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Düngung,Pflanzenschutz undKulturführung im Blickpunkt

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Academic year: 2022

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Der Gemüsebau/Le Maraîcher 9/2004

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Die DGG-Tagung gilt als jährliche Plattform für die gartenbauliche For- schung (Obst-, Wein-, Gemüse- und Zierpflanzenbau, Pflanzenschutz, Nachernte und Lebensmittelsicher- heit) auf der die neuesten Ergebnisse vorgestellt werden. In diesem Jahr wurden während zwei Tagen über 90 Vorträge gehalten und über 120 Po- ster präsentiert. Einige der für den Gemüsebau interessanten Themen sind im Folgenden zusammengefasst.

R. Theiler, agroscope FAW Wädenswil

Einfluss verschieden- farbiger Mulche auf den Schaderregerbefall

(O. Piepenbrock et al., Hannover) Verglichen wurden Polypropylen Vliese

N-Mineralisation pflanzlicher Dünger

(Ch. Stadler et al., Weihenstephan/

Veitshöchheim)

Untersucht wurden Erbsen- und Lupi- nenschrot, Maltaflor, Agrobiosol &

Ackerbohnenschrot sowie Rhizinus- schrot. Die Stickstoff-Mineralisierung schwankte zwischen 40% (Erbsen- schrot) bis 80% (Rhizinuschrot). Sie korrelierte eng mit dem N-Gehalt der Dünger (R = 0,97; N-Gehalte 3–5,3%).

Temperatur und Bodenfeuchte hatten nur eine geringe bis keine Auswir- kung auf die N-Mineralisation. Der Bodentyp beeinflusst die Mineralisie- rung stark. In sandigen Böden war die N-Freisetzung von z.B. Erbsenschrot signifikant höher als in lehmigen Bö- den.

ver Primingeffekt). Am geringsten war dieser Effekt bei der Vinasse, am stärk- sten bei Lupinen- & Erbsenschrotdün- gung, was die Eignung der Kombinati- on aus Leguminosenschrot und Stall- mistkompost zur Versorgung von Toma- tenkulturen im Bioanbau bestätigt.

Einfluss langsam fliessender Dünger auf die N-Belastung des Sickerwassers

(J. Kopsch et al., Stuttgart/Hohenheim) Die N-Bilanz wies bei Karotten (Bolero) nach Düngung mit Cultan, Entec und Kalisalpeter auf einen N-Überschuss von 65–68 kg N/ha hin. Der Nitrataus- trag betrug 90 (Cultan), 157 (Entec) bzw. 145 kg N/ha (Kalisalpeter), d.h.

mit Cultan war der Austrag um 41%

geringer als mit den anderen Düngern.

Dieser positive Effekt ist jedoch abhän- gig von der Düngerdosierung und ver- schlechtert sich bei höheren Gaben.

Langsam fliessende Dünger allein genügen nicht um die Nitratauswa- schung ins Grundwasser auf ein tole- rierbares Mass zu reduzieren.

Nitrifikationshemmer in der Fertigation

(R. Hähndel et al., Limburgerhof) Der Einsatz von Entec in der Fertiga-

tion erhöhte den Ammoniumstick- stoffgehalt (NH4-N) im Boden bis zu 50%, was sich bei Tomaten und Gur- ken positiv auf den Ertrag auswirkte, jedoch nicht bei Paprika. Für diese Kul- tur, die empfindlich auf Ammonium reagiert, sollte der Anteil an NH4-N nicht über 25% betragen. Im Entec- System konnten die Fertigations- Intervalle bei gleichbleibender Er- tragsleistung reduziert werden.

Klimaführung im

Gewächshaus optimieren

(U. Schmidt & T. Rocksch, Berlin) Der Transpirationsstrom in der Pflanze ist abhängig von der Differenz der Wasserdampfkonzentration zwischen Pflanze und Umwelt. Ein Teil des Saft- stromes wird für das Fruchtwachstum verwendet. Mittels verschiedener Sensoren werden mit zerstörungs- freien Methoden verschiedene Kenn- grössen kontinuierlich über die Vege- tationszeit von Tomaten gemessen, u.a. auch der Fruchtdurchmesser. Bei steigender Wasserdampfkonzentra- tion in der Luft, z. B. bei ungenügen- der Lüftung, kommt es zur Stagnation resp. Abnahme des Fruchtzuwachses.

Entsprechend wichtig ist eine optimale Gewächshaus-Klimaführung, um eine gute Ertragsbildung zu erreichen.

41. Tagung der Deutschen Gartenbauwissenschaftlichen Gesellschaft e.V. (DGG), Wien, 25.–28. Februar 2004

Düngung, Pflanzenschutz und Kulturführung im Blickpunkt

V E R A N S TA LT U N G E N

(Foto: O. Piepenbrock, Universität Hannover)

(Foto: T. Rocksch, Humboldt-Universität, Berlin) in den Farben weiss, rot, blau, dunkel-

blau, grün und silbrig (Al-beschichtet) mit dem offenem Boden. Blaue und grüne Vliese förderten den Kohl- fliegenbefall im Gegensatz zu den UV- reflektierenden Farben silbrig, weiss und rot. Analoge Ergebnisse wurden bei den Blattläusen registriert. Dagegen wurde auf weisser Folie der stärkste Befall von Kohleule und Kohlweissling beobachtet. Bei Broccoli konnten die höchsten Erträge auf weisser und sil- briger Folie gemessen werden.

Vegetabile Dünger zur N- Versorgung von Tomaten im ökologischen Gemüsebau

(J. Rührer et al., Wien)

Leguminosenschrot (Erbsen, Lupinen) in Kombination mit Stallmistkompost führ- te zu höheren N-min Gehalten im Boden, als die mit den Düngern allein zuge- führte N-Menge erwarten liess. Es trat eine zusätzliche N-Mineralisierung aus der organischen Bodensubstanz und/

oder dem Stallmistkompost auf (positi-

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Der Gemüsebau/Le Maraîcher 9/2004

M A N I F E S TAT I O N S

(Trad.) L’assemblée de la DGG consti- tue la plateforme annuelle de présen- tation des résultats les plus récents de la recherche en horticulture (arbori- culture, viticulture, cultures maraî- chères et florales, protection des cul- tures, gestion après récolte et sécurité alimentaire). Cette année, la manifes- tation de deux jours a permis la pré- sentation de 90 conférences et plus de 120 posters. Nous résumons ci-après quelques thèmes intéressant les cul- tures maraîchères.

R. Theiler, agroscope FAW Wädenswil

Minéralisation de l’azote d’engrais végétaux

(Ch. Stadler et al., Weihenstephan/

Veitshöchheim)

L’étude a porté sur les broyats de pois et de lupins, le Maltaflor, l’Agrobiosol avec broyat de féverole ainsi que le broyat de ricin. La minéralisation de l’azote a varié de 40% (broyat de pois) à 80% (broyat de ricin). Elle était étroitement corrélée avec la teneur d’azote de l’engrais (R = 0,97; teneurs d’azote 3–5,3%). La température et l’humidité du sol n’ont exercé qu’une influence mineure, voire aucune, sur la minéralisation de l’azote. Le type de sol exerce une forte influence sur la miné- ralisation. Par exemple, la libération d’azote par le broyat de pois était signi- ficativement plus élevée dans les sols sableux que dans les sols limoneux.

Engrais végétaux pour l’ap- provisionnement en azote des tomates en culture maraîchère écologique

(J. Rührer et al., Wien)

L’apport d’un broyat de légumineuses (pois, lupins), en combinaison avec du compost de fumier bovin, aboutit à des teneurs d’azote minéral dans le

sol plus élevées que ce que l’on pou- vait attendre de la quantité d’azote apportée par les seuls engrais. Il s’est produit en complément une minérali- sation de la matière organique du sol, et/ou de celle du compost de fumier (effet positif d’amorçage). Cet effet était le moins marqué avec la vinasse, et le plus prononcé avec la fumure constituée de broyats de pois et de lu- pins. Ceci confirme l’intérêt de la com- binaison de broyats de légumineuses et de fumier bovin pour l’approvision- nement en azote des cultures de to- mates en production biologique.

Influence d’engrais à libération lente sur la charge d’azote des eaux d’infiltration

(J. Kopsch et al., Stuttgart/Hohenheim) Le bilan azoté d’une culture de ca- rottes (Bolero) montrait un excédent d’azote de 65-68 kg N/ha après fumu- re avec Cultan, Entec et nitrate de po- tasse. La perte d’azote par percolation a été de 90 (Cultan), 157 (Entec) et respectivement 145 kg N/ha (nitrate de potasse). C’est-à-dire que la perte d’azote a été avec Cultan de 41% in- férieure à ce qu’elle était avec les autres engrais. Cet effet positif dé- pend toutefois du dosage de l’engrais et s’amoindrit avec des dosages plus élevés. Les engrais à libération lente ne suffisent pas seuls à réduire dans une mesure acceptable le lessivage de nitrates dans les eaux souterraines.

Inhibiteurs de nitrification dans la fertigation

(R. Hähndel et al., Limburgerhof) L’utilisation d’Entec dans la fertiga- tion a augmenté jusqu’à 50% la teneur du sol en azote ammoniacal (N-NH4), ce qui a exercé une influence positive sur les rendements des cul-

tures de tomates et concombres, mais pas sur celle de poivrons. Pour cette dernière culture, qui réagit de maniè- re sensible à l’ion ammonium, la pro- portion de N-NH4ne devrait pas dé- passer 25%. Dans le système Entec, les intervalles de fertigation ont pu être réduits sans modification des ren- dements.

Influence de paillages de diverses couleurs sur les attaques de ravageurs

(O. Piepenbrock et al., Hannover) On a comparé entre eux des voiles de polypropylène de différentes cou- leurs: blanc, rouge, bleu, bleu foncé, vert et argenté (aluminisé) en couver- ture du sol d’une part, et le sol nu d’autre part. Les voiles bleus et verts ont favorisé les attaques de mouches du chou, à l’inverse des couleurs réfléchissant les ultraviolets comme l’argenté, le blanc et le rouge. On a obtenu des résultats analogues avec les pucerons. Par contre, c’est sur les couvertures blanches que l’on a constaté les plus importantes atta-

ques de noctuelles et de piérides du chou. Les brocolis ont donné les rendements les plus élevés sur les paillages blancs et argentés.

Optimiser la gestion du climat en serre

(U. Schmidt & T. Rocksch, Berlin) Le flux de transpiration dans la plante dépend de la différence de concentra- tion de vapeur d’eau entre la plante et son environnement. Une partie du flux de sève est utilisé pour la croissance des fruits. On a mesuré en continu, durant toute la période de végéta- tion de plants de tomates, différents paramètres de ces phénomènes (entre autre le diamètre des fruits), au moyen de divers capteurs et selon des méthodes non destructives. Lorsque la concentration de vapeur d’eau aug- mente dans l’air, par exemple si la ventilation est insuffisante, la crois- sance du fruit s’arrête ou s’inverse même. Une gestion optimale du cli- mat de la serre est donc importante pour l’obtention d’un rendement sa- tisfaisant de la culture.

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e

assemblée de la société allemande de science horticole (DGG), Vienne, 25.–28.2.2004

Alimentation minérale, protection des plantes et conduite des cultures au centre des débats

(Photo: O. Piepenbrock, Universität Hannover)

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