• Keine Ergebnisse gefunden

Enquêtes épidémiologiques sur le paludisme dans le cercle de Bobo-Dioulasso (Haute-Volta, 1949-1950)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Aktie "Enquêtes épidémiologiques sur le paludisme dans le cercle de Bobo-Dioulasso (Haute-Volta, 1949-1950)"

Copied!
14
0
0

Wird geladen.... (Jetzt Volltext ansehen)

Volltext

(1)Enquêtes épidémiologiques sur le paludisme dans le cercle de Bobo-Dioulasso (Haute-Volta, 1949-1950). Autor(en):. Holstein, M.. Objekttyp:. Article. Zeitschrift:. Acta Tropica. Band (Jahr): 10 (1953) Heft 2. PDF erstellt am:. 28.01.2022. Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-310458. Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten Zeitschriften. Sie besitzt keine Urheberrechte an den Inhalten der Zeitschriften. Die Rechte liegen in der Regel bei den Herausgebern. Die auf der Plattform e-periodica veröffentlichten Dokumente stehen für nicht-kommerzielle Zwecke in Lehre und Forschung sowie für die private Nutzung frei zur Verfügung. Einzelne Dateien oder Ausdrucke aus diesem Angebot können zusammen mit diesen Nutzungsbedingungen und den korrekten Herkunftsbezeichnungen weitergegeben werden. Das Veröffentlichen von Bildern in Print- und Online-Publikationen ist nur mit vorheriger Genehmigung der Rechteinhaber erlaubt. Die systematische Speicherung von Teilen des elektronischen Angebots auf anderen Servern bedarf ebenfalls des schriftlichen Einverständnisses der Rechteinhaber. Haftungsausschluss Alle Angaben erfolgen ohne Gewähr für Vollständigkeit oder Richtigkeit. Es wird keine Haftung übernommen für Schäden durch die Verwendung von Informationen aus diesem Online-Angebot oder durch das Fehlen von Informationen. Dies gilt auch für Inhalte Dritter, die über dieses Angebot zugänglich sind.. Ein Dienst der ETH-Bibliothek ETH Zürich, Rämistrasse 101, 8092 Zürich, Schweiz, www.library.ethz.ch http://www.e-periodica.ch.

(2) Service Général d'Hygiène Mobile et de Prophylaxie, Bobo-Dioulasso, et Office de la Recherche Scientifique Outre-Mer, Paris.. Enquêtes épidémiologiques sur le Paludisme dans le cercle de Bobo-Dioulasso. (Haute-Volta, 1949-1950). Par M. Holstein. (Reçu le 6 octobre 1952.). La publication, dans le Bulletin de la Société de Pathologie exotique (5). par Jonchère et Pfister, des résultats des enquêtes malariologiques menées par les auteurs, au cours de la saison sèche 1951, en Haute-Volta, Côte d'Ivoire et Guinée, nous pousse, afin de les compléter, à publier ceux que nous avons obtenus au cours de 56 prospections effectuées, entre le lor août 1949 et le 30 juin 1950, dans les trois subdivisions du Cercle de Bobo-Dioulasso et de deux enquêtes à Bobo même.. /. Technique de l'enquête. Les enfants examinés, de 0 à 14 ans, étaient de préférence choisis parmi ceux qui ne fréquentaient aucune école et, de ce fait, ne recevaient pas de médicament prophylactique. La palpation de la rate était faite l'enfant debout à l'exception des enfants en bas âge qui demeuraient assis sur le bras de leur mère. Les rates étaient classées en 4 catégories :. rate rate rate de. 0. :. 1. :. 2. :. raie non palpable ; rate palpable sous le rebord costal ; rate palpable entre le rebord costal et l'horizontale. l'ombilic rate 3. :. ;. rate palpable sous l'horizontale de l'ombilic.. Chaque enfant, splénomégalique ou non, portait un numéro reporté, avec son nom, sur un cahier. Ce numéro correspondait au numéro de la lame sur laquelle étaient pratiqués un frottis et une goutte épaisse. Dans la localité où se pratiquait la prospection, une équipe de « boys-moustiques » s'occupait de récoller le plus grand nombre possible d'Anophèles adultes, en notant le nombre de cases visitées. Les Anophèles étaient disséqués sur place, après détermination, et les lames étiquetées étaient examinées, après coloraAcla Tropica X,. 2, 1963. 8.

(3) Acta Trop. X, 2, 1953 — Médecine 'Tropicale. 114. tion, à Bobo. Par ailleurs la recherche des gîtes était faite aussi soigneusement que possible et, dans la mesure du temps disponible, dans un large périmètre autour du village. Les gîtes découverts étaient numérotés, la température et le pH notés, un échantillon en était rapporté au Laboratoire pour recherche du taux des matières organiques. Les larves et nymphes récoltées étaient, autant cpie possible, élevées individuellement el supportaient très bien, en tubes, le voyage de retour en camionnette. Ainsi, dans chaque village examiné, se trouvaient recueillies les données permettant d'établir l'incidence du paludisme et son epidemiologie locale. Le plus souvent, en une saison différente de celle à laquelle avait été menée l'enquête, une équipe de boysmoustiques, sous la direction d'un infirmier entomologiste, se livrait à de nouvelles captures d'Anophèles afin d'établir les variations de la faune et avoir une connaissance plus claire des facteurs de la transmission des hématozoaires.. //. Malariométrie. La palpation des rates et l'examen des lames de sang nous ont permis d'établir les indices suivants, dont nous donnons les abréviations, afin de faciliter la lecture des tableaux où elles se retrouvent. :. Indice splenique. (S). nombre de porteurs de rates x l()() nombre d'enfants examinés. Baie hypertrophiée moyenne (M). Indice splénométrique (MS). S. somme des valeurs des rates. nombre de splénomégaliques x M.. Indice plasmodique (ou parasitaire) (I.pls.) nombre de lames positives x 1()0 nombre de lames examinées. Indice gamélique (I.gm.) nombre de lames contenant des gamètes x nombre de lames examinées Indice gamétique (L.gm.) splénomégaliques + parasités nombre d'enfants examinés. 100.

(4) M. Holstein, Enquêtes épidémiologiques sur le Paludisme.... Exemple. 115. :. Nombre d'enfants. Rates n° (A). AXB. (1!). 83. 0. 17 10. 3. (a) (b) (c). Totaux. (d). 114. 1. 2. 17. 20 12. 4. (e). 49. (a+b + c) x ~10°=27,1. s. (d) (e). M. (a. MS. + b ftc). 27,1 x 1,58 P.. Schizontes Gamètes. falciparum 50. L58 42,9 vivax. P.. I'. malariay. 2. i. 2. 2. 4 6.2. 3. 2. Schizontes + gamètes. 5. Total. 57. %. 89,0. 1,8. Nombre de lames examinées : 114. Nombre de lames positives : 64. 64 x 100. Nombre de lames montrant des gamètes b'. :. 1.1.. n xioo. Lgm-=^i^^9'6' T. Porteurs d'hématozoaires splénomégaliques » » non splénomégaliques Splénomégaliques sans hématozoaires. 17 47 14. 78. I.E.R.. 78. ÎÏÎ. 0,68.. III. Anophélinométrie. Le simple fait de noter le nombre d'Anophèles capturés, de les déterminer spécifiquement et d'établir leur indice sporozoïtique est insuffisant pour donner une idée exacte et de la densité anophélienne et du rôle vecteur des espèces rencontrées. Il peut être, en effet, possible de récolter dans deux ou trois cases (situées, par.

(5) Acta Trop. X, 2, 1953 — Médecine Tropicale. 116. exemple, à proximité des gîtes) une centaine d'adultes et de n'en plus trouver qu'une dizaine dans un plus grand nombre d'habitations ; l'estimation de la densité sera ainsi erronée et ne correspondra pas à la densité anophélienne réelle dans le village : il en sera de même pour l'indice sporozoïtique. C'est pourquoi l'on a intérêt à visiter le plus grand nombre possible de concessions et à établir d'une part l'indice de densité par case (I.D.C.) nombre d'Anophèles femelles capturées nombre de cases visitées et d'autre part. l'indice d'infeclion moyenne (U.M.) I.D.C. x indice sporozoïtique (I.sp.) 100. deux indices peuvent être calculés pour l'ensemble des espèces capturées ou pour une seule espèce, gambiae, par exemple ; dans ce cas, le nombre d'Anophèles femelles capturées sera remplacé par le nombre de gambiae femelles capturées et l'I.sp. sera celui de l'espèce envisagée. Nous n'avons pas jugé utile de nous lancer dans l'établissement de nombreux autres indices biostalistiques, principalement utilisés en Amérique du Sud (6), leur nombre et leur diversité n'étant pas, pour autant, significatifs. Ces. IV. Le paludisme. Les 56 enquêtes effectuées dans les trois subdivisions (BoboDioulasso, Houndé el Banfora, peuplées respectivement de 127.000, 33.000 et 130.000 habitants) nous ont permis d'examiner un total de 4.596 enfants. Nous avons groupé les résultats de ces enquêtes par village et par date dans le tableau n° 1 qui montre la grande diversité de l'incidence du paludisme, puisque, à l'intérieur d'une superficie d'environ 40.000 kilomètres carrés, S varie de 19,6 à 76,0 %, M de 1,20 à 2.07, les indices plasmodique et gamétique respectivement de 16,0 à 86,6 % et de 2,2 à 26,0 %. Si l'on fait les lotaux par subdivisions (Tableau n"2), on s'aperçoit que les grandes variations enregistrées donnent cependant, en bloc, des résultats comparables. Si l'on s'en tient à la classification proposée par la Conférence du Paludisme en Afrique Equatoriale, à laquelle nous avons eu l'honneur de participer, le Cercle de BoboDioulasso peul être considéré comme une région à paludisme mésoendémique (7), malgré que quelques localités présentent des. foyers de paludisme hyperendémique. La subdivision (aujourd'hui Cercle) de Banfora est plus touchée, ce qui peut s'expliquer palle fait qu'elle est constituée par une sorte de vaste cuvette large-.

(6) M. Holstein. Enquêtes épidémiologiques sur te Paludisme.... 117. ment arrosée où les gîtes anophéliens, très étendus, sont permanents. Les chiffres que nous donnons ici sont largement comparables à ceux établis pour la Nigeria du Nord (1). Ils ne montrent, en aucun cas, cpie la région géographique qui constitue le cercle de Bobo doive être rangée dans une région à paludisme holoendémique. Les hématozoaires en cause (Tableau n° 3) obéissent au schéma classique de ces régions de savane soudanaise : prédominance considérable de P. falciparum sur les deux autres espèces : P. vivax et P. malariae dont la distribution se montre très capricieuse ; dans l'ensemble, à l'exception de la subdivision de Banfora où malariae dépasse légèrement vivax, c'est ce dernier qui l'emporte (Tableau n" 2). Les associations parasitaires se sont révélées rares : onze fois falciparum-vivax, deux fois falciparum-malariae, une fois vivax-malariae sur 6.616 lames examinées. Nous avions, en cours d'enquêtes, résumé nos premiers résultats (3), laissant prévoir que l'ensemble des prospections ne modifierait probablement pas ceux-ci, ce que nous pouvons vérifier aujourd'hui. En ce qui concerne la ville de Bobo-Dioulasso même, nous avons effectué une enquête en juin 1950 (fin de saison sèche) et nous en avons fait faire une autre en septembre de la même année (fin d'hivernage) Les résultats en sont consignés dans les tableaux n° 4, 5 et. Nous avons procédé à la prospection par quartiers qui montre bien combien les différents indices peuvent varier d'un point à un autre d'une grande agglomération et l'importance qu'il y a donc, au cours d'une enquête malariologique, à ne point se cantonner dans un seul quartier. L'intérêt du tableau n" 4 est de montrer que la prise de médicaments prophylactiques n'a pas empêché une légère augmentation de l'indice splénique mais a marqué, au contraire, nettement les indices plasmodique et gamétique qui. dans les localités où les enfants n'ont pas été protégés, montrent, en fin d'hivernage, une augmentation souvent brutale. Cette absorption de prophylactiques chez les enfants a entraîné, comme corollaire, une sensible uniformité du parasitisme dans les divers groupes d'âge (Tableau n" 6), le groupe 0-4 ans étant cependant plus touché. 6.. V. Les vecteurs.. La faune anophélienne du Cercle de Bobo, établie d'après les captures d'adultes et l'élevage des premiers stades récollés dans les gîtes, est remarquablement variée pour une région de savane Anopheles gambiae, A. funestus, A. rufipes, A. nili, A. pharoensis, :.

(7) ^ çj £ Guus. o. i. >;. -f. Cài»OSO. •i. i". w. _. _. 'S.. i>. traiSi'OOi'O98'0si'o09'09i'0fÇ'O89'0OS'Oii'OE9'0S9'()tf'Ots'oE9'0tf'OCf'O08'0t-9'0fS'O9i'0os'oOt'OIG'OOS'OE8'o55'0. ap. i'ii9'se'eis'i8'es. saiuui'UiS'IO'EIS'f9'9It'OI'L 8'9 0'6 6. sap. i'iSl'i.O'OfO'ESo'ot9'9f8'St9'liS'tSi'Sfo'ss6'IS0'9E0'9IS'il«'ESO'ESO'ttS'SS8'iSS'ISt'Ef0'8fl'6is'ss. 'S[d-iCes s'ts. ]a sap>.i. l'.IO'EEs'siç'ç. O'fy'9S'EE()'8I()'9E8'()lS'SIi'SI. ()'<JO'f0'9. KOUUÌ'J. 8Q. Oli601SOICOISi 55 5f 601gg. iti. 99 <:s: 001. OS OS. 9f Of O'J 05 91 8019i. 99 001OEI06. sap. i'fll. 6'SS 6'6E 9'66 9'8is:'868'os8'88O'IEl'9EI'ISO'fO'Et9'IS8'660'9iE'9S l'EEI i'08S'fJ6E'89 S'EII i'SSI i'E9 f'9f6'Of KS T'98 uauwxg 6. K -tuoluoq. S. it'l68'IË8'l68'I9i'li9'lOf'lO'EITISE'lI9'IE8'l05'Ies'iE6'l06'IEi'l08'I8i'l9i'l9i'l99'Ift'test59'ISt'l8f'l i'ff. t'ff. 9'8S i'Ef5'6fI'9S 0'8SS'9S O'SEl'OS8'18t'150'8SO'fSO'ESO'Of9'ESS'E90'9S0'9iE'S98'iS9'SE9'6IO'ti9'ESL'LZ. fa. t. apunopi. nvaiavx. 6i- 6f 61 (il 61 6f. (if 6f 6f 6f 6f 05 os os os- os os os os os os os- os os OS OS 05. II II II TITI 'E 'E 'E 'E 'E 'E 'E 'S '01 'SE'6E'SI f f ¦8 '8 (i 'L TI 'ST '8E'8E'8E'8E'I. >i>,r '8 '8 '8 '8 ¦6 Ol. 'oqoy ap. '8 '6. 'S s s 'S S 'S I. 'f ¦f. ti 'OE'(iE'OSTST. 'SI. uoisiAipqtig. BJOJUBg BJOJUBg BJOJUBg BJOJUBg BIOJUBg BJOjuBg Bjojuug apunoji apnno|[ apunon apnnojl apnno[i apunoji suoisiaipqng oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog oqog. no8nopaiuB>(B({nos'. noSnop")iuB5[Bqno^* sa}. simp. iio8nopB.iBp;s; BjBpnoumofvi oijoioSubjjsJ. noSnopangas' noSnopanSaç. OSSB^UEJBJJ OSSBJ[UEJB}I. U01UG3. Bireumo'i. bjsjSiiox BjoiuBgB.n:po.i(). nopuig sanbioojoiJiipnu oqog oqog. oqog Buang oqog !IB>1 I.IB\J oqog !'a!>I UBJI ;.n;\[ Ulì}[. 9A. noSnopa;uB>[BC(no^. noSnopapjqiuEg uBnoSojouiBs noSnopanSai; noSnopaqaç UB^iqoSnojj luapucuiBS tuiiooq BUBissnox sapiiibirj nO)uanojj Binuiinor[ Biquino^j iqajSuoj BJEpOJf) Bjojung OSUIJB([ OSSO|.l\] EjatlOg inmoji nopuii< 0>I010§UBI!vJ OS'S'B5(UB.IB}I ÄIUBJBSJB([ ossajapui([. i.ib>i '.VI. Bnoji. 9A.

(8) M. Holstein, Enquêtes épidémiologiques sur le Paludisme.... 119. CM^^^"iXccCMOC0Ci;DX-t-CM;DCM-rccc:cDC0CXCiC0L0;0X-H co^ »q o io >q in •** cq \a co r^ io io -f i> r- o^ w io o x to xr ro x o iq x o" c o c; o" ©" © ©" o" o" o c" o" ©" o" cT cT o" ©" o" © ©" o ©" ©" ©' e. ©" o" 35. e co. i>. i---. *-h. io'. i>. es. Cm". io'. Ci iO iO. CD. t-. ©' of. x -f'. "* -- i-i r-" Ci" x". GQ. co" oc. w. ©". CM. cm". cc Ci -+ co". o" ©". ¦<* l-J Is* iO -+ Xr CM_ CO © co" ** co cm ^h co' co' co". -t. o w CM. CM. r«. —r. x. Cm". —^ cm^ _o ce Cm". •** Ci iO. o -f". C C. rH. .m ©_. -t —*. x. co". ** ©'. o^. x' x". xx'. 00 iO 00 1> co'. cm. r-" ^t. co". x c. co". cm^. O. o". l^ t—. © x^ CD. x". -+ W. ©. CM. -t —". ^". ¦—(. Ci iO. -t-'. CT:". O. © CM ©»O. CO CO. -fOi"tcc,i?:^i-tn^«x-t-tcccc.^iOu. •tc-fccxTXi': 1-H. [M.lhX-fX'OOa'ttì^OinMWX.lC-(O— [>©X ¦>---. »0©©-.X-H XXO'+XCXiO'— l~-. CM. m". CM. X —| lO CM iO © w Or C X i> -t" io -t" x" co -f' -h' ©" ©" o. CO^. CO^. co". ©^ ©^. o" ©. CM. ©". l>. i-H. Ci. x" ©' -t". © w —-" ©". r*. »o'. CD. w. -t' c:'. "OX©©. iO ÏM —'. r-'. ©r. o. cm". ooxcD'-HOcor^r^ioxcocir.-^iOio-rt'ioxxior^ioxoC'r-r* ïD. tO. -t X Ci Ci I> © O r^. iO »O -+ ©^ t-- Ci r^_. O O -. co iO O Ci iO. CQ. CO^. O. ©_. X. CM^. O. X. iO iO. !>¦ »O. i--. X_. i-i r- ft- f- io X^ ©^ r>; Ci. O. r-^. 'O. l>. X. iflhiOOCHtctrjCliiOOOhO'.CiWOHCiOt.tOOXhûlM. r-" i—. o" i-h" -t -t c x" c u. c co" co -t" o o r> q io' x" cm i—" x' -t co" 'H C O Ci CO©iO^COiOCOCO^^OCM^CM"^COCOCMCO-.iOCOCOCO-tLO-.-tCC. -.. X. _;. -t i* -f' -t. ^. •.. -t -f -t. u. O ci. o. irà. io io. »o. io lo. w n w c 6 d h h hi—IrHi-Hi—t. e.. *t r*. C:. 6 -t c o h. M i< T-I-Hi—|tHi—l-^Hi—(T—I »o. CM. -tCM. -t o o CM. -""H. 3. 'OJ. u. i... i-H i—li—I i—i. CM. CM. >o. CO. io lo lo CO. CO. co co. w. i-indo CO. CO. E. 3 —. o o o c. -. -,. «. m. 3'. 3. =1. :r.. 3. ô. -. S. "c ¦ o "o. va;. a_. .^ .u. -3-3^-3. «SSSoS'o'o'c'oc'c'ö'ö. n -j. —. a §. Ì3~. 33^. •:. - O— L^. •a.. -z.. 3. 3. ^. -1. 3 o. 3 „3. I-*. C. "*. 3 n y. ¦/.. O. r3. _j w. r-HH^i.^acc^. bbbczzzzbZk —. y—. c _. a Z. .2; "S. H. 2. û ^.. y:. 3. 13. .- 3 3 ft,. 3. S 3 3. .a. .2 3 3. 3 _ 0. CJ. a_^. X. ^. 3. -i ¦r. ~ K o -. w. ~. tr. ;:. c. ri. __;. y. X. x x. O. Ä. Ä. ^. d* CQ.

(9) TABLEAU 2. Tableau récapitulatif des enquêtes malariologiques. Subdivision de Hobo-Dioulasso Iloundé Banfora 2. 537 788 1.271 Nb. d'enfants M MS. 1,69 74,0 1.271. Nb. de lames 1. pis. I. gm. I. E. R. P. P. P.. 40.8 1,75 71,4 788 36,0. 43.8. S. 49,0 8,5 0,65 94,7 2.3 3,0. falciparum vivax malariae. 7.7. 0,59 90,8 6.6 2.6. 38,3 1,70. Total 4.596 40.3 1,71. 68.9 4.596 45,5 9,2 0,63. 65.1 2. 537 46,7 10,0 0,64. 90,6 7.3. 92,1 5,8. 2.1. 2,1. TABLEAU 3. Répartition des Hématozoaires par cantons. Subdivision. Bobo. Canton Bobo. P. falciparum. P. vivax. 89.5 96.2 94,7 90.3 92,5 89.8 82,0 92,8 84,9 84,1 88,0 88,8 98,6 100,0 94.8 100.0 89,8 97,6 93,1 93.8 96,0. 6,1 3,1. Noumoudara Kotédougou Karankasso Guéna. Orodara Tacouara Fô Séguédougou. Houndé. Sidaradougou Kari Bereba. Banfora. Ouakuy Beregadougou Nafona Tengréla Banfora Sindou Loumana Soubakaniédougou Niangoloko. P. malariae. "M 0.7 5.3 6.5 2.9 1,8 6.0. — 3.2 4.6 8,4 12,0 7,2. —. 13,-1. 1,7. 15,9 9.0 8.3. —. 1.4. —. — —. 4,1. 1.1. —. —. 5,1. 5.1 1.6 2.3. 3.0 2,9. 0.8 -1.6. 4.6 2.0. 1.6. 2.0. TABLEAU 4. Enquêtes malariologiques à Bobo-Dioulasso ; résultats généraux. Juin 1950 Septembre 1950 Nb. d'enfants 1165 855 S. M. MS. Nb. de lames. I.pls. I.gm. I.E.R. P. falciparum P. vivux P. malariae. 21,7 1,58 34,1 1165 52,5 6,4 0,60 93,9 5.7 0,4. 27,7 1,66 45.9 855 41,0 3.0 0,56 96,5 1.9 1,6.

(10) .1/.. Holstein, Enquêtes épidémiologiques sur le Paludisme.. 5S. 2. C^. x". ©. rH. IX. CM. lO. -,. to Tf. ¦tf. X T. ^. X. Tf CM. X CM. ©^ —"~ CM. Tf. LO. JJ. X. CM. —. —. © co CI. o. CI. x X. X. ~ X. CD. S. T—!. CM CM. X X CD. I>. —. ^ X. lO. CM. © Ci. "^. Tf. m. »O. 3. i-O. CD. v~~. X. uO. O © X. X. X. T- X ±A x^ CM X CD O © Ci © © X ^. Tf. CM. -r Tf X X 1-1. lO. © © © O 1-1. [> x X. i> Ci. Tf. CD. l>. CM. P-. T.. -O. 1>. T—|. CM CD. Ci. o. CM. 2. X Ci. t>. o rn. X. -t. r^. p-. Tf. CD. m. X X. 1> LO. r-. lO •Al. X X. xiO. Tf Cj. O. T. CM. Tf »..O. ©. X X. i-O. X -r. Bindougousso. X r> X © O X © i> CM Ci. I>. Tf. © 1—1. co. c.. lO. CD. o X. X. LO L--. X. CD. © to ©. © CM. Sikassosira. X lO. —¦. C-. LO. o Kombougou. CD. l>. ©. X. LO. Tf. Tf CD. —. X Tf [>. CO CM. CTi. Dioulassoba. X X ©. lO. Ci. rH CM. co". 2. Tf. X. LO. o. o. I>. CD. —i. s. xu-. ©. -H. o o. -f. Tf. c^. o. oj. §. T. ©. Oï. -. t>. „. Ci CD. J. ¦«t. X. __. O. Diaraciougousira. ©. v". CM. CD. O. § —. Boromakote T—. 1—t. ". Tf. °. i. —. IN. CD. o. © c:. © '"v. cd. CM. -tf. Tf. © X. :D. ^. CM. ©. co". ©. lO. O. rH. Ci". CM. CS. X. CD. O. Tf 1^ x"". Tf. ^. lO. ©" ©. ©. Koko ©. CM. CD. X. CD. X _-. ™. Tf. t>. X. lO. X. O. X. S. i:. £ i~. -%-". X. X S s —. 5. ". ¦s.. —. —. ti. J. t.. ^^. ï. "ï. _;. Z.. —. 121. —. ,•.

(11) Acta Trop. X,. 122. 2, 1953. — Médecine Tropicale. TABLEAU. 6.. Enquêtes malariologiques ti Bobo-Dioulasso ; résultats pur groupes d'âges.. 0-1 Nb. d'enfants. Index splénique Nb. de lames Index plasmodique. /'. falciparum P. vivax P. malariae. an. 480 29,1 480 54,5 95,0 4.5 0.5. 1—4. ans. 431 22 2 431 54,7 92,7 5.5 1.8. 4-10. ans. 577 22.7 577. 44,1 95.2 4.3 0,5. m. -14 51. ans 1. 22,4 514 45,5 96,7 2,5 0.8. squamosus, A. brunnipes, A. domicolus, A. hancocki, A. flavicosta, A. pretoriensis. Quatre espèces sont 1res localisées : brunnipes, domicolus, flavicosta et hancocki, deux sont rares, à l'état adulte, dans les habitations : squamosus et pretoriensis, mais peuvent se trouver dans de nombreux gîtes. Si, à Bobo-Dioulasso et dans la subdivision de Bobo, la (aune de gambiae-funestus suit le schéma de l'inversion saisonnière (que nous avons décrit précédemment [3], et sur lequel nous nous étendons par ailleurs [4]), par contre, dans la subdivision de Houndé, dans laquelle les gîtes ont pratiquement disparu tout au long de la saison sèche, nous avons été surpris de constater la prédominance quasi constatile de funestus. Dans la subdivision de Banfora, le problème se pose encore de façon différente, les deux Anophèles dominants étant funestus et rufipes (Tableau n° 7). Nous n'avons pas eu la possibilité d'effectuer de prospections durant l'hivernage dans cette subdivision, mais les déterminations faites au laboratoire sur les Anophèles que nous a fait parvenir le Médecin-Chef de ce secteur SGIIMP nous ont permis de constater les pourcentages de présence suivants, en juillet-août ià Banfora même) /1.. :. A. funestus : 90.6 % A. gambiae : 4,7 % A. tlomicolus : 4,7 %. alors que, en saison sèche, pour la même localité, ils s'établissent de la façon suivante : A. A. A. A. A.. funestus : 58,1 % tlomicolus : 35,6 % rufipes : 5,5 % coustani : 0.5 % gambiae : 0,3 %. Le rôle de A. gambiae, pendant toute l'année, est donc des plus réduits, à Banfora tout au moins. Nous avons noté, dans le tableau n° 7, les indices sporozoïtiques.

(12) M. Holstein. Enquêtes épidémiologiques sur le Paludisme.... TABLEAU. 123. 7.. Dissection des Anophèles dans le Cercle de Bobo-Dioulasso.. Subdivisions de Bobo-Dioulasso s. s.. .4.. %. nb. disséquées I.sp.. hv.. s. s.. hv.. 131. 22,4 121. 13,2. 301. 61,8 268 12.6. o:; 5,5 64 3,1. 114. 36.7 111. 4.5. 86 37,7 60 3,3. funestus 5 nb. %. nb. disséquées I.sp. .1.. Houndé. Banfora. gambiae 9 nb.. A.. hv.. :. rufipes. 423 72,5 311 9,0. 184. 37,8 131. 7,6. 1.083 64.9 653 7.5. 192. 61.9 182. 6,0. 139 61.0 108 2,7. Ç. ni). %. nb. disséquées I.sp. Nb. de cases visitées I.D.C. gambiae. funestus. rufipes. U.M. gambiae funestus rufipes. 30 5,1 28 3,5. 597 0.21 0,70 0.05. 0,027 0,063 0,001. 2. 0,4 2. — 110. 2,73 1,67 0,01. 0,343 0,126. —. 495 29.6 332 8,4. —. 338 0,27 3.20 1.46. 352 0,32 0.54 0,01. 0,083 0,240 0,122. 4. 3. 1,4. 1,3 2. 4. — 28. 3,07 4.96 0,10. 0,014 0,032. 0,101 0,133. —. —. saison sèche — hv. hivernage. 1. 1. 49 à 31.5. 49 et 1. 10. 49 à 31. 5. 50 — Pour la subdivision de Bobo, s.S. hv. 1.6. 49 à 31. 9. 49 et 1. 6. 50 à 30. 6. 50. Pour la subdivision de Banfora, s.s. 1.11.49 à 31.5.50. 1. 4. 49 au 30. 4. 49 et 1. 2. 50 au Pour la subdivision de Houndé. s.S. 31 5. 50 — hv. 1. 7. 49 au 30. 9. 49. s.S.. des trois. principaux vecteurs, en même temps que leur indice moyenne. Dans la subdivision de Bobo, c'est à A. gambiae que l'on doit les plus forts indices de transmission ; mais si l'on examine les indices d'infection moyenne, on peut s'apercevoir que,. d'infection. pendant la saison sèche. A. funestus, avec un indice sporozoïtique plus faible, a cependant un rôle vecteur plus important ; d'où l'intérêt d'établir l'I.D.C. el l'I.I.M. On peut constater, par la lecture de ce tableau, que le rôle de A. rufipes est loin d'être négligeable, ainsi que l'avancent JonchÈre et Pfister. Nous avons attiré l'attention (2) sur l'importance que pouvait avoir localement rufipes.

(13) Acta Trop. X, 2, 1953 — Médecine Tropicale. 124. puis (3) sur le rôle qu'il pouvait jouer en présence d'autres vecteurs classiques comme gambiae et funestus. Le rôle de cet Anophèle ne doit donc pas être sous-estimé. A Bobo-Dioulasso même, où il ne représente (sur 6.551 Anophèles capturés entre le 14 mai 1948 et le 30 septembre 1950) que 1.64 % de la faune, son indice sporozoïtique (établi sur 67 dissections entre le 1er janvier 1949 et le 30 septembre 1950) est de 7.4 %. La transmission, dans cette localité, est assurée par A. gambiae, les chiffres élevés montrés par A. funestus étant, le plus souvent, dus au très petit nombre de dissections (Tableau n° 8). TABLEAU. 8.. Indices sporozoïtique, de densité par case et d'infection moyenne de A. gambiae et A. funestus à Bobo-Dioulasso. .4.. Nb. disséquées. 8.49 9.49 10.49 11.49 12.49 1.50 2.50. 153. 532 219 93 29. 30 5. ga,'libine. I.sp.. I.D.C.. I.I.JI.. 9.8 9.0 8.6 4.3 6.8 10,0 20,0 13.0. 0.140 0,450 0,200 0,088 0,025 0.029 0,004 0,016 0,010 0,014 0,021 0.061 0.190 1,569. 0,0137 0,0405 0,0172 0,0037 0.0017 0,0029 0,0008 0,0028. 3. 50. 23. 4.50. 13. —. 5. 50. 18. 11.1. 6.50. 26 89 259 1.332. 7.6 20,2 16,2 4,6. 7. 50. 8.50 9. 50. .1. Nb. disséquées. 17. 38 26 22 10 5. 8 5. —. I.sp.. I.D.C.. U.M.. 17.6 7,8 7.6. 0.016 0,032 0,023 0,020 0,009 0,004 0,007 0,003 0,004 0.003 0,002 0,019 0,021. 0.0028 0,0024 0.0017. — — — — —. 4. 20,0 25.0. 3. —. 27 29 33. 3,7. •. 0,0015 0,0015 0,0183 0,0307 0,0721. funestus. 3.4 6.0. 0 043. — — — — — 0,0008 0,0007. — 0,0007 0,0007 0,0022. Dans l'ensemble du Cercle, si l'on établit les indices globaux, l'importance des différentes espèces se manifeste de la façon suivante. :. A. funestus A. gambiae A. rufipes. I.D.C.. I.I.M. 7.1. 1,41. 9,2 7,8. 0.50 0,37. 0,100 0.046 0.028. %. I.sp.. 61,7 22,1 16,2. ('/est donc A. funestus qui assume la plus grande part de responsabilité dans la transmission du paludisme. Bibliographie. 1.. Rruce-Chwatt, L. J. (1951). Malaria in Nigeria. — Bull. org. mond. Santé 301-327.. 2.. Holstein, M. (1950). Un nouveau vecteur du paludisme en A.O.F. Anopheles rufipes Cough 1910. — Bull. Soc. Path. exot. 43, 140-143..

(14) M. Holstein. Enquêtes épidémiologiques sur le Paludisme... 3. 4.. 125. Holstein. M. (1951). Note sur l'épidémiologie du paludisme en Afrique 463-473. Occidentale française. — Bull. Org. mond. Santé M. (1952). Biologie d'Anophèles gambiae. Recherches en Afrique Holstein, Occidentale Française. — Org. mond. Santé, Monographie n" 9, Genève, 176 pp.. 5.. Jonchère. H. et Pfister.R. (1951). Enquêtes malariologiques en Haute-Volta, Côte d'Ivoire et Guinée (Janvier-Mars 1951). — Bull. Soc. Path. exot. A4, 774-786.. 6.. Levi-Castillo,. R. (1949). Atlas de los. anofelinos sudamericanos. — Guayaquil,. 207 pp. 7.. Comité d'experts du paludisme (1951). Rapport sur la mond. Santé. Sér. Rapp. Techn. n° 39.. 4e. session. — Org.. Summary. Based on fifty-six malaria tests made in the Bobo-Dioulasso Circle where several localities are centres of hyperendemieity this region can be classed as meso-endemic. The subdivision Banfora, better watered and with permanent Anopheline breeding grounds, has a greater endemicity than the subdivisions Bobo and Houndé. The blood parasites found in these regions are chiefly P. falciparum (92.1%). P. vivax (5.8%) and P. malariae (2.1%). The main vector is A. funestus with an average infection index of 0.100. followed by A. gambiae (A.I.I. 0.046) and A. rufipes (A.I.I. 0.028). This latter has a definite part in the transmission of the blood parasites and must be considered as a dangerous vector.. Zusammenfassung. Aus 56 im Kreis Bobo-Dioulasso angestellten Erhebungen geht hervor, daß diese Gegend als für Malaria meso-endemisch bezeichnet werden muß, doch gibt es auch gewisse Ortschaften, welche hyper-endemische Herde bilden. Der Bezirk Banfora ist stärker bewässert und besitzt ständige Brutplätze von Anophelen. Er ist deshalb stärker infiziert als die Bezirke Bobo und Houndé. Die wichtigsten Blutparasiten sind P. falciparum (92.1%), P. vivax (5.8%) und P. malariae (2.1 % Der hauptsächlichste Überträger ist .1. funestus mit einem mittleren Infektionsindex von 0.100. Auf A. gambiae (M.I.I. 0.046) folgt A. rufipes (M.I.I. 0,028); diese Art spielt ohne Zweifel eine Rolle in der Übertragung der Plasmodien und muß als gefährlicher Überträger gelten..

(15)

Referenzen

ÄHNLICHE DOKUMENTE

— 309 — plus grande partie de leur excursion par terre ; ce n'est qu'au retour, à partir d'Akoroso, qu'ils ont pris la voie du fleuve ; mais, soit à l'aller, soit au retour,

Après m'être demandée ce qu'un ministre du Pétrole du Schlarafhazoulou pouvait bien chercher dans une forêt vaudoise et déserte tout en y égarant son portefeuille, il ne me reste

pieds glissa et c'est dans un superbe plouff que je me retrouvai à l'eau, à 2 ou 3 mètres du bateau que je regagnai piteusement à la brasse, déshonoré à tout jamais, oubliant même

Dans le cadre de l’élaboration d’un Plan de Développement Ecotouristique de la région du Triangle Bleu (Maroantsetra – Mananara – Sainte Marie) situé dans le littoral Nord Est

Quant à la couche romaine du flanc septentrional, elle n'a été reconnue que par sa hauteur au-dessus de la couche de l'âge du bronze ; on n'y a pas trouvé de fragments de

Pour assumer la couverture des besoins des populations rurales et urbaines, l'aménagement et la gestion des ressources forestières s'inspirent aujourd'hui, notamment dans les pays

Mais nous avons cru bien faire aussi de relever le fait que ces livres nous ont valu une certaine célébrité dans la Suisse alémahique.. Le Jura a bien le droit d'en être fier et

A cette occasion, il s'occupa du Creux-Genaz et donna du phénomène de ses émissions, l'explication suivante : « Après de grandes pluies, toutes les eaux de la Haute Ajoie se