?vz?tes ou /z'c/zztes, comme on les nomme populai-. rement, se tiennent debout par leur propre poids seulement. Le rapport de 1804 nous montrera également que le support du monolithe n'est rien d'autre qu'un banc de rocher plat, et non pas comme l'écrit le père Dunod « une pierre de même grandeur, couchée horizontalement, dans laquelle la première était fortement enchâssée » pierre dont le « soulèvement promettait des découvertes bien plus importantes »! Il semble, par contre, que nous devons ajouter plus de foi aux renseignements touchant les découvertes de casques, de cuirasses, de poignées en laiton, de débris d'épées, de fourreaux en fer et d'ossements humains, lors de la construction de la route qui passe à trois pas. Voici en effet ce que nous dit Quiquerez, à ce sujet; « Le Zerrzzz7z zzzz /zzzztZ fite fie zzzozza/zï/zc é/zzz'Z zzzz/rzy'zzzs zzzz /zzzZzzrzzge z/z/e Zzz zwzzzzzzzzz^ ûte Czzzzrge/zzzy a ve/zz/zz zte /zzz/re szzzzrz7zz> zz zz/z /zzzr/zezz'Zzter. CteZzzz-zrz zzyzz/zZ zwzz'zzezzcé zz te zte/rzte/zer, y zz rczz^ zzz/z/rz?' zzzzz? teZte z/zzzz/zZz'Zé zZ'zzsse//zz?/zZs /zzzzzzzzz'zzs z/zz'z'Z zz re/zzz/zte zz te zrzzZ/zver e/z z7zzz//z/z eZ Z'zz sz'/zz/zZe/zze/zZ zrzz/zw/z e/z zz/z vez'ger. Les te/rzzz'/zs rzzz'sz'/zs zz/zZ /7z?zz z/<? /zrzz/zz/zzZzzzzr <?Z szzz/r<?/zZ Zz> zzzz: /zlzzzte Zzzzrz'zzz/zZzzZe//zz7zZ /ztesZ rmzzzrerZ z/zze zZ'zzzz /zczz zZe gzzzo/z. Pzzr z:zz/zZre zZzz/zs Ze. /zte e/z. Zz>. z/zzz'sZzzz/z,. ZzZ/r /Zz?s sé/zz/ZZzzzrs. O/z Zzz/zz/zr zZe 7562, zzzzzzs. sz/Z esZ /zrzz/'zz/zzZ eZ /z<?r//zeZZzzz'Z. z/'y. éZzz-. zzsszzyé zZ'y /zzz're fites /zzzz/ZZes z/zzrzz/zZ Z'zzzz-. zz. /zrzz/zrzéZzzzrz' Zes zz /zzz'Z z'rssrr, zZzz/zs Zzz zrzz/'/zZe z/zz'zz/z rzr' /zzzrZâZ /zré/zzz/ztez' zzzzx zzr/zres /rzzz'Zzters. Ces //re//zz>rs Zrzzrzzz/x z/tesszzz zzvzzz'e/zZ zZé/zz re/zzzz/zZré fites zzssc/zzr/zZs zzzzzZZZés fite/zzzz's szzzzs Zz? gzzzzz/z /zzsz/zz'zz z/zzzz/rc pztezZs zZc //Z'zz/zz/zzZzzzzr. Les Zrzzz7z'Zz'zz/zs z7 Zz? szzzzvr/zz'r ztes /zerszz/z/zes zZe z/zzz/z z?gz? z'zz/z/z'zv/ze/zZ zz Z'zz/zzz/zz'zzzzte. wZs. Ztexz'sZz>/zz:z?. Zz?. fite. z?eZ. zzzzzzzs. zZ'zzsszv/zz?/zZs Zzzzzzzzzz/zs, zZctezzzz-. zZé/rzte/zrzzzz'zzZ /zrézrz'Zé. Cz? /zzz'Z z?sZ z?zzrrzz/zzzrz? /zzzz* Zes z/é/zzzr ZTzz/i?z?rZes zz/zérées z'Z y zz /zrès zZ'zz/z sz'èzLz?, Zzzrszzzz'zz/z zZzz/z/zzz e/z z~e Zztezz. Zz>. zz/ze zzzzZre z/z'r/YZzzz/z. pZz/sztezzrs //zzz/zz/szrz'Zs. ') L'article:. *),. zzZzzrs, srZzz/z Ze rzz/z/zzzrZ z/z? zz/z fitetezzz/crz'Z Zzezzzzczzzz/j zZ'zzzv/zes fite /er eZ zz. Zzz. rzzzzZz?,. z?Z. /Ze/zzzr/emez// 'izz 7/«zz/-/?/n>z, par J.-T. Verneur, de Pordans la Description topuernphique et statistique de la France, rentruy. publié Paris 1810. szgrrzz/e zzzz.ssz res Zrowrzzz'Ztes..

(12) — Zzzwzzc.. z/z;. cz?s zz/z/zézzs. 157. —. Si Z'zzzz zz'zz rzV/z z/èzrzzzzvtf/'/ £/z /zzz'szzzzZ /a zzozzvrt/z? razzZ^ z/mz/èz^s rt £/z Zzzz/zsszz/zZ près z/e Zzz, c'rsZ z/zzz? Zozzs ces. zZ/re szzr Ze z'zzz: z/é/zzzz/é. PZzzsiezzrs perso/z/zes zzzzzzs z?zz/ zzsszzre' çzz'e/z ZzzZzzzzzz'zz/zZ zzzz e/z zrezzszzzz/, zZcz/zs Ze vasZe /zzzzzgz? e/zZre Zzz Pzerre-Perce'e eZ rt/Zz?, o/z zzvzzz/ Zrès Zrzz rczzzx se so/zZ exéczzZe's. pozzr. zzz'/zsz. /reV/zze/zzzzze/zZ rezzezzzzZré zZes zzssezzzezzZs eZ zZes zZe'Zzrz's zZ'zzrzzzes zZe /er rozzz'ZZe' zzzz zZe Zzrozzze, eZ zzzzzzs zzi'ozzs zZé/zz zZz'Z zz/ZZezz/'s z/zze zzzzzzs y zzvz'zzzzs reczzez'ZZZ zZes pzzreeZZes z/e poZerze ceZZzpzze. ». '). Nous devons donc considérer comme à peu près zzsse-z zzzzzzzZz/'ezzses. zZes. sépzzZZzzres z'zzzzs z/e Zzz Pzerre-Peree'e.. e^z'sZzz/ezzZ. czzZre/zzzs. cerZzzz'zz z/zze zzzzzc. ezzvZ-. Il est malheureux que toutes ces trouvailles soient actuellement perdues, car les archéologues seraient maintenant en mesure de nous dire à quelle époque appartenaient ces vestiges. La simple constatation d'une arme de bronze (le laiton du père Dunod) nous reporterait déjà au-delà de l'an mille, avant notre ère. La fin de la note de l'ouvrage de Dunod, nous signale enfin les pratiques superstitieuses dont la Pierre-Percée est l'objet. Il n'est pas inutile d'en trouver la confirmation dans un texte, vieux de 200 ans, car en fait, de traditions populaires, il faut toujours craindre que l'imagination de narrateurs récents n'ait considérablement amplifié la réalité. Autrefois donc le passage à travers le trou de la pierre de Courgenay avait la réputation de guérir la colique. Trouillat -') cherche à nous expliquer scientifiquement les bons résultats de cet exercice de laminage: «/4zz zrsZc, èzr/Z-zZ,. es/ /zzzssz/z/e z/zz'zzzzz? ezc/zerze/zee /z/zysz'zzZzzgzzzzzzsszzzzce à ce/ zzszzge z/zz'zzzzzz z'z/ée szz/zez's/zZZ. zpzc zzz'/ pZzzZôZ zZozzzzc /z'ezzse; Zzz pzzsz'Zzzzzz gêzzzzzz/e z/zze z/zzz'Z /zz'ezzz/re Z'zzzzZzVzz/zz z/zzz vezz/ pzzsser pzzr ce Zrzzzz, /"es e//z?z7s z/zz'z'Z zZzz/Z /zzz're pozzr s'y gZ/sser, z/z?Zzrzzz/zzczzZ zz/ze gyzzzzzzzs/z z/zze zz/zz/zzzzzzzzzz/e z/zzz zz pzz gzzérz'r zzzz z/zz zzzzzz'zzs szzzz/zzger cezYzzz'zzs czzs c/c? rzz/z'z/zzes; sczzZzz/zzc/zZ ozz zzrzzz'Z Zz'z'è z/es czz/zszzz/zzezzees gz?zzéz"zz/es z/z? /zzz/s /zzzr/z'czz/zez's. ». Nous ajouterons qu'en médecine, l'ancienne méthode dite du Zzz.vzs, pour réduire par la compression manuelle, les hernies étranglées, procède un peu des mêmes principes. Mais où l'idée superstitieuse se montre encore plus nette, c'est dans la croyance que tout ce qui traverse ce trou s'en trouve bonifié. Le doyen Vautrey") nous raconte qu'un émigré de Porrentruy, en 1793, rcncontra en Allemagne, chez un aubergiste qui le traitait, une bouteille bouchée avec soin et portant ces mots : «Vz'zzzzz'gre zzyzz/zZ pzzssé Pzezre-Pereee z/e Czzzzrgezzzzz'e. » Voilà certes une panacée, jouissant de combien plus de vertus que le vinaigre-des/zzzz* Ze Zz'ozz. z/e. Zzz. Quatre-Voleurs, d'antique renommée!. A. Qoiquerez, ï'opzzz/zYzp/ue d'zz/ze p.z/'Zze ztzz ,/zz/yz *) Monuments I. p. XXXVI. ®) Notices hist. District tie Porrentruy, 1. p. 190, note t.. M. ele. p. 201..

(13) —. 158. —. Enfin, selon Quiquerez ') la légende indique la Pierre-Percée comme étant l'une des étapes du fameux cavalier ailé, dont les chevauchées nocturnes effrayaient tellement les bonnes gens d'autrefois, qu'ils n'oubliaient point de lui laisser au dehors une botte de foin, pour se le rendre propice. « Nous devons mentionner, écrit-il aussi"), la Pz'erre des Pées, une roche informe, couchée dans les broussailles, à quelques pas de ia Pierre-Percée. La traclition rapporte que cette roche recouvrait la boulangerie des fées, que durant la nuit on entendait battre la pâte dans le pétrin et que plus d'un passant avait vu luire la flamme du four. » De tout cela, il est. bien permis de conclure, nous semble-t-il, qu'à la Pierre-Percée se rattachent diverses traditions et croyances populaires. Le fait a son importance, nous le verrons. IV. Pß Pz'erre-Pereée, »WW«/;«/// /adZc/zzz're des. a/zez'e/zs Ge/v/za/'/zs. Nous donnons ici la notice que l'archiviste Maldoner, lorsqu'il classa si heureusement les archives de l'évêché de Bâle, sous les derniers princes-évêques, adjoignit aux plans, concernant la Pierre-Percée. Cette pièce est rédigée en allemand. M. Kurz, archiviste cantonal, a eu l'amabilité de nous en donner une iraduction exacte. Nous n'avons pu retrouver où Maldoner a pris les renseignements qu'il nous fournit. Il serait intéressant de savoir si la coutume, qu'il relate, de faire passer par un trou de pierre les bannis, était habituelle en Germanie, ou tout au moins en quels lieux il apparaît notoire qu'on la pratiquait. « Co/zrZd deserzpZzo/z /z/sZorzz/ße de Zß grzzzzde pz'erre près de Ca/zrge/zay e/z /4/oze, ap/reZée « Pz'erre-Pereée ». .4 praxz'/zzz'Zé dzz i/z'ZZßge de Cozzz"ge/zzzy (Ge/zz'sdö/-/, /e/zsZor/) près de Za rozzZe ezz/zdzzz'szzzz/ d P>eZé//za/zZ, eZ d Z/'o/'s çzzrzr/s de Z/'ez/e de Pozre/zZz-zzy, a/z Zraare e/zcare de /zos /'a//rs zzzze grzz/zde pz'erre de /ez /zazzZezzr de sz'x pz'eds eZ ra/zzpZèZe/zze/zZ deZzo/zZ. CeZZe /z/'er/'e esZ zz/z vérz'ZaZde «• yMaZZ-SZez'/z » ezz ZßZZ/z «//zaZZzzs» o/z «/zzaZZzz/zz », ez7z* da/zs Zes //Z/zs ß/zez'e/zs dor/z/zze/zZs, szzz'ZozzZ dzz/zs eezzx des szèeZes Zes /zZzzs /'eezzZe's, o/z Zroz/i'e /z-éz/zze/zzzzze/zZ Zes //zoZs; « z'/z pz/ZzZz'ro //zaZZo ». Ozz //zaZZzzs ozz z/znZZzzzzz szgzzz/z'e zz/z e/zdroz'Z e/z pZez'/z flz'r o/z Zes /zzges eZ Zes /'zzrés Ze/zß/'e/zZ /zzsZzce d rerZaz/zes e'poz/zzes. P'exp/'ess/'o/z dérzve dzZ, /zzoZ aZZe//za/zd « /WaZ » z/zze Z'o/z re/zco/zZre soz/ue/zZ da/zs Zes eZzß/'Zes eZ Zo/'s ßZZez/zß/zdes. Pes Gez"ßzß//zs ßFßz'e/zZ roz/Zzz/zze de Zezzzz' Zez/rs asse//zZdees, ozz ZZs Zraz'Zaz'e/zZ Zez/rs a#"a/'res, d zz/z « pZa/'d » dzz pays ap/zeZé e/z ZaZ/'/z « pZßc/Zzzzzz ge/zeraZe », e/z pZe/'/z az> eZ ordz7zazre//ze/zZ près d'zz/ze gra/zde p/'erre <7/// sorZa/'Z de Zß Zerre, ßya/zZ azz //zz'ZZezz zz/z Zrazz /'o/zd, co//z//ze r'esZ Ze ras /zozzr eeZaZ de Cozzrge/zay. SZ z/zzeZz/zz'zz/z e'Zaz'Z ex/7/zZsé dzz pays,. ') S'oaue/u'rs e/ szzr »). Zes. dans Coz/p d'eez'Z Zradz7z'o«s des Zemps ceZZzgz/es Zn Soc/e'/e /zzrassiezzzze d'PmzzZßZzozz. 1856. /rat/azac de. ibid..

(14) — o/z /z /zzzszzz/ //zzssz/' z/z /zz zo//z//zzz/zzzzz/z.. //or. 159. —. zz /ztzzz zo/zzz/zz z/zz/z/. zz/z //zzt/z/zzt? zTzz/zg/zz. Pzz/z'gz /ja/' /z zo/zszz7/zr zz /zz z/zazzz/z/'z z/zs /7/za/zczs z/ arz/zzV/s/z Lzo/z/z/y/ zWa/z/zz/zz/' /z 73 /'zzz'/z 77ÖO. ». V. La P/'z/rz-Pz/rz'z, /zo/77z-//0/7/zz/'z z/. 7os /ozz/Y/zs z/z. 7504. Sous le régime français, nous voyons de nouveau les pouvoirs publics s'intéresser à notre mégalithe. Une exploration plus methodique eut lieu et les historiens de l'époque émettent une nouvelle idée sur sa destination probable. Les Archives de l'évêché de Bale à Berne, possèdent un exemplaire du procès-verbal de ces fouilles et c'est le texte de ce document que nous allons reproduire ici, en entier, avant d'exprimer notre sentiment à son égard. Co/?/'z /z.v/zzz//z /4zZ //zr/zz/zza/zz. ra. z7zz. /wzzczzs-vtt/zzz/ z/z's /ozz/Y/zs z/z 7S04. Afz/ao/'/a///.. A/a/zo/zo« Po/za/ya/Yz, P/'z/zz/zr. Czz/zszz/ z/z /zz Pz/zz/Wzz/z/z /ztzzz-. £0/51.. Lz/zx Pzs/zor/zs, P/'z/z/ z7zz Dz'/za/Yzozz/z/ z7zz /7zzzz/-P/;/zz. /osz/z/z Pazz/ws, Sozzs-P/'z/z/ z/z /'zzzrozzz//. z/z Po/rz/zZ/'z/y. P/Yzzzs-vzz'/za/ r/o /a v/'s/Yz z/z /zz P/z/rz-Pz/rz'z. /I z/az/z/az Pzs/a/zzz z/zz Vz//agz z/z' Cozzz'gzvzzzy z/ zz z/zrzra/; /z'oz's /GVo/az/rzs /Y/Tz/s-z/aar/ /7o /zzaj z/z /zz V/7/z z/z' Po/rz/zZ/'z/y z7 zxz's/z zz/zz /z/'z/rz /z/a/z /zoszz z/z/zozz/ z/zzzzs /zz P/Yzz/zo/z z/zz azzz/z zzzz A'zz/'z/.. zzz/z/rz /'or/zzz/ zx/s/z /zz TWo/z/agvzz zo/z/zz/z szzzzs /z ZZZ7//Z z/z Ca/zz/z z/z? /a/zst Cz'szz/'; /zzzz/ /zrzs szz/z/ Zzs /zrazs z/zz zWzz/z/ /zz'/'z/z/z, z7zz'zz/z a/?/zz//z uzz/ga/>z/zzz/z/ TWzzzz/zzvz. Lz /zza/z/z z/zs z/zw/tz/zs /zzzszz/7 /zzzz/zs szzz*/zs z/z zzz/z/zs SZZ/' /'zxz's/zzzzz z/z zz//z /zzzrrz; /zs zzzzs zzsszzz'zz/zzz/ z7zz'z//z z/azY azzssz /z/'zz/zz/zz/z z/z z/zz/zzzzs z/zz'z/z z/z/zzzrs z/z /zr/'z; z/'zzzz/z'zs z7zz'z//z zïzzz'/ szzzz/z/zzzz czr/zzzz/zzzzz/z/ /za/' z/zs Gar/aYarzs z/z Czz/Vrz zzzz z/z /zz'; z/zz'z/ y zzvzzzï z/zsszzzzs zzzz Tzzzzz/zzzzzz; z/zz'z/Zz zz//zs/zzz7 /a VYc/a/rte, çaMriows/z, Pzzz z/zs Gz/v/zzzzVzs, rz/zz/zzzr/zz szz/- /zs Sz'z/zzzz/zzzz's z/zzzzs zz//z VZ7//ZZ, z/ ZZZZ Z7ZZZ7/ZZZ"ZZ ZZZZS ZZ/Z/'ZS z7 /zz/ l'ZZZ/ZZZZ /zzzz- /zz/zs Cz'-. L7z. /zzzz. /z/as. /zzz/z.. /zrzs z/'/4zzzzzgz7zz/zrz'z sz7zzz' zzzz zs/ zzzz/zzzzrz/'/zzzz Po/'/'z/z/ray; z/zzz/z/zzzs zz/zs /'z/z i'/sz7g zzzz z/z/ ZZZ//Z//ZZ /zz P/7/77Z z/zz Czz//z// z/zs Po/zza/Yzs, z/ /z/asz'zars azz/rzs Czz/z/zz/zzz'zs. Lz Cz7zzyz/z Pzzzz/zzrs 5zzzzs-Prz/z/ z/z /'zzztzzzzz/z'ssz/zzz/z/ z/z Pzzz*szzz*. /•z/z/z'zzy, z/zszz'zzzz/ z/z s'zzsszzrzr z/z /zz vz'r/Yz z/z /ozzs zzs /zzz7s, aro/7 //zzz/zz/z zzzz C/Yoyz/z /zzz/z Pa/z/z's/z LVossa/'// TWa/rz z/z /zz Co/zz/zzzz/zz z/z Cozz/'gz/zzzy z/ Ca/z/Yz/zzazz/rz/y, z/z coz/zz/zzzzzz/zz' zz/z zz/7zz/7z zzo/zz/;z'z z/'/zozzz/zzzs avzz z/zs //zs/raazz/z/s /z/'O/z/'zs à /zzzz'z /zs /ozzz//zs /zzrzssa/Yzs /z/'zs z/z zz//z /zzz/TZ, z/ Cz/ozzzy/'/zzzz /zzzs z/zz/z' s'y zïazz/ z'z/zz/zz azzoz/z/zag/zz z/zz C/Yzzyz/z /zzz/z Gzoz'gz Çzzzz/zzzz'zz yWzzzzr z/z.

(15) -. 160. —. V/Z/z z/z Pzzzrz/z/rzzy, z/zz CzYzzyz/z Pzzez'/z'z/zzz /Mz'gy, prz/rz z/z /zz //zzz/zz V7//z z/ zzzrz' z/z Pzr/zz z/z 5zz/ssz, z/zz C/7zzj'z/z /gvzzzzz //zzz/zz'/zgzr Szzrz/zzz'rz z/z /zz Sz?zzs-Prz/'zz:/zzrz, z/zz CzYzzyz/z /zzszp/z L'/zzzs/z SzzrzYzz/rz z/z /zz z/z'/z V7//z, z/zz yW'zzz'/'z z/z Czzzzrgz/zzzy z/ z/'zz/zz /ozz/z z/z Czzrz'zzzx z?/z zz zzz/zzz/zz/zcz' /;zzr z/z'z/zzzzzsszr /z pz'zz/ z/z /a Pz'zrrz /zz5z/zz'zz z/zvz'/'zz/z /rzzz's yWz/zzs (Yzzzz/ p/zz/s) z/z z/zs/zz/zzz, zz /zz. Z/ZWYWZ SZp/ z/zZZZZZZ/rZS z/z pz-zz/zzzzz/zzzz- ZZZZ ZZ /Z-ZZZZ1ZZ ZZZZZ Lzzizz ZZSSZÂ zz/zz'z, zzzz /zzz'/z'zzz z/z /zzzpzz//z z/z/zY p/zzzz'z z/z/zzzzz/ /zz' pz'z/rz zzz z/zzzsZz'zz/z pzzrzzz'sszz/z/ sz szzzz/z/zz'r pzzr szz/z przzprz pzzz'z/s. Czzzzzzzzz p/zzsz'zzzrs vz'zz7/zzrz/s z/z Czzzzrgz/zzzy przYz/zz/zzz'z/z/ z/zz'z/ zYzzzï zzzzpzzssz/z/z z;zz'z//z 5Z szzzz/z'z/z/zz pzzr szzzz przzprz pzzzz/s, z/zz'z7 y. z/zs /zz-s z/zzz /zz /zzzzz/zzz/, zzzzzsz z/zz'z/s /'zzi'zzzz/z/ z/z'rz; z/zzz //zz/zzz // z/zfzzzY y zzvzzz'r z/zzz/z/zzz z/zzzsz z/z zzzrz'zzzx z/zsszzzzs; zzzz zz prz's /zs przezzzz/zzz/zs /zzczsszzzrzs pzzzzr /zz szzzz/zi'zr zzzz pzz/zz/ z/zz'z//z zzz /zzzzz/zzz// /zrz'z z/zzz szzr z/zfzYzz/z zz/zzz 'zz/z//'zzzz/z'zs z/zzzz/rz pzzzzzzsj z/ zz/z. s'zs/ pz'zzzzzzY pzzr zz //z'zzyz/z /zz /zzcz//7z' z/z vzzzr z/zsszzzzs /'zzsszz/z /zzzz; zzprzs z/zz'z//z zz z'/z' /zzzzz Zzzz//zzyz'z z/ zzz//zzyz'z, // zs/ z-z?szz//z z/z /'zzczzzzzzzz /z p/zzs zz//z/z/z'/ z/zz'// /z'y; zzvzzY zzyzz/Y zzr/zz/zzzzzzzzz/. /zzzz/zzzzz's zzzzz. f. z/zsszzzzs /zz. /zr. pzzzzr szzzz/zzzz'r /zz p/'zrrz, /zz z'/zszz-z'p/z'zz/z /zz zz/zszz/zz//zz/z/ zzzz/z'z z/zzzsz z/zzz /z Pzzz, zzprzs z/zzzzz zz/z /'zz rz/zzz'sz z/z p/zzcz /zzzzz/zzz. z//z. z7zzz7 zzzzpzzrzzi'zzzz/.. O/z s'zs/ zz/zssz zzsszz/'z z/zzz /zz Lzzi'z zs/ p/zzzzz /zz pz'zrrz z/z z/zzzs/z'zz/z, /z'zs/. z/z /zzz7zzz//z zzzz/z-z C/zzzsz z/zz'zz/z Pzz/zc z/z zzzrrz'z/'z, szzr /zz/zzz/ // pzz/'zz/Y z/zzz /zz z/z'/z Pz'zrrz zz z'/z /zrzz zzz//z/zzz prz/rzzzrz zzzz szzzz/zz/z Cz'zzzz/z; <7//'/'/ zz zzzz z/zzzz'/zs z7zzzzz'zz/z/z-/zzzz/ zz/zzz'/zzz/rzs (Yz/z pz'zz/ z/ z/z/zzz'^ z/'zpzz/sszzzr, z/ z/zz'// /zz pzzrzzzY pzzs zzvzz/r /'zz/zzzzz's z'/z' /zrz; z/z/77 zs/ z/'zvzzssz' z/zz Pzi/zz/z/ zzzz Czzzzz/zzz/z/ zzzz /rzzrzrs z/z /zz Pzzsz z/z /zz z/z'/z P/'zr/'z; zz Z7/Z/" rzz/z/z'zv/zz /'zzpz'/zz'zz/z z/zzz zz Pzz/zz z/z Poz/zz /z'zz /'zz/zzzzz's z'/z /zvz, z'zs/ z/zzz z/zpzz/s z/zs szzz/zs /a pz'zrrz z/z z/zzzs/z'zz/z szz/zsz's/zz/z/ z/z/zzzzz/ z/z z'z/zzz'/z'/z/-z pzzr szz/z przzprz pzz/z/s, // /'zz//zzz7 z/zz'z/ /zz/ zxPz/zzz/zzz/z/ /zr/zzz z/ szz/z'z/z, szz/zs z/zzzzz /zz Pz'zrrz zzzz/'zzzY ZZCZZZSZZ7/Z/ZZ z/zs z/z/o/zcz/zzk/zZs z/zzz zzzzrzzz'z/z/ /zzz"/ pzri z/rz szz/z z'z/zzz/z'/zrz z/ zzzz/'zzz'z/z/ z/z/rzzz/zz szz C/zzz/z. Pzzzz/ p/'zs z/z zz//z p/'zrrz // y zz zz/z Pzzz/zzr zzzzzz/zz' /zzzrz'zzz/z/zz/z/zzz/z/ z/zzz pzzrzzzY z/rz /z /zzzv/zz LzY z/zzz zz/zzz z/z/zzzzz/; zz/z /'zz szz/z/zi'z. z/. zz/zz'z, zzzz /zz/7/'z/z. rzz/Zzzz/z' pzzzzr pzzzzi/zzz'r zrzzzszr pzzr z/zsszzzzs /zz pz'zrrz z/z/zzzzz/. Pzz P/'zrrz z/z/zzzzz/ pzzrzzzY zzi'zz/r z?/z' zzrz'gz'/zzzz'rzzzzz/z/ /zzzzzzzzzzzp. p/zzs grzz/zz/z z/zz'z//z /z'zs/ zz pz-zsz/z/, z//z sz z/zYmzvz z'/zsz/zsz'/»/z//zz/z/, z/ zz/z z/z/zi-'z p/zzsz"zzzrs pz/z'/s yWzzrczzzzzzc //zz/zzz zzi'zc /a //zzzz'/z, z'//z zz z/zzzzrz zzz/zzz/Zz/zzz/z/ Cz'/zz/zzzz/z/z z/zzzz/rz Cz/z/z'/zzz/rzs (Yz/z pzzz/ /zzz// pzzzzezs^) z/'zpzzz'sszzzr, Dzz/x /Wz/rzs s/'x z/zzz'/zzz//'zs (TzzzzY p/zz/sj z/z Czzrgzzzr pzzr /z Pzzs, Cz/z/ z/zzzz/rz W/zg/ z/zz/zz2z Cz/z/z'zzzz/rzs (sz'x pz'zz/sj z/z /zzrgzzzr z/zz/zs /z /zzzzz/, //'zz/s /zzz/rzs /zzzz'/ z/ z/z/zzz Czzz/z'/zzz-. //zs. /I. (zzzzz/ p/zz/s. z/. z/z/zzz',) z/z /zzzzz/zzzr.. /Wz/rz. z/zzzz/rz Vz/zgY z/zzzz/zzrzz Cz/z/z'zzzz/rzs z/z /zzzzz/zzzr zzz//z//zz/zzz zz/z /rzzzz z/'z/zvz'rzz/z z/zzzz/z'z Z)zzz'//zz/rzs z/z Dz'zzz/zzYrz. /Izzx z/zzzx zx/rz'/zzz'/zs zzzzr/z/z'zz/za/z z/ szp/z/z/rz'zz/zzz/z z/z /zz Pzzsz // y zz z/zs £z/zzzzzz/'zzrzs z/zzz szz/z/ Czzzzsz z/zz'// /z'y zz z/zzz /rzzzz Pz'zzzz/z. z/zz/rzs fz/zzzz/rz p/zz/sj. z/zzz. pzzr/z/z/. zz. /zrrz..

(16) 161. —. —. Qzzzz/// à /'zz/z/zz/zzz'/z' z/z z:z//z /jz'zztz, z//z /z'zs/ //zzs zzz/z/zzzz; Pzzzz/ zz z/zzz /'zz/z /zzzz/ z/zVz /z zz szz/z/, z'zs/ z/zz'z7 zs/ //z-ozzrz /zzzz zz/z 7ï//'z z/zz yWzzz's z/'zzz?zz/ vWz7 r/zzzz/rz Cz/z/ C/zzz/zzzzzz/z; /zzzz/, z/zz 77 y zzi'zz/7 /z/zzsz'zzz/"s Pz7/zzz/s z/zz/zs /es e/zvz'/'zz/zs z/z zz//z //z'z/rz, à /'zz/zz/zz'z z/zsz/zzz/s z7 zïzzzï z/z zzzzz/zz/zzz z/z Zz/zzV zz/z/zzzz/Zz/zzz/z/ /es ///zzz'z/s Gz/zzz'zzzzx z/zz zzssz/zz/z/z'zs z/zz //zzys z/ z/'y zzzZ/zzzzzz's/z-z/' /zz /zzs/zzz; // es/ zzzz szzzy/Zzzs c<?/zs/zz/z/ z/zz'z/ y zzvz/zY z/zzzz/'z z/zzzzs /z z/zzvzz'zz- szzc/z zz/z Czzrzzz/z zz//zzc/zé zz zz/z C/zz/zz z/ zz/z Cz7/zz/zz/'z z/zs CzvVzzz/zz/s /z/zz/ //z'zs z/z zz LzzzzzZ.. Ar-. Pz/zzz' zz z/zzz zo/zzz/'/zz szz szgyzz/zzzz/zzz/z i/z/zzz zz //z/z z/z7 zz/z //z/z/zzzr Pz/z/zzzz/z /zz/zzz/zzz Lzz/z'/zzzs; Pzztzzz/zzzs sz /z'zz/zs//zz7zzszzs /zzz/7/ Cz's/zzvzzz/zz zVzz/z'czz/, zz/vzzz/zz Przz/zszY z/ zzsz/zzz z/z Az/zzzz//z vzVzz/zz zzzz////, z/ ///szz ZZZ7Z/ZZ v/vzz Arrzz 7rz/z/zzï zs/. (7/z Agrz/rzz/zz Co/zz/zYz'o/zz//zzs zz/z/zzrz Gzz/zz/zz/z'zz Pzzgz 23S). Cz//z Z7ZZ/ZZZZ/ZZZ/Z ZZ /7ZZ/7Z zzzz Sz/zzs Prz/z/ z/zz/z/zzr Z'zx/zZ/czz/zzz/z /zz ///zzs vz-zzz'sz/zz/z/zz/z/z szz/- Z'zz/z/z'z/zzzYz', Z'z/rzg7/zz z/ /z /zzzz/// z/zz ///zzzzz/zzzz/ z/z zz//z /z/zrrz. Z)z /zzzz/ z/zzzzz zz z/z z/zzzz/z/z sz/'zz z/z/zzzsz. Czzzz/'g-z/zzzy. z/. zz. z//-zssz'. /zz Szzzzs. /z /zrzsz/z/ P/'zzzzs-ra7zzz/. z/zz/z/. zz/z. Prz'/zz/zzrz, zz/z zzzz/z'z zzz/jc zzrz/z/vzs zz//zs z/z Pz/rz'z/z/z'zzy.. z/e. zz/z /rzzz'szz/7zz z/zz/zs. Pzz/7 zz Cozzrg-z/zzzy //•zz/zfzzzsz f2Y /ZZ/Z1//Z/'. /z Zz'zz/s P/zzw'z/sz 7807^.. zz/z z/zzzzzz. z/z /zz Pz'/zzz/z/zz/zzz. f. SZg/ZZ,).- Çzz/t7ZZZ/'Z2. vz>z7zz///z /z ///-zsz/zZ Prz/zzs-vzrZ/zzZ rz'z/z'gz //zz/- /z CzYz/yz/z Cz/7z'/zz /zzz/z Gzz/z-gz Qzz/z/zzzrzz zzzzz/7'z z/z /zz vz7/z z/z Pz?/Tzzz/rzzy zz-z/zsszzs SZgTZtf.. Pz/r/'z/z/z'zzy, /z 3 P/zzWz/sz Z.z szzzzs. zz/z. 72.. P/'z/z/. z/zz. z/zz /7zzzz/-P/zz'/z; # z/r/'zz/zz// özzzz/zzz's.. (G/g/zz):. Nous sommes portés à admettre que ces fouilles de 1804, lurent faites à l'instigation de J. G. Quiquerez, maire de Porrentruy, dont nous avons la signature comme greffier au bas de cc rapport. J.G. Quiquerez, père de A. Quiquerez, notre fécond historien jurassien, était lui-même, comme nous l'apprend son fils") l'auteur de manuscrits sur l'histoire du pays. L'énigme de la pierre de Courgenay devait le passionner, sans doute, comme tous ceux qui s'intéressent à nos annales régionales. Quelques années auparavant (1796) avait paru, nous venons de le voir, une nouvelle édition de l'ouvrage attribué au père Dunod. Le livre fut publié à Porrentruy avec des P>zgz'zsszzz/zs szz/' Z'/zz's/zzzrz z/zs Pzzzz/'zzz/zzzs, /z /kLz/zZ-Pz/TzTz/z z/ /zz Pzrzzz. Il est signé C. D.*** On pourrait croire que cet auteur inconnu était J. G. Quiquerez, qui, en 1804, écrivit l'article ,Porrentruy, pour le ZPz/zzz/z/zzz/rz zz/zzvzrsz/ z/z Przz/zzz, mais le doyen Vautrey -') nous apprend qu'il s'agit ici de Delefis et Verneur. Ce dernier est également l'auteur d'une. '). Le Mont-Terrible, p. *) Notices historiques. (14.. District de Porrentruy, I,. p. 173. I. I.

(17) — /zz/zzzgra/z/zz'z/zzz. Gzserz/z/z'zz/z J. 162 z/zz. —. z/z'/zar/zzzzz/z/. z/zz. yWz?/z/-7"zm'/>/z.. 800.. Quoi qu'il en soit, la réédition de cet opuscule avait mis la question à l'ordre du jour et nous voyons, contrairement à ce qu'on y pouvait lire, que le principal résultat de la prospection qui s'ensuivit, fut de montrer l'inexistence d'une autre pierre couchée et de barres de fer ou de cuivre pour fixer la dalle debout à cette base. Le terme de /avz que le rapport emploie pour désigner le banc de rocher sur lequel se dresse la Pierre-Percée n'indique nullement la matière volcanique qu'on a coutume de nommer ainsi; c'est une expression dialectale*) signifiant toute pierre plate. Le paragraphe suivant du procès-verbal est au contraire une confirmation de la présence de cette Pz'zrrz z/zs /z'zs que Quiquerez nous montre couchée non loin de notre mégalithe et dont il mentionne dans sa Topographie-) la disparition, lors de la construction de maisons voisines. Enfin ce rapport y va aussi de sa petite tentative d'explication. La Pierre-Percée serait une borne-frontière. En 1818, Monnier, dans son Lssaz szzr /'OrzgzVzzf z/z' /zz Sz'z/zzzz/zzz, soutient la même opinion. Voici comment Trouillat"), réfute excellemment cette idée. :. « ...z/'azz/rzs ozz/ vzz z/zz/zs zz ZZZZZZZZZZZZZ7Z/ zzzzz z/z zzs gra/zz/zs ôzzrzzz's z/zzz szrvaz'z/z/ zz z'/zz/z'z/zzzz' /zs rzzzz/zs z/ /zs //7/zzYzs z/zts /zzzsszssz'zz/zs zzzz z/zs /zz'zzw'zzzzs, z/z /zzz zz/z/z/zz/z/zz/z/ zz/z /zassagz z/z Lzz/z/zzzs '), z/zzz;zzz/ // rzszz//z z/zzz /zs Vrzzzzs /z/'zz/zz/zzz's z/zz/zs zzs szzr/zs z/z /z/zzrzs, z/az'z/z/ zz/z z'/zz/z'zz zzzzx vzzyagzzzrs z/zz'z'/ zxzs/azY.zz/zz zz/zr-. /ZZ z/zz/zs /z VZ7ZSZ7ZZZgZ. Cz//z ZZ/7Z77ZZZ/Z s'zZ/7/JZZZZ /ZZ7/ZZZ/ZZZ/Z7ZZZ/Z/ SZZZ' /ZZ zz/Y'z7/zs/zz/zz:z z/z/'/Z zxzs/azY zz/zzzz/z/zz/zzz/zZ zz/zz zzYz/vzz zzzz szzz/ z/z /zz Pzzzrz-Pzrzzz, zz zz/zz z/z's/zz/zzz z/z zz/z/ /7zzs. /Ifz/z's // zs/ à zz/zszztzz z/zzz zz//z /7/'zz7'z, szzzVzz/z/ /zzzzs /zs z/z7zzz/zzz/z/s z/zzz /zzzzzs szz/z/ rzs/z's, /z'zz /zzzzzzz/s zYz zz/zz /z'/zzzYz z/z zzYzzz/zszrz/z/zzz/z /zzz/zYzz/zzz zzzz zzz/zsz'as/z'z/zzz; z7zz'z//z /zz /zzzvzzz /zzzzYz/ zz/zz /z//zzYz z/z zzz/zz/zzzt/zz, /zz z/z /z/'zz-. /zar/zzzz/zzrz, z/ z/zz'zz/z /zz /zzzz/ y /zarvz/zz'r z/'zzzz zô/z' z: zz/zz//zz z/z /'zzzz/rz, szz/zs /rzz/zz/zzY z/zzzx rzzzsszzzzzx z/zzzg/zz's z/z zz /zzzz z/z 70 zz /zrz'zYz'. 75 /z. //zz>zzz/zs. L'zYzz/zra/zzz/z z/'zz/zz zzYz/vzz zzz/ z/zz/zz zYz szz/zs zz/z/'z/ //zz/zz vzzyzzgzzzz zz//z'zz' ».. £/. /zz /zzz/z. '). /zzzz/zzzY:. IL. Gzrs/'zzs, 7?zz zzgzzzzYzzz zzzzz/zzzzs /zgzsz/zzz vzzzzzzz /z. 205. rz/zzz's La/z7zz z/z //'//z/Yzôzzs. 7zzv/zz'/zzzs sz /zzz/zs/zzz/zzszzs /zzzz//, zz's/zz/zzz//z szg/zz'/zzzz/, zz/vzzz/zz /zzz/zszY z/ ZZSZ7ZZZ z/z zzz/zza//z vzVß/zz z/zzY//Y z/ z'/zszz ßz/zzß vz'vzz z/z zz/rzz /z//z/zzz zs/. z> La /z'gzzrz z/zz/z/ G zr szzz s <. Lx. az'z'zz//z/zzzg/zz zz /zassagz z/z Lzz/z/zzzs /zz rz/zzzsz/z/z /zas a/zz /zzzrrz //Tzvzrszz /zzzz zz/zz ozzi'zz/zzzz z/a/zs /z sz/zs /zzzzfzzz/z/a/, //zazs z/a/zs /a. ') Voir. ce. p. 294.. mot /zzwe dans le Dictionnaire du Parler neuchâtelois.. Monuments I. N. p.. XXXVIII..

(18) -. feto. 163. /I. Za parZ/'g z/z/évgrZ/'gaZg, c'gsZ-zz-zZZrg zZg ZzawZ g/z Zzas. Zrzzzz rz'gwrg gsZ w/z pgZZZ /zorz'za/zZaZ gcwz/zzw/zZz/wawZ am: Za gaiwZé ngrZZzaZg, ga/zz//zg paw/- Zaz'ssgr égawZgr Zg ZZgwZzZg. Gœsz'ws gz'Zg g/zga/'g, pa,gg 266, w/z awZrg passage a"ww awZrg az/Zgwr /za/z zZz'sZg/zé. « Jgr/zz/'/zws sZ Z/'awspe/'Zwsws /wer/Z, /Zw/zzg« Z/-a/zs/Z, awZ Z/z agwa/zz. iwna//z. z/zZZZZZ.. ». VI. La Pz'grrg-Pgrggg, zZg. Zrop/zég gawZaz's céZg'Zz/'a/zZ Za vZgZoz'rg César s/zr /Ir/ai'ZsZe. Celui que l'on appelle habituellement Zg z/aye/z /WargZ, Ch. Ferd. Morel, pasteur à Corgémont et doyen de la classe des ministres réformés d'Erguel, publiait, en 1813, son AZ/régé swr Z'/zZsZzzZrg gZ Za sZzzZZsZZgwg /Zw CZ-z/era/zZ £ngg/zé zZg Pz/Zg. Il nous paraît naturel de trouver, dans cette deuxième histoire imprimée de notre Jura, une description de la pierre de Courgenay et l'opinion de l'auteur sur la signification de ce monolithe. Toute histoire, même populaire, qui traite de notre pays, se doit de mentionner ce premier monument de nos ancêtres. Et cependant le dernier ouvrage général sur ce sujet, l'/ZZsZaZrz', illustrée, /Zw /wra Zw/zaZs par Virgile Rossel, est muette, tant dans le texte que dans l'illustration, sur la Pierre-Percée de Courgenay. Nous signalons cette omission à qui de droit, pour qu'elle soit réparée quand une nouvelle édition de ce bon livre s'imposera, bientôt nous l'espérons. Sur le sujet qui nous occupe, voici ce que dit le doyen Morel: « /e szra/'s pZws /ZZspasé à g/'o/rg gag Za p/'g/vg-pg/rég a gz/gZz/zzg rzzppo/'Z aw sé/awr zZg /zzZgs César zZa/zs Za Ségwa/zz'g raaraczg/z//g gZ à Za /a/zzgwsg iwcZaz'rg zp/g gg géZèbrg gé/zé/'aZ /'g/zzparZa swr /Iz'ZarZsZg, zywaZor^g a/zs après Za Zzz/ZzzZZZg zZ'/4//zagéZoZ;rZg. Cg /zzo/zaz/zgwZ sgraz'Z, ZZ gsZ l'raZ, pgw zZZg/zg zZw sz'ggZg zZg gg gé/zéraZ, zzzzzz's awssZ pzw/rg/zzzZ /zg Z'g/zrz'saggrZo/zs-zzg>zzs pas gazw/wg w/z awrragg zZgs GawZaZs gwZ, par rz'go/z/zzzZssa/zgg paar ggZzzZ gwZ Zgs araz'Z zZéZZrrés zZg Za présg/zgg zZg Zgwrsj opp/'gssgwrs, grwrg/zZ zZgnoz'r éZgr/zZsgr az'/zsZ sa l'Zz'ZoZrg? Paw/' /waZ /7/iw/g z/zzg, //'//près Zgs rg/zsgz'g/zg//zg/zZs gag César ZwZ-/wg/zzg zZzz/z/zg swr Zg Z/'gw zZw ra/zzZzaZ, /g swZs porZé à Zg pZaggr zZa/zs Zgs g/zi'Zro/zs zZg Porrg/zZrwy; gZ ra/'gZ //zgs /•aZso/zs. /Z /z'gsZ z/o/zg. go/zzwzg a/z Zg i'oZZ, zZg rggawrzr, pz'grrg, à Z'Zz/ég z/w'gZZg éZaz'Z w/z paar gxpZZz/zzgr Za présg/zgg aaZgZ z/gs GrzzzzZgs: g'gsZ gg z/z/g /zg zwzzporZg/zZ paz'/zZ Za /arazg gZ Za pasz'ZZa/z zZg ggZZg pz'gr/'g, Zrap /zawZg pawr ava/'r pw sgm'r z/'awZgZ. /'z/ZwzgrzzZs /zz/'gwx, s'ZZ /aZZaz'Z rg/zo/zggr à //za/z apz'/zz'a/z, //zg ra/zg-gr à ggZZg z/g ggz/jc z/z/Z groz'g/zZ gag ggZZg pz'grrg éZaz'Z ZazzZ sz'/wpZg/wg/zZ w/zg zZg ggs ,î/z'a/zzZz's Zwr/zgs gwZ sgri'az'g/zZ à Z/zzZZgz/gr Zgs ZZwzZZgs z/gs passgssz'a/zs azz zZgs p/'zw'/zggs gZ Zgs rzz/zZgs; swrZowZ sZ, go//zwzg Zg rapparZg w/z awZgzzz" zZw /wayg/z-zzg-g fVoyg.? LaZZ/zws. z/g /4g --or.. pas /zéggssaz'rg,. zZg ggZZg.

(19) —. 164. —. zro/zzZz'Z. yuzzge 23SJ Zz?s Zrozzs /.zz-zzZzz/zze's z/zzzzs cz?s /zzezres é/zzz'e/zZ zz/z zTzzZZze zzzz vzzyzzgzzzzz" z/zz'/Z ezcz'sZzzzZ zz/zz; zzz'Ze/vzz? rZzz/zs Zzzzz/- rzzzszzzzzge,. zrz/w/zsZzz/zzze z/zzz se rzvzzwzzrz' à ZV'gzz/r/ z/z? Zzz /zzzrrz? zZzz/zZ ZZ s'zzgzZ, /zzzz'sz/zzz? Zes fz'z>z'ZZzz/-zZs zZz? Czzzz/'ge/zzzy se rzz/z/zeZZe/zZ e/zczz/-e zzvzzzr rzz, zz ee/zZ /zzzs z/e Zzz /zze/re sezzZe/zze/zZ, zZzz rôZe' zZzz z/zr'zZr, Zes Zrzzees zZ'zzezZe/vze. ji> zze. Ainsi, pour Morel, ce ne serait pas la victoire d'Arioviste( sur les Gaulois que notre pierre-debout commémorerait, mais bien la. défaite du chef gennain par Jules César. Nombre d'historiens, en effet, Dunod, Morel, J.-G. Quiquerez, Verneur, Sérasset, Trouillat, Vautrey, A. Quiquerez, situent dans la plaine de Courgenay, cette grande bataille qui marque le début de l'emprise de Rome sur toute la Gaule. Mais l'énumération même de ces noms, en y ajoutant ceux des auteurs d'histoires manuscrites, tels que Moreau, Comment, Voisard, montre clairement que les seuls partisans de cette hypothèse sont tous des Jurassiens, « désireux, comme le dit Quiquerez de faire honneur à leur pays de ce lieu célèDre»!!! Ce désir, sur la légitimité ou la vanité duquel on pourrait longtemps épiloguer, n'a-t-il pas trop influé sur leurs consi dérations? Il faut le croire, puisque cette opinion n'a pas eu l'heur de rallier, même un seul des autres écrivains qui ont traité de la question. Cette formidable mêlée où les légions transalpines se mesurèrent avec tout ce que la Germanie rhénane comptait de guerriers intrépides et de pillards effrénés — Suèves, Harudes, Triboques, Vauglions, Némètes et Marcomans — venus à l'assaut des Gaules, cette mêlée, disons-nous, se nomme actuellement dans les manuels') Zzz ZzzzZzzz'ZZe zZe Zzz JZzzzr, rivière qui coule près de Cernay, en Alsace. La célèbre forêt de Nonnenbruck, au sud de cette localité, couvrirait en partie actuellement son emplacement présumé. Toutefois il est bien de dire «présumé», car les renseignements incomplets des Anciens et l'insuffisance des trouvailles archéologiques rendent cette recherche incertaine-). Et il est probable que les suppositions continueront leur train comme par le passé, qui peut déjà enregistrer au moins une tren taine d'emplacements proposés. La citation de Golbéry que nous ferons plus loin, montrera, en outre, qu'il n'était pas dans les coutumes des Gaulois d'élever des trophées en pierre. Il n'y a donc aucunement lieu de tenir compte des présomptions de Morel, concernant la destination de la Pierîe-Percée qui ne fut pas plus un monument commémoratif qu'une borne-frontière. Relevons, par contre, chez cet auteur que l'idée d'en attribuer l'origine aux Druides avait déjà été émise à cette époque. Mais il ne nous a pas été possible de retrouver le promoteur de cette opinion. Il est naturel, du reste, qu'elle date de ces temps-là: fin du XVIID et début du XIX= siècles, alors que toutes, les théories des celtomanes étaient en vogue. Cozzzzrze «to z r es rte Cesar, annotés par Constans et Denis. Julliau, t/z'stozre rte to étozzto, T. HT, chap. VIT, § III.. ') Voir ®). G..

(20)

(21) VII. Ca. 166. —. Pz'zrrz-Pzrzz'z, z/zr«z'zr yzsZ/gz zZ'«« z/o/ozz«. En 1828, dans son monumental ouvrage, splendidement illustré, sur les ,4«////«//z' z/z ZM/sazz, M. de Uolbéry, conseiller à la cour de Colmar, nous apporte déjà des idées plus correctes pour la solution de l'énigme. Il écrit: « Pa to«/«/«!» z/z rz/zz/rz /« /'zzs/z'zz, z/ /zs zroya«tzs /7op«/«/'rcs sW/az/zz«/ vo/o«/z'zrs a«x «zoazzozza/s z/« zzz/Zz z/rzzz'z/z'z7«z. Z3a«s /z. /Il. Ca«zZ>ry /yWo«««zz«/s zz/Zz'z/azs /;. 92/ z/z'pa/-/z«zz«Z z/z Z'Oz'sz, zs/ « sz'g«a/z' «/zz p/'zrrz //«/ pzrzzz zo«z«zz zz//z-zz; o« y /a/sa/Z passzr Zzs z«/a«/s, po«r Zzs prz'szrvzr «V Zoa/z «za/z'gaz z'«//zzz«zz.. Cz « z/o/«zz«. » o« ZaZz/z z/rz/zz/zz/zzz z/z Try, z/z'par/z«zz«Z z/z Z'£«rz, z/z /rzz/j/7zz«/z.s a«a/ogz'zs am: /a pz'zrrz pzrzzz z/z Co«rgz*/zzzz, zzprz z/ sa«s z/ow/z zzZ/z-zz /az'saz'Z azzssz" par/z'z z/'zz/z z/o/«zzzz; «zaz's Z'z7z/«rz zZzz Zz/zzps 0« z/zs zazzszs atzz'z/z«/z//zs z/z azzz'o/zZ szpa/'z' Zzs «zo«/a«/s z/ Za ZzzZzZz s«/;z>/z«rz. C'zs/ az'«sz z7«z Z'o« a oZzsz/tz a« zo/ z/z Z'fz/zzZZz, szzr Zz /zzzssagz z/zz /trzzzzzzo/z/zzzzs z/z P/'z'«zo«Z, z//z «zoazzazz«/ z/zzz por/z Zz «o«z zZz « ZaZzZz pzrzzz »; z/z zo/zszrr««/ Ztz ZaZzZz Za/z'ra/z, zzZZz <7«/ a z/zz ra///;o/7 at'zz zzo/rz pz'zrrz, ZZ a z/z /«z«zz pz/'z/« sa ZaZzZz szzpzrz'zzz/'z; «zaz's zZZz zs/ cozzz/zz'z przs z/z /«, z/ Zzs z/z«x «zo«Za«Zs zZ« r/o/«zz« zxz's/z«/ z/zzorz, zZ so/zZ z/z/zozzZ à zôZz z/z Za ZaZz/z pzrzzz. C« rzs/z, Za zZz'ao/az'/zaZz'o« z/z « /orz/ z/z Z'oraz/z» «zo«Z/-z z/zzz Zz Zzozs z/z «zz/zzzs z;«/ Z'z«/o«rz z'Zaz'Z pz«p/z azzssz z/z szz/7z/-s/z'/z'o«s zZ/'az'zZz^Mzs. ZVoz/s pozzzrzo/zs z/Zzr zZ'azzZ/'Zs zZoZ/7Zz«s z/z zz gz«rz zZ /zoZa/««zz/zZ z/a«s Zz zo«zZz' z/z A>«/, z/z /4«g/z/zrrz. /z «'/zzsz'Zz z/o«z po/«Z zz rzgart/zr Za p/zrrz pzrzzz zo«z«zz «« rzs/z z/zz czzZZz zZraz'zZ/^zzz, p«o/<7«z z/zs zzr/i/a/«s, /or/ pz« zZz'//z' zz'Zzs szzr Zzs przavzs zZ «zz«zz szzr Za vra/sz«zWa«zz /Dz'toam'/z zZ'/l/nagzZoZzrzz, z/z. Porrz/zZrzzy, / 796 z« a/'z«Z /az'Z z/z Zzzzr proprz zzzz/orz'Zz' zz/z z/o«6/z Zro/z/zz'zz zZ'a/zorzZ, z/z zo/a/aza/oraZ/'o« z/z Za 6aZaz'ZZz gag«zz par rlr/ov/s/z szzr Zzs Pz/zzzas; z« szzo«/Z Z/z«, /zoz/r pzrpz/«zr Za «zz«zo/rz z/z sa z/z'/az'Zz par Zzs Po«za/«s. CzZZz /«««/zrz z/z cz'Zz/zrzr Za vzz/ozrz z/a/Z assarz7«z«Z /orZ z'zo/zo/«/p«z, szz/'ZozzZ z/z Za par/ z/z Czsar, <7«/ /z'Z zxz't«/zr z/a«s Zzs GazzZzs z/z sz gra/a/s Zravaax </«7Zs z/oaazrz«/ z/z Z'o«/6ragz a« sz'««/. /S«z'/o«z, z/zap. 2<Sj. Cz zo/'ps «z s'z« szra/Z pro6a6/z«zz«Z «as ozzzzpz, s'/Z /z'zzzZ /az'Z z7«z z/zaagzr Za zZzsZz«aZz'o«. 0« Zz «o«z z/zs pz'zrz*zs. 714. vWo/'zZ, zzrzVaz'« azzssz /«z/zzzzax p«z sz/ca/zZ, a zo/«przs zz pzzz zzZZz aZZzgaZzo« avaz'Z z/z rzz/zz«Zz; «Zazs z'Z a ozasz pzzz Za pz'zrrz pz/'zzz oo«rraz'Z zZ/'z «« oz/vragz z/zs Gaz/Zoz's, z/zvz' z« Z'//o«/zz«r z/z Czsar, pozzr tzZz'/zrzr Zzzzr zZz'ZzVra/zzz. ///zs/o/rz z/z Z'z'vzz/zz' z/z Pâ/z). Cz'sar prz«z/ soz'« z/z «ozzs z/z'rz zo//z/«z/zZ Zzs Gazz/oz's z'Zzvaz'z/zZ z/zs Zrop/zzzs aprzs Za vz'zZoz'rz, zZ zz p/z'z'Z «ozzs ap/Jz-z«zZ à zz szzz'zZ «'a r/z« zz«/ pzzz'ssz s'appZz'z7«zr zz «oZz-z «zo««/«z//Z. /Zs a«zassaz'z«Z z« «zo«zzazzx Zz Zz«//« /az'Z s«r Z'z««z/«z zZ Z'zxrosa/Z z/a«s «« Zz'zzz zo/zsazrz z/z pzzz/zp/z z«z/ro/Z apparz/zZ'z/z Zzzzr Zzrr/Zoz'rz. //7«ztz«z ;*zr««z z.rZ/-«zZos zzzazzzZos Zozz's zo«szzra/z's zo«spz'zar/' Zz'zzZ. Cz'sar, Z/v.. /. ') Volume traitant du Haut Rliiu. Appendice. p. 4..

(22) — V/,. z/za/z.. 77). La. szzo/zdz?. 167. raso/z. — z/z. /Y/z/cr zy7A. zj/zz'/z/'cvz,. c'zsf. z/zz'o/z zzz l'o/Y pas pozzrz/zzoi zz /ro/z/zz'e azzrazï z7z c'Aez z/a/zs yy7/z. tvz/A'z... ». L'opinion de Golbéry, abstraction faite de la question de culte druidique, pour les raisons énumérées dans notre introduction, nous paraît très soutenable. Au début de nos recherches sur le mégalithe ajoulot, une idée semblable nous était venue, sans con-. naître l'étude dont nous parlons maintenant. Il se pourrait très bien que la Pierre-Percée ait fait partie d'un dolmen, dont les autrès dalles auraient été détruites, au cours des siècles. Tant de ces pierres, de même que les blocs erratiques et combien de ruines anciennes, ont été dépecées autrefois par le pic et la pioche, pour servir à d'autres constructions. La PzYrr£-fltes-.F^s dont l'existence est attestée par le procès-verbal de 1S04, et par Quiquerez, donne du poids à cette supposition, car elle fournit la preuve qu'il y eût autrefois, dans le voisinage, un autre bloc, avant-dernier débris peut-être, du dolmen présumé. En outre, la dalle de Courgenay, si on veut la considérer comme une pierre-debout isolée, comme un vrai menhir, présente une particularité, sa /;z/'/oz'a//o«, dont ce type de mégalithe est dépourvu. Les dalles trouées ne sont pas rares, il est vrai; il en existe en France, en Angleterre, en Allemagne, en Suède, au Caucase, en Thrace, en Syrie, en Palestine et dans l'Inde, où la moitié des mégalithes présentent cette ouverture. Mais ces pierres percées presque toutes, font partie d'un dolmen ou d'une allée couverte; et les exceptions sont précisément des cas, comme notre monolithe. il y a doute. Une pensée s'impose presque, relativement à ia destination de cette ouverture, généralement trop étroite, pour le passage d'un adulte. Chez des peuples à la religion primitive, ce devait être une porte de sortie pour les esprits cles morts, ensevelis dans le tombeau dolménique; ou bien encore, un passage pour la nourriture qu'on leur apportait durant le laps de temps, jugé nécessaire pour le voyage vers l'au-delà'). Il est en tout cas remarquable de constater cette pratique de la dalle trouée chez presque tous les peuples que l'on a réuni sous le nom d'Aryens ou d'Indo-Européens, à cause des similitudes de leurs idiomes. La z/za/zzfzrz zfo/mmzzj'zz^ serait-elle une coutume spéciale à ces fils de Japhet, à cette race aryenne dont l'existence problématique est toujours objet de controverse entre les historiens? Nous avons relaté précédemment la découverte d'un assez grand nombre de sépultures, près de la Pierre-Percée. Ces exhumations sont authentifiées par divers témoignages. Elles seraient une preuve de plus en faveur de cette thèse, puisque la destination funéraire des dolmens est généralement admise, si le mobilier de ces tombes, armes et autres objets, avait pu être identifié comme appartenant à l'époque du bronze. En l'absence d'une telle consde Courgenay, où. '). J. Déchelette, op.. cit. chap. Itr..

(23) —. 168. —. tatation, l'on pourrait être tenté d'attribuer ces squelettes aux condamnés à mort, enterrés là au Moyen-âge, puisqu'il y eût en ce lieu, d'après le procès-verbal de 1804, un cimetière pour criminels. Cependant, on ne s'expliquerait pas ainsi la présence d'armes offensives et défensives près de ces cadavres.. VIII. La. PzV/T£-Pm:<?V,. zz//Z/?Z. dn/à/à/m'. toute l'hypothèse: zZzzZ//zz>/z apparaît assez plausible. Mais à l'époque où elle fut proposée, elle était inséparable de l'idée qu'on était en présence d'un autel des druides. On n'avait pas même le soupçon que le dolmen pût être un tombeau. Aussi l'écrivain qui s'occupa ensuite de la question, l'abbé Sérasset, dans son dZzdZZ^ z/zz /zz/-zz ou /zis/ow/ars, zz/rMzZzzgzzZz- PâM, Z'zz/zz:zV/z LVêzr/zz?' Zzz/zzzgTzz/z/zz'z7z/z?s sz/z* d qui parut à <7«£s décrit Neuchâtel en 1840, nous complaisammenO) les cérémonies druidiques dont la Pierre-Percée fut soi-disant le témoin, malheureusement muet. Ecoutons-le, pour nous rendre compte de l'opinion en cours au siècle dernier : « Dzz/zs Ls Zz?//z/zs rm/Ls z/f /a ytzmzzzZ? zyZZzz/z/z/, z'Z £s/ à z:/'t>zr<? /?•///> Zzz z-zzZZZ/zz? zz/z sz? Zz'ozzrz? Zzz P/>rzï'-Pzv«V é/zz/Z é/z/zzzz/Ve z?Z rzz/zvrz'Ze zZ'/z/zz> é/zzzzssz? /zzzrZ zZ^ zYzê/zz'S. L^s rZ/>/7zz'z?/-s zZéZzz'Zs zZe z:z7/e Somme. /zzzrZ. /zzzs /zz/z/'s. L/zz> grzz/z/Zz z'zzzzZz' zzr /zzzsszzz'Z. zz/zZ szzZzs/s/z?' /zzsz/zz'zz. zZz? z^Zte /zzV/tê, fZ Pzzzvzz/zZrzzy /zVxzsZzzz'Z /jzzs. Lzz/zZz? zz//zZzr/?s zzzzz/VsZzz^zzszzs zZz> zVzé/zzs zz/zZ/z/z/z?s, zZz^ zyzz/vz/7i? zyzZZz/zz', éZzzz'Z //Zzz/zg^z? zZzzzzs zz/z /Wzz/zz/zzZ zZ z"z?Z/gzVzzx s/Z/tzz^. CVZzz/Z Zzz, zzzzzzs Z^ /z^/zszz/zs, Zz? ZzVzz z/z/z? Z^s Pz'zzzVZzzs zzi'zzzzvzZ z'/zzz/sz /jzzzzz' zz/z zf^ Zz?zzrs szz/zzrZ/z/zz/rs. C'eZzzzZ Zzz z7z/£ Z^s //«z/zZz's zZ^s z?/zi'//'zz/zs sz> rYzz/zzsszz/V/zZ /;zzzzz" zzssz'sZz?/' zzzzx zV/V/zzzz/z/Ys s/z/zz7'sZ/Zz>zzs/?s rZz? Z«zr n/ZZz? z?Z zz. yras zzZoz'5 /zrès Zzz. Zzzzzrs ZzzzrZzzz/rs. cz-zfessz/s. sz/ztz/zzys. Pzz/zs. Zzz. /zzzZzzv? z/zrz'. zzzzzzs. zzi'zz/zs /Zzz/z//é<? z:Zzê/z^s z?Z Zz?s. Cz?ZZes, zzzz zz vzz rZz? Zzz l'ézzz'z'zz/zzzzz «Z zZzz z:z/ZZz? zZe YZzz/V/zZ Zz/'z/Z^s z/^s zzZ>/>Zs /jzezTzzs /'zz/zzZz7/zz7/Z z/zzz> Zzz PzV/rzzcz?s /zzz/z/zZz's. O/z /z^z/Z zZzz/zz: szz/z/zzzs^r zzzzZz'e zZ'///zz> Pz7*z:z'z> zz sot'Z zZ'zz/z^ //za/zz'è/r zzzz zzzz z"zzZ/<? zZn/zzZzz/zzz?. /Wzzzs z^ZZ^- czz/z/VrZzzrz', Z7/Z/ zzVsZ /zzzs zzzzzzwZZ^, zzz/' /zZzzs/Vzzrs szzz" Zzz. z'zzZzgzzzzz zZzzs. z/zz/> Zz?s. am:. Z'zz/zZ /zz'zzV/zZfV zzvzz/zZ zzzzzzs, z:^Z/z? z:zz/z/>z'Zzzzy, z/zszzzzs-zzzzzzs, ZzzzzZ. Zz?. zZ/'gr/? ^zzssz'ZzZc. zzZZotZ/zz/z. Ls. zz/z /zzzï aZZasZé z/zzzzs Zz? ///zzyz'/z-zzg/',. mz/zzsszzzz'/zZ. zzzv/zzz't"'/. z7zzzz/zzZ zz/z zwzs/YZZ'/'z?. z/tw. z:Z/Tzz/zsZzz/zz'^s szzz'vzz/zZes:. CVsZ zyzzz?. wzz/'smZ/Zzz/zz'/?,. zZz>. zzz/Zzzzzz". zZz?. /zZz/s/Vzz/'s z/zzzvz/zzé/zZs z'Z zzzV^s /zzzZzZzVs, Zzzzzs Z/'s zz/zs, Zz?s zzssraZ/Zz'zzs z/zz /rzzys sz?. /zar Zzz. P/V/r^-P«*z:z?z?, szzzzs. zz/z. ZZZZz'zzZ,. z7. y. Zz'-. zzss/szzs z/^z/zz?Zéz's /zZzz/zZs zzzz si? /y///ZzzzY Zzz /zzs/zcc P'zz/z zz//Z/'£ rzzZY, /zzzzzs zzi'zz/zs i'zz /7//Z? Zés Pz'zzzzZz's éZzzz'z?/zZ /zzz/z szy/Zzv/zz'/z/ /z/rZ/rs z?Z szzz:/•////"zzZczzrs, //zzzz's zvzzwz' /zzgz?s; z?Z Z^s ZzVzzx /7//Z YZa/V/zZ zrzz/zszzz^/Vs zz Zz>zzz' z'z/ZZz' YZzzzV/zZ ^/z /zzê/zzz' Zz'/zz/zs Zz?s szz/zz:Zz/z/Z/ys zzzz ZZs /Y/zzZzz/V/zZ Zzz /zzsZzVz', z?Z zzzz /zzzz/as Z^s. rzzzzsz'S z'Zzzz>/zZ //zzrZz'Vs zZ^fzz/zZ z>zzx. /zz7zV/zZ. '). Pay;e. XXXV. et suivantes..

(24) —. 169. S/ //OHS ZYZ/Z/J/'OZY/O/ZS ZYS /aZ/S, /ZZZ/ZY O/ZZ/Z/'ZZ/Z /ZZ7HS /?araz/ 7e l'Z>«/> /oh/ h /h// /;/Yz/;aZ;Zz?, z7 // nons se/n/z/e /nz?//ze //ors z/z? 7o//L ////<? /h P/>rre-Perrée a réeZ/e/ne«/ seri'Z on cnZ/e z/es örn/7/z's. La reZZgZzz/z z7/rzY/>////e, en /'z'/ya/zz/a/z/ s//r //o/re /za/r/z? ses Z//hz/ztz's z7 ses Z/Zen/aZ/s, y aZ/oZ/Y Zenrs SH/zers/Z/Zoos, e/ Zenrs saerZ/Zees Z/arZ/ares. VWa/s co//z//ze Za. con/no/e zZe s'assOTzZzZw an/onr 7'////e /z/'erre on sohs h/z a/'Zzre, /zozzr y re//7re Za /as/Zee, «'ara/Y e/z eZZe-zae/ae. rz'e/z 7e szz/zers/Z/Zezzx, Ze c/zz'Zs/Za/zZszzze Za ZaZssa snZzsZs/er. C'es/ aZ/z/zaZ/Z/aa/s 7e ZM/oZe, 7efe/zzzs e/zreYZe/zs, zwz/z7zhz>zyzz/,/z<?/zZ/Ze/z 7es s/ëeZes, à /e/zz'r Zezzrs /zZaZz/s ozz assZses, /zrès 7e Za 7a/z/ PZerre-Pereée, 7a/zs Ze //zzv/zz? ZZezz ozz, 7e /ozz/e azz/Zz/nZ/é, Zen/*s a/zeê//-es ai'aZe/z/ /zzz/Yz? Zezz/'s eanses 7eva/z/ Ze //-ZZ/azzaZ 7es L>/'nZ7es. » sZ <7/ze Zes. De cet exposé nous retiendrons qu'aux alentours de la PierrePercée, s'élevaient jusqu'au siècle passé de grands chênes, derniers vestiges d'une antique forêt de ces arbres sacrés, aux temps du paganisme. Le fait est confirmé par Quiquerez qui écrit en 1862 ') : « On a Zzâ/Z /on/ rrrr/zz/zzr/z/ /z/zzs 7z> z/azzzf zzzaZsons /ozz/ à ZV/z/ozz/' 7r Za PZrrrr-Pr/'rrr, z^z/Z /;rrrr'7rHZHzr/z/ é/a/Y rrzvZz-o/zzzr'e 7r ZzroassaZZZrs, zrzzzssa/z/ szzr an ZrrraZ/z rrs/r Z/zazZ/z? 7r/;aZs 7rs sz'èrZrs z7 szzr Z^/zzzZ an gra//7 /zo/nZzrr 77zo//z/zzz?s 7r zzzo/z zzgg on/. rnrorr va urgr/rr 7r gros c/zrnrs... ZVozzs Z/zsZs/rrons, ajoute-t-il en note, szzr ZVxZs/rnrr 7r rrs r/zinrs /zarcr z/zz'zz/z azz/rar zzzo7rr/ze] s'rs/ zzzoz7zzr rrrrnznzrn/ z7 aurz: Ze'grrr/Y 7r rr z/zzr nozzs auZo/zs avancr rr. /azY. 7ans zznr. zL?. zzos pzzZzZZra/Zons; zzzaz's s'ZZ auazY /rZzzs. 7r 50 ans z7 an //z>n /z/zzs 7Vs/zrzY 7'oZzsrri'a/Zon, ZZ azzrazY /ozz vcz'r rrs r/zêzzrs 7r srs /j/'o/orrs yrzzx. » La manière dont l'abbé Sérasset nous montre la transmission des coutumes judiciaires du paganisme au christianisme est très vraisemblable. Il est probable que la Pierre-Percée est d'une antiquité plus grande que l'époque celtique, qu'elle date comme les autres mégalithes, de 3 à 4000 ans avant notre ère, alors que les hommes commençaient à utiliser le cuivre et le bronze, concurremment avec la pierre polie. Mais il est aussi probable que les traditions qui se rattachaient à cette pierre se perpétuèrent chez les Celtes, comme chez les Ligures — si l'on veut donner ce nom aux populations innommées de la pierre polie et du bronze, chez nous —; comme elles se sont perpétuées aussi presque jusqu'à nous, tout en variant, suivant l'époque, dans leur destination et leur forme.. IX. La. Pz7ztz?-Pz?/Y£V, g/zo//zzz/z 7<*s a/zzvY/zs. /zvzz/js. Si les textes documentaires des yb/zz/zzz/zz^zz/s zZz> Z'/zZs/zzZzy 7z> Z'a//z:/7/z évzizYzé 7z? ßz/Z^, de J. Trouillat, nous sont infiniment prédeux, l'introduction que l'auteur met en tête de chacun de ses volûmes est, à son tour, des plus intéressantes. L'introduction du to-. '). Le Mont-Terrible, p. 130..

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