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von Euw, M. (1994). Par qui les tourbières sont-elles protégées? Arguments de la recherche, 8, 16-27.

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AB.GUlVIENTS

DE LA RECHERCHE

SECTEUR DE RECHER­

CHES OBSERVATION DE LA FORÊT

Par qui les tourbières sont-elles protégées?

Margrit von Euw

Centre de consultation pour la protection des tourbières

Les tourbières de notre pays se sont raréfiées. En acceptant l'initiative de Rothenthurm, le 6 décembre 1987, les citoyens suisses se sont prononcés en faveur de la protection des tourbières et des sites marécageux.

Cette protection est assurée par plusieurs partenaires, l'un d'eux étant le Centre de consultation pour la pro­

tection des tourbières, à l'Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (FNP).

L'article 24sexies, alinéa 5, de la Consti­

tution fédérale est formulé en ces termes:

«Les marais et sites marécageux d'une beauté particulière et présentant un intérêt national sont placés sous protection. Dans ces zones protégées, il est interdit d'aménager des

installations de quelque nature que ce soit et de modifier le terrain sous une forme ou sous une autre. Font exception les installations servant à assurer la protection conformément au but visé et à la poursuite de l'exploita­

tion à des fins agricoles».

agriculture 38%

habitat 4%

tourbières 0.6%

forêt 29%

surfaces improc:I.

26%

trafic 2%

Proportion de marais par rapport à la superficie de la Suisse.

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(2)

ARG U MEN T S

D E LA R E CHERCHE

La Confédération a la compétence d'élaborer les bases juridiques et les cantons sont res­

ponsables de l'application de ces lois . Selon l'article 3 de l'Ordonnance sur la protection des hauts-marais et des marais de transition d'importance nationale, du 2 1 janvier 1991,

«Les cantons, après avoir pris l'avis des pro­

priétaires fonciers et des exploitants, fixent les limites précises des objets. Ils délimi­

tent des zones-tampons suffisantes du point de vue écologique en tenant compte, notamment, de la zone de contact ainsi que des bas-marais attenants aux objets».

Inventaire des marais

Les inventaires des hauts-marais, des bas­

marais et des sites marécageux représentent d'importants instruments de législation. Ils sont le fondement des décisions visant à pro­

téger les zones menacées, des zones qui of­

frent un espace vital aux hommes, aux animaux et aux plantes ou qui éclairent la science sur l ' évolution du climat et de la végétation de­

puis la dernière glaciation.

Mandaté par la Ligue suisse pour la protec­

tion de la nature ( LSPN) et par le WWF (Fonds Mondial pour la Nature), l'Inventaire des

hauts-marais de Suisse a été établi entre 1978 et 1984 par le Centre de coordination pour la protection des tourbières (COSMOS), une insti­

tution jouissant du droit d'hôte au FNP. Ce travail a été réalisé avec l'appui de la Con­

fédération. L ' Inventaire compte 524 objets, ou sites, dont les superficies passent de 0. 06 ha à 100 ha (Rothenthurm) voire à 120 ha (Les

(3)

A R GUM E N TS

DE LA REC H ERC H E

Ponts-de-Martel). Le document a été actualisé et l'Ordonnance sur la protection des hauts­

marais est entrée en vigueur en 1991 .

Les bas-marais ont été inventoriés entre 1986 et 1990 par une communauté de travail.

Cet inventaire, portant sur 1084 objets, est passé par la procédure de consultation et il doit encore être mis à jour. L'ordonnance ·sur les bas-marais, accompagnée de la liste des objets à protéger, devrait entrer en vigueur cette année encore. L'Inventaire des sites marécageux a été dressé par un bureau d'éco­

logie entre 1988 et 1991. Les 91 objets de ce vaste inventaire devraient être clairement définis et officialisés en 1995.

La superficie des marais d'importance natio­

nale dans notre pays varie considérablement d'un canton à l ' autre. Il en est de même pour le nombre d ' objets qu'ils contiennent (voir tableau) . Plus de la moitié des hauts-marais d ' importance nationale se trouve dans les cantons de Berne, Luc�rne, Neuchâtel, Schwytz et St Gall. Les bas-marais les plus vastes s'étendent dans les cantons de Berne, Schwytz et Lucerne; ils occupent à eux seuls la moitié de la surface de bas-marais d'importance na­

tionale. Quant aux sites marécageux, les plus vastes se rencontrent aussi dans le canton de Berne. Les cantons de Berne, Grisons, Schwytz et St Gall abritent une bonne moitié de ces sites.

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A R G U M ENTS

DE L A REC H ERCH E

Étendue des marais en Suisse

Canton Hauts-marais* Bas-marais** Site marécageux***

*

**

***

Nombre Surface Nombre Surface Nombre Surface

d'objets en ha d'objets en ha d'objets en ha

AG 2 1 .3 23 1 86.3 0 0

Al 8 7.9 1 4 1 09.5 2 1 000

AR 1 8 1 3.2 1 6 1 32.6 1 600

BE 98 242.6 1 66 4056.5 22 22500

BL 0 0 0 0 0 0

BS 0 0 0 0 0 0

FR 29 52.2 27 438.5 4 1500

GE 0 0 1 3.9 0 0

GL 7 8.5 20 193.6 2 800

GR 38 79.7 1 49 1 686.2 20 1 1400

JU 1 5 69.5 7 47.2 4 500

LU 57 1 88.8 89 2023.8 4 1 0300

NE 1 8 1 80.7 3 16.8 3 2800

NW 6 9.3 16 243.4 1 500

ow

45 1 1 1 .5 60 1 561 .4 2 1 0700

SG 52 1 24.1 1 06 1 587.0 9 61 00

SH 0 0 3 1 8.9 0 0

so

1 0.9 0 0 0 0

sz

1 7 1 26.5 1 1 2 261 1 .5 9 81 00

TG 2 - 1 .3 20 1 90.2 0 0

Tl 1 7 1 4.7 29 222.7 5 4300

UR 4 5.8 15 1 56.8 3 600

VD 34 91 .4 59 1 198.4 7 4700

vs

8 8.9 19 1 70.6 2 1500

ZG 20 83.9 43 463.7 4 1 400

ZH 28 48.0 1 1 6 1 1 51 .7 6 3500

Schweiz 524 1470.7 1084 1 8470.9 1 10 92600

= 1 5 km2 = 185 km2 = 926 km2

Ordonnance sur les hauts-marais, entrée en vigueur le 1er février 1991

Ordonnance sur les bas-marais en cours d'élaboration (entrée en vigueur prévue pour 1994) Ordonnance sur les sites marécageux en cours d'élaboration (entrée en vigueur prévue pour 1 995) Les objets qui s'étendent au-delà des limites cantonales sont comptés plusieurs fois.

(5)

A B G U' lVI E N' T S

D E LA RE C HERCHE

Centre de consultation pour la protection des tourbières

Le Centre de consultation pour la protection des tourbières a été fondé au FNP en 1990. Son financement est assuré par l'OFEFP. Le groupe a la compétence de traiter les affaires con­

cernant les hauts-marais de la Suisse ; il con­

seille les autorités, les offices forestiers, les représentants de l'armée, les spécialistes du tourisme et les représentants de l'agricul­

ture. Il élucide les questions touchant à la gestion, établit les rapports d'expertise, analyse les atteintes portées à ces sites et il informe le public.

Exemple d'un cas traité avec l'armée : Le haut-marais de La Thomassette, situé dans la commune du Chenit, dans le canton de Vaud, a fait office de place de tir pour l'armée du­

rant plusieurs années. Les obus ont formé des trous et des cratères dans le haut-marais. Ils ont détruit la couverture de sphaignes . Ces altérations ont modifié le bilan hydrique et par là même les conditions nutritives du sol.

Comme les militaires ont bouché les trous avec des écorces d'arbre, cet apport d'éléments nutritifs a modifié la végétation. Au cours d'une vision locale réunissant les représen­

tants de l ' armée, les autorités et une experte du Centre de consultation pour la protection des tourbières·, il fut décidé de remédier à cette situation . Aujourd'hui , une partie des écorces et de la végétation étrangère a déjà été éliminée et les obus restant sur le ter­

rain ont été recueillis. Le DMF a soutenu ces mesures d'assainissement en fournissant le personnel nécessaire à la réalisation de ces travaux.

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(6)

A B G UM E N · TS

DE LA R E CH E RCH E

L'armée aménage le plus souvent ses terrains d ' entraînement dans des lieux retirés comme le sont les marais et les sites marécageux. En cas de conflit d'utilisation de ces zones à des fins militaires, la confédération, les cantons, les communes, l'armée et la protec­

tion des tourbières ont la possibilité d'ana­

lyser la situation sur place. Ils chercheront alors à déterminer si ces endroits peuvent être utilisées pour ce genre d ' exercice et dans l'affirmative, ils définiront l'ampleur de l'opération.

Diverses recommandations peuvent être fai­

tes: le sol des hauts-marais ne devrait plus être foulé par toute une compagnie car le

tapis de sphaignes est extrêmement sensible au piétinement. Les hauts et bas-marais ne de­

vraient plus être la cible de tirs (notamment lorsqu'il s ' agit du jet de la grenade à main ou d ' exercices d ' artillerie) car ces opéra­

tions détruisent le tapis de sphaignes et modifient le bilan hydrique. Les véhicules lourds ne devraient pas s'éloigner des chemins car les traces qu'ils laissent transforment le sol et modifient ainsi l'équilibre hydrique.

Exemple d'un cas traité avec l'agriculture : Le haut-marais de «Berg» situé près du Gôsche­

neralpsee, à Gôschenen, canton d'Uri, présente de larges traces d ' érosion provoquée principa­

lement par le piétinement du bétail. Désireux de freiner l'extension des dommages provoqués à ce marais d'importance nationale, le Centre de coordination pour la protection des tour­

bières a cherché à approfondir les causes de cette érosion ; il a aussi épaulé le bureau d'écologie chargé par le canton d'élaborer un

(7)

ARG U M E NTS

DE LA RE C HERCHE

Les dégâts consécut ifs au piétinement risquent d'éroder la tourbe. Photo:

A. Grünig.

plan de protection . Il est étonnant de cons­

tater que cette altération a également été provoquée par plusieurs facteurs, comme le climat , le pacage excessif , et même le pié­

tinement consécutif au va-et-vient des prome­

neurs et cueilleurs de baies. Afin de diminuer au d ' endiguer ce type de dommages, certaines mesures sont proposées: exclusion du bétail afin de diminuer le compactage du sol ; dépla­

cement des chemins pédestres à l'extérieur de la tourbière ; report de cette modification de tracé sur les cartes pédestres.

Les éventuels conflits entre la protection de la nature et l ' agriculture sont souvent résolus par la signature d'un contrat. C'est dans ce contexte qu'un modèle de contrat d ' ex­

ploitation a été mis au point par un groupe de travail réunissant des experts du Centre de coordination pour la protection des tourbières ainsi que des représentants de l'OFEFP, des cantons et de l'Union des paysans. Des con­

tacts intéressants et fructueux ont également été établis entre le groupe de protection des

2 2

(8)

ARGUM E NTS

DE LA RECHERC H E

tourbières et le Centre de consultation en matière d'agriculture à Lindau, ZH.

Exemple d'un cas traité avec le tourisme: La Suisse, pays de tourisme par excellence? Ses montagnes, ses villages pittoresques, ses vallées «oubliées» et ses sites marécageux ne sont que quelques points d'attraction touris­

tique . Et comment ne pas citer les marais de Mauntschas, la forêt de Stazer, le Lej da Staz ou Coma Sur, situés à St Moritz et à Celeri­

na/ Schlarigna, GR, ces lieux mondialement con­

nus pour leurs pistes de ski de fond sur les­

quelles se joue le «marathon de l'Engadine».

Ici, la pratique de ce sport a porté préjudice aux marais d'importance nationale. Les fores­

tiers de triage, les autorités communales, les gardiens du paysage et les représentants des lésés se sont réunis afin d'établir un règle­

ment qui libérera les tourbières de ces con­

traintes saisonnières . En collaboration avec les représentants des milieux concernés, des propositions et des mesures ont été étudiées en vue de déplacer le tracé des pistes. Un conseiller du groupe pour la protection des tourbières a participé aux négociations.

Les intérêts de la protection des tourbières peuvent aussi entrer en conflit avec ceux du tourisme. C'est dans cette optique que l'OFEFP a créé le groupe de travail «Tourisme et pro­

tection des tourbières». L ' OFEFP, les cantons, les associations touristiques, les offices du tourisme et le FNP ont chacun leurs représen­

tants au sein de ce comité.

(9)

A R GU M EN T S

D E LA R E C H E R C HE

Surveillance des tourbières

La diversité des tâches du Centre de coordi­

nation pour la protection des tourbières aug­

mente à la mesure de l'étiolement des tourbiè­

res de la Suisse . Dans l ' objectif de suivre l ' évolution générale de l'état des hauts­

marais de notre pays, l ' OFEFP a mandaté le FNP d'étudier une méthode d'observation à long terme de ces biotopes. Ce projet de monitorage des hauts-marais permettra de dresser un

bilan, à la fois quantitatif et qualitatif, des modifications spatio-temporelles qui s'opèrent dans le monde de la faune et de la flore. L'avant-projet présente un concept en 4 volets qui définit les différents stades de la recherche. Chaque volet entend répondre à des questions spécifiques analysées à l'aide de méthodes appropriées.

1er stade : Enquête sur l ' état d'avancement des travaux de protection.

Les cantons fourniront ces renseignements {moyens juridiques utilisés, phase de la mise en application). Ils indiqueront également le genre de protection engagée {gestion, contrôle de l'exécution des travaux) pour chaque objet d'importance nationale en Suisse. Ces informa­

tions seront recueillies à l'aide d ' un ques­

tionnaire qui fournira d'importantes bases pour les stades suivants de ce monitorage.

2e stade : Adaptation de· la plani fication cantonale à l ' inventaire national.

Il s'agit ici d ' analyser dans quelle mesure les cantons ont adapté leur planification aux projets nationaux de protection des tourbières d ' importance nationale . La planification can- 2 4

(10)

ABGU M E N' 'l'S

DE LA RECHERCHE

tonale des zones de protection et des zones d'exploitation sera comparée avec la carte numérisée de l'inventaire des hauts-marais ; elle sera également évaluée à l'aide d'une clé d'interprétation. Cette démarche ne sera pas réalisée pour tous les objets inventoriés, mais il est prévu d'en choisir un échantillon­

nage.

3e stade: Constat des mesures de protection effectivement prises .

Il s'agit d ' abord d'évaluer l'efficacité des mesures prises sur le terrain en vue de pro­

téger et d'entretenir les marais. Il importe aussi de déterminer si ces interventions sont conciliables avec l"objectif poursuivi. Ces recherches , réalisées sur le terrain, porte­

ront sur des sites sélectionnés .

4e stade: Évolution de la faune et de la flore .

L'évolution de la faune et de la flore des marais sera observée dans certains objets préalablement sélectionnés . Les modifications pouvant être très diverses tant dans l'espace que dans le temps, elles seront cernées à

l'aide de différentes méthodes très précises à court et à long termes.

Les résultats du projet de monitorage nous montreront dans quelle mesure ces interven­

tions auront été bénéfiques à la faune et à la flore .

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A R GU M EN T S

D E L A R E C H E R C H E

Protection des tourbières à l'échelle internationale

En 1984, un groupe de spécialistes s'est formé afin de protéger et de gérer les tour­

bières . C'est dans ce contexte qu'il a fondé l'International Mire Conservation Group

( IMCG ) . Ce groupe international organise des rencontres biennales dans un pays possédant des tourbières . L ' occasion est ainsi donnée à ses membres de se rendre sur le terrain et de parler concrètement de protection . Échanges d'expériences, présentation des travaux à réa­

liser, évocation des aspects politiques, aide aux organisations, conseils donnés aux autori­

tés, évolution des tourbières à observer et suivi des changements climatiques ou des ef­

fets de la pollution dans ces biotopes, tels sont les objectifs de l'IMCG , organisateur de ces rencontres .

En 1992, le Centre de consultation pour la protection des tourbières du FNP a organisé en Suisse la rencontre biennale de l ' IMCG. Les spécialistes de 18 pays ont convergé vers la

Suisse à cette occasion. Pour la première fois, des experts des pays de l ' est ont pu participer à cette rencontre, ce gui est réjouissant. Si les participants ont été

enthousiasmés et surpris par la diversité des tourbières de Suisse, il ne furent pas moins étonnés de voir la faible étendue des marais encore existants , des marais que nous conti­

nuons à protéger ! Ces remarques nous ont amené à leur rappeler que l ' étroitesse des zones humides mises sous protection va de pair avec l'exiguïté de la Suisse.

26

(12)

A B G 11 1VI ENT S

D E L A R E C H E R C H E

La «Convention relative aux zones humides d'importance internationale particulièrement comme habitats de la sauvagine» (Convention de Ramsar) est une importante démarche d'enver­

gure internationale. Cette convention, signée en 197 1, est un contrat interétatique qui constitue les fondements d'une coopération internationale en faveur de la protection des zones humides . La Suisse compte au nombre des États membres ayant signé cette convention.

Un guide d'excursion, riche en informations sur le fond du problème, a été rédigé à l'occasion de la 5e rencontre de l'IMCG qui s'est tenue en Suisse:

Grunig, A. (ed.) 1 994: Mires and Man. Mire Conservation in a Densely Populated Country - the Swiss Experience. Excursion Guide and

Symposium Proceedings of the 5th Field Symposium of the International Mire Conservation Group (IMCG) to Switzerland 1 992. Birmensdorf, Swiss Federal lnstitute for Forest , Snow and Landscape Research. 415p.

ISBN: 3-905620-34-0

Distributeur: F. Fluck-Wirth, Internationale Buchhandlung für Botanik und Naturwissenschaften, CH-8950 Teufen.

Prix: Fr.64.- (rédk1é en ançilais)

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