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Au cours de celle-ci, les efforts de la mission ont port6 essentiellement sur le releve topographique du terrain situe ä l'interieur de la grande enceinte

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LES FOUILLES D'ELKAB

Von P. Vermeersch, Löwen

Depuis 1937, plusieurs campagnes de fouilles ont et6 menees ä Elkab, un

site de la Haute Egypte ä quelque 15 km. au Nord d'Edfou. Les premieres

furent entreprises par la Fondation Egyptologique Reine Elisabeth (Bruxel¬

les) en 1937, 1938, 1947 et 1955 avec l'espon de decouvrir des documents

sm une ville pharaonique dont l'importance fut grande depuis la prehistoire

jusqu'ä l'extreme fin de la civilisation egyptienne et sur laquelle les infor¬

mations manquaient presque totalement. Interrompues pendant quelques

ann6es, les fouilles furent reprises en 1966 par le Comite des Fouilles beiges

en Egypte, fondö en 1965 sous la presidence de M. Pierre Gilbert, conserva¬

teur en chef des Musees Royaux d'Art et d'Histoire (Bruxelles) et professeur

ä l'Universite de Bruxelles.

Un groupe d'exports, conduits par le professem H. De Meulenaere, di¬

recteur des fouilles, visita le site dans le courant de 1966 et etablit un pro¬

gramme de recherches archöologiques. Une premiere campagne eut lieu en

fevrier-mars 1967. Au cours de celle-ci, les efforts de la mission ont port6

essentiellement sur le releve topographique du terrain situe ä l'interieur de

la grande enceinte. On proceda egalement au deblaiement de la chapelle

rupestre d'epoque ptol6maique qui se trouve ä environ trois kilometres k

l'Est de la grande enceinte.

En janvier 1968 commen9a la seconde campagne qui se prolongea jusqu'au

15 mars 1968. Une premiere fouille a eu pour but de d6gager la rampe

d'acc^s du grand temple de la d6esse Nekhbet, situe ä l'interieur de l'an¬

cienne ville. Un second chantier a 6te ouvert au Nord du lac sacre ; on y a

decouvert un escalier convert de dimensions considerables, menant de ce

lac ä un secteur d'habitations, malheureusement tres ruin6. C'est toutefois

dans une necropole pres de la porte Est de la grande enceinte qu'ont et6

faites les d6couvertes les plus interessantes que nous examinerons un peu

plus en detail.

Le site epipaleolithique

L'endroit qui fut fouille durant la campagne de 1968 se situe ä l'interieur de la grande enceinte, non loin de la porte Est. II s'agit d'un terrain ä micro-

relief avec une depression peu profonde et large appartenant au systäme

du petit ouadi qui traverse la ville d'Est ä l'Ouest.

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BIBLIOGRAPHIE ZU: LES FOUILLES D'ELKAB

Arkell, A. J., 1949, Early Khartoum, Oxford University Press.

Butzer, K. W. and Hansen, C. L., 19(58, Desert and River in Nubia, The Uni¬

versity of Wisconsin Press.

Caton-Thompson, G., 1952, Kharga Oasis in Prehistory, University of London,

The Athlone Press.

McBurney, C. B. M. & Hey, R. W., 1955, Prehistory and Pleistocene Geology

in Cyreiiaicaii, Libya, The University Press, Cambridge.

Tixier, J., I9()3, Typologie de VEpipaleolithique du Maghreb, Arts et metiers

graphiques, Paris.

Vermeersch, P., 1908, Quelques industries lithiques d'Elkai) et environs, Chro¬

nique d'Egypte, XLIII, 85, 13-21.

Vignard, A. E., 1923, Une nouvelle industrie lithique: le Sebilien, B.I.F.A.O., XXII, 1-70.

Wendorf, F., 1964, Contributions to the Prehistory of iVwim, Southern Methodist University Press.

Wendt, W. E., 1966, Two Prehistoric archeological sites in Egyptian Nubia.

Postilla, 102.

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Les Fouilles d'Elkab 33

Les d6p6ts de cette depression se constituent de sables limoneux strati¬

fies en couches peu epaisses. Ces couches contiennent deux niveaux ar¬

cheologiques. Ces deux niveaux sont bien separes l'un de l'autre par une

couche limoneuse avec un depot de sei.

De l'ensemble des observations stratigraphiques et geologiques on peut

deduire co qui suit :

1. Les deux couches archeologiques appartiennent au meme cycle s6di-

mentaire et sont quasi contemporaines.

2. Le site est posterieure au Sebilien moyen.

3. Dans une periode beaucoup plus recente des tombes fment creus6es

en cet endroit.

On entama la fouille par des carres de 4 m. sur 4 m., laissant entre les

differents carres un mm ,,stratigraphique" de 1 m. d'epaisseur. Dans les

carres on fomllait a la trudle on enlevant chaque fois une couche de 5 cm.

Des que la concentration en pieces etait assez importante la terre enlevee

fut passee au tamis ä mailles fines. Les ouvriers avaient regu la consigne

de laisser in situ chaque piece qu'ils rencontraient. Des que le carr6 fut

fouille sur les 5 cm. les manoeuvres furent deplaces et chaque piece fut

enregistree dans un systeme tridimensionel.

Une grande partie du site reste intacte comme temoin de la fouille.

La couche archeologique inferieure - la seule prise en consideration ici -

est isoiee entre deux couches limoneuses et presente une epaisseur variant

de 10 ä 40 cm.

La plus grande partie des objets a ete fabriquee en silex. Ii s'agit d'un

fin silex brun-clair de tres bonne qualite. II ne presente pas de patine et est

d'un aspect tres frais.

Au total 4443 objets furent ramasses. Parmi ceux-ci on compte 2742

eclats et dediets de taille, soit 62% de la totalite des objets, 1166 lamelies

soit 26%, 144 lames soit 3%, 64 nuclei et 229 outils soit 6,5%. Le caractere

microlithique de l'ensemble est frappant : les pieces d'une certaine grandeur

sont rares.

Les nuclei sont tres uniformes : ils ne possedent qu'un plan de frappe et

ont souvent l'aspect tres cannele. Les lames et lamelles sont minces et

etroites. L'outillage est entierement lamellaire et quasi exclusivement

microlithique. Les vrais geometriques sont peu frequent. Les burins sont

absents ainsi que les grattoirs dont seulement un exemplaire atypique a

ete releve.

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34 P. Vermeersch

Inventaire des pi^ces^

1 Grattoir simple sur eclat 1

12 Pergoir simple 5

13 Pergoir sur lamelle k bord abattu 2

15 Meche de foret 2

45 Lamelle aigue k bord abattu rectiligne et base arrondic 1

Pointe elancee ä bord abattu 8

55 Lamelle ä tete arquee 2

56 Lamelle ä bord abattu arquee 1

60 Lamelle k bord abattu gibbeux 2

63 Lamelle ä bord abattu partiel 4

64 Lamelle ä cran 12

66 Fragment do lamelle ä bord abattu 26

76 Lamelle ä coche 13

77 Lamelle denticulee 3

80 Piece ä troncature 16

82 Segment 7

83 Trapeze isocele 1

84 Trapeze dissymetriquc 1

101 Lamelle ä piquant triedrc 8

102 Microburin 79

103 Microburin Krukowski 1

105 Piece ä retouche continue 24

112 Divers 4

223

Seulement une petite fraction (78) d'eclats a subi Faction du feu. On ne

trouva qu'un percutcur en silox. II y a plusieurs cailloux en silcx ou en gr^s

qui ont du appartenir a un foyer. En gres furent egalement trouvees deux

plaquettes (10x53 cm), dont une face est polio lui donnant ainsi un profil

faiblemcnt concave. Deux plaquettes similaires furent non polies. Des

ossements, dos dents do mamif^res et des aretes de poissons souvent brul6s,

sont disperses et tres decomposes. Une datation au C14 du charbon do bois,

realisee au laboratoire de physique nucleaire do l'Universite de Louvain,

nous donne pour ce site: 6400 B.C. ± 160 (Lv. 393).

L'ensemble archeologique de cc site temoigne d'une grande originality

quand on le compare aux sites prehistoriques connus jusqu'ä cc jour en

Egypte. II s'inscrit pourtant facilement dans l'ensemble des industries 6pi-

paleolithiques de l'Afrique du Nord et du Proche-Orient.

Vignard (1923) a dejä decrit une industrie microlithique provenant do la

' Pour la description nous nous röförons ä TIXIER, 1963.

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Les Fouilles d'Elkab 36

plaine de Kom Ombo : le S6bilien Sup6rieur. Cette industrie se rapproche de

la notre par la presence de microburins, de segments et de trapezes, ainsi

que par rabsence de burins. Le Sebilien superieur differe pourtant essen¬

tiellement de l'industrie decrite ici parceque techniquement il se place en¬

core dans la lignee levalloisienne tandis que l'industrie d'Elkab n'a plus de

rapport avec cette lignee.

Le Mesolithique nubien (Wendorf, 1964; Butzer, 1968) est egalement

microlithique mais de tradition levalloisienne. Les microburins manquent

tandis que les burins y sont pr6sents. La ,, Halfan Sequence" est probable¬

ment plus ancienne: des datations aux C14 la situent aux environs de

14500 B.C. La ,,Qadan Sequence" pourrait etre contemporaine de notre

site. Les datations varient cn effet de 7400 B.C. jusqu'ä 5750 B. C. Une autre

industrie microlitliique 6pi-levalloisienne de Wadi-Or est dat6e de 5110 B.C.

(Wendt, 1966).

L'industrie microlithique de Khartoum difffere essentiellement de celle

d'Elkab et par son inventaire typologique et par la pr6sence de ceramique.

L'industrie microlithique de Helwan n'est pas bien decrite, et il n'est pas

eertain qu'elle soit pr6neolithique.

Les points de contacts avec le Bedouin Microlothic de Caton Thompson

(1952) sont plus importants. II s'agit en effet d'une industrie franchement

lamellaire avec une grande vari6te de lamelles ä bord abattu. L'el6ment

geometrique est egalement assez rare. Les nuclei sont du meme type que

ceux d'Elkab, tandis que les burins et les grattoirs sont peu frequents ou

manquent memo totalement. Cependant on note une grande difference,

notamment l'absence totale de microburins et la presence de pointes de

fleche bifaciales. En plus la position stratigraphique de ce ,, Bedouin Micro-

lithic" est inconnue et il s'agit de tout petits ensembles pauvres en outils.

L'industrie de Sirtica, Marble Arch Aerodrome, en Lybie (McBurney &

Hey, 1955) comporte des lamelles ä bord abattu, quelques trapezes et

segments, de tres nombreux microburins, mais 6galement des ,, round-based

points" qui manquent k Elkab.

Enfin il est clair qu'il existe beaucoup do points de comparaison entre

l'industrie d'Elkab en rib6romaurusien du Maghreb.

Le site fouille temoigne d'un campement qui fut probablement visits

plusieurs fois durant une periode relativement courte par des groupes de

chasseurs et de pecheurs qui vivaient aux environs d'Elkab a la fin du

Paleolithique Sup6rieur. Ces groupes n'ont pas de rapport direct avec les

autres groupes pal6olithiqnes connus jusqu'ici en Haute Egypte. L'industrie

se situe en plein dans le ,, cultural hiatus of perhaps five millenia (that)

follows the Upper Sebilian (9000 B.C.) and allied Late Paleolithic industries

in most of the Egyptian Nile Valley" (Butzer, 1968). Esp6rons que do nou¬

veaux sites apporteront des informations complementaires.

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36 P. Vebmeersch

Les couches pr6historiques furent perturb6es par des mhumations. Dans

le pörimetre fouille on en rencontra 24; pres de la moitie 6taient dejä vid6es.

II s'agit de tombes sans structme : le mort 6tait plac6 dans un trou plus ou

moins ovale k des profondeurs assez variables. L'orientation de toutes les

tombes est SE-NW. Les squelettes 6taient en tres mauvais 6tat. Douze

squelettes avaient la tete dirigee au SE, regardant vers le SW. Deux seule¬

ment avaient la tete au NW, regardant vers le NE. Tous 6taient en position

contractee. La presence de tombes ä plusiems squelettes est assez caract6-

ristique: ainsi deux tombes contenaient trois squelettes et deux autres

deux squelettes ; 3 tombes furent creusees dans d'autres tombes plus ancien¬

nes. On ne decouvrit que trois tombes ä rm squelette.

Le mobilier funeraire est assez pauvre et se compose de ceramique du

type W (poterie ä anses onduMes), du type D (poterie decoree), et du type L

(poterie r6cente) et du type R (poterie grossifere). Cette c6ramique a 6t6

placee autour de la tete et des pieds. Deux tombes ne contenaient que des

vases en albatre. Les artefacts en silex qu'on trouva dans les tombes pro¬

viennent de la couche prehistorique. Trois pallettes, deux colliers en perles

6maill6es, une epingie en ivoire, un baton de couleur rouge et des traces de

malachite constituent, avec la c6ramique l'ensemble des objets trouves

dans ces tombes.

Pom la datation de ce cimetiere de pauvres nous disposons do plusieurs

elements :

L'abondance de poterie du type L et l'aspect assez 6volu6 des vases cy-

lindriques du type W nous suggerent une p6riode du Gerzeen final ou meme

le Protodynastique, tandis quo la prdsence de poterie du type D indiquerait plutöt le Gerz6en. Les trois palettes se situeraient 6galement dans le Gerz6en.

Les 6pingles avec des motifs ornementaux sont surtout attestees dans la

cultme do Naqada (Amratien et Gerzeen). II semblerait que I'usage d'en-

terrer plusiems squelettes dans la memo fosse ait 6t6 surtout ou presqu'ex-

clusivement pratique durant I'Amratien. On sait que les tombes de I'Am-

ratien et du Gerz6en n'ont fourni que rarement des pieces en silex.

Bien qu'il soit malais6 do dater oe cimetiere, dont la dur6e peut even¬

tuellement s'echelonner sur une p6riode assez longue, je crois pourtant

qu'on ne risque gu^re de se tromper en le situant k la fin des temps pr6-

dynastiques.

(8)

ÄGYPTISCHE AMULETTE AUS PALÄSTINA

Von Anton Jirku, Bonn

Die im Folgenden geschilderten ägyptischen Amulette kaufte ich vor

längerer Zeit in Palästina. Ein arabischer Bewohner des Landes soll sie beim

Bau seines Hauses gefunden haben; ein durchaus möglicher „Zufallsfund",

dessen Bedeutung glückhcherweise vom Finder gleich erkannt wmde ; was

nicht immer der Fall ist.

Das in Fig. 1, T. 3 gezeigte Amulett (natürliche Größe 2:2 cm) stellt ohne

Zweifel den schakalförmigen Gott Anubis dar; und zwar in der hegenden

Form, imd nicht auf einem TraggestelP. Dieses Amulett ist aus Holz ge¬

schnitzt, mit grüner Farbe bestrichen und stark poliert; der Kopf ist zum

Durchziehen einer Schnm durchlocht.

Dieses Amulett, aus einem grünlichen Stein geschnitten, (vgl. Fig. 2, T. 3

- natürhche Größe 3:1,5 cm - oben eine durchlochte Erweiterung) ist deut¬

Uch die ägyptische Göttin Hathor; der Kopf umrahmt von Flechten; deut¬

hch erkennbar die Ohren der Kuh, des ihr heiligen Tieres, angedeutet.

Dieses Amulett (vgl. Fig. 3, T. 4 - natürliche Größe 4:3 cm) stellt wohl die

der ägyptischen Göttin Hathor heilige Kuh dar ; diese Annahme ist gesichert

durch die Sonnenscheibe, welche die Kuh zwischen ihren Hörnern trägt.

Die 4 Pflanzen hinter der Kuh hält W. Helck, Hambmg (briefliche Mit¬

teilung) für das Schilf des Nil. Das Amulett stellt somit die aus dem Nil

steigende Kuh der Hathor dar.

Interessanter ist das auf Fig. 4, T. 4 (natürliche Größe 2:3 cm - geschnit¬

ten aus einem grünlichen Stein) abgebildete Amulett, das an seinem oberen

Ende eine durchlochte Öse trägt. Wir sehen rechts oben die Königs-Kartu¬

sche Thutmosis III.; demnach eine zeithche Fixierung a quo. Links und

unterhalb dieser Königs-Kartusche sehen wir eine sitzende männliche Ge¬

stalt und darunter eine Sphinx. Beide halten in den Händen einen Gegen¬

stand, der eine Waffe sein könnte. Symbohsch gegen den Dämon gerichtet,

zu dessen Abwehr das ganze Amulett angefertigt wurde ? Für die am unteren

Ende angebrachte Inschrift in ägyptischen Hieroglyphen schlägt Fräulein

Dr. Drenkhahn (Würzburg) die folgende Übersetzung vor: ,,Gott Harach-

te, der gute Gott, er möge geben". In der Diskussion zu meinem Vortrag auf

dem Würzburger Kongreß (Juli 1968) wmde die Ansicht geäußert, daß diese

1 Vgl. Ebman, A. Die ägyptische Religion, 2. Auflage, S. 23.

6 Or.-Tg.

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