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Nach der Hausärzte-Demonstration am 1. April 2006: Was wollen wir eigentlich?

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Academic year: 2022

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Die derzeitigen Klagen über den Niedergang – oder ist es schon ein Untergang? – der Haus- ärzte sind für junge Kolleginnen und Kollegen kaum motivierend, diesen notwendigen, sinn- vollen und erfüllenden Beruf zu ergreifen.

Zur Verbesserung der Rahmenbedingungen müssen sich deshalb rasch einige Vorgaben ändern.

WA LT E R G R ET E

A. Diskussionsvorschläge zur Verbesserung des Werdegangs zum Hausarzt (Weiterbil- dung)

1. Spitäler müssen pro 100 Spitalbetten einen Assistenten mit Weiterbildungsziel Hausarztausbilden. Er wird vor allem bei der Betreuung ambulanter Patientinnen und Patienten eingesetzt. Er arbeitet während mindestens zwölf Monaten als Praxisassistent und Praxisvertreter im Einzugsgebiet des betreffenden Spitals (Modell Affoltern).

2.Notfallstationenan Spitälern werden durch künftige Haus- ärzte/Hausärztinnen im letzten Weiterbildungsjahr im Sinne von Triageärzten geführt. Die Stellen sind auf ein Jahr be- grenzt.

3.Praktizierende Hausärzte können ihre Notfalldienstver- pflichtung in der Notfallstation ihres Spitals absolvieren (Zentralisierung des ambulanten Notfalldienstes auf Regio- nalspitäler).

4. Hausärzte sind vermehrt in den universitären Lehrbetrieb zu integrieren.

Weitere Massnahme gegen die massive Abwanderung hoch spezialisierter Ärzte in die freie Praxis und in private Spitäler:

5.Habilitierte Spezialisten, die ihr Ausbildungsspital in die freie Praxis verlassen, bezahlen eine Transfersumme an ihr Spital (Rückzahlung von Lehrgeld für Weiterbildung und Subspezialisierung im geschützten Rahmen der Klinik sowie Know-how-Abfluss).

B. Was muss sich gesundheitspolitisch ändern?

(Denkanstösse)

1.Der Praxiseröffnungsstopp ist aufzuheben.Er widerspricht der Gewerbefreiheit und wirkt demotivierend. Er führt zur Überalterung der freien Praxisärzte und gleichzeitig zum Aus- bau der staatlichen Spitäler.

2.Die Vertragsfreiheit ist einzuführen.Nur die Vertragsfreiheit löst die Ärzteschaft aus der Klammer von Staat und Versiche- rung. Nur durch die Vertragsfreiheit kann das prämienbe- dingte Globalbudget gesprengt werden. Nur die Vertragsfrei- heit führt zu Qualität und Spitzenleistungen.

3.Der Zugang zu ärztlichen Leistungenin der subventionier- ten Grundversicherung soll ausschliesslich über den Haus- arzt/die Hausärztin erfolgen. Er/Sie kann jährlich gewechselt werden (Niederländisches Modell, Hausarztmodell). Bei Selbstzuweisung ohne hausärztliches Überweisungsschreiben wird die Franchise erneut fällig (Ausnahmen: Psychiater, Gynäkologe, Augenarzt). Die unumschränkte, freie Arztwahl muss durch eine Zusatzversicherung erworben werden.

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Nach der Hausärzte-Demonstration am 1. April 2006: Was wollen wir eigentlich?

Unkonventionelle Vorschläge und Denkanstösse

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4.Die monistische Finanzierungvon Leistungen im Gesund- heitswesen ist, sowohl für Spital- als auch für ambulante Leistungen, einzuführen. Nur so wird jemand für die Kosten im Gesundheitswesen verantwortlich, nur so kann die unse- lige «Schwarzer-Peter-Finanzierung» zwischen Patient mit Franchise, Prämien im Obligatorium, Steuergeld des Bundes, der Kantone, der Gemeinden, mit Defizitgarantien in Pflege und Spital beendet werden. Das heisst im Klartext: Alle Sub- ventionen und öffentlichen Gelder gehen an die obligatori- schen Krankenkassen zur Prämienverbilligung. Der soziale Ausgleich erfolgt ausschliesslich über die Steuerrechnung und die Franchise und wird damit vom Gesundheitswesen abge- koppelt.

5.Die Franchiseist nach der wirtschaftlichen Leistungsfähig- keit zu erheben. Die Franchise ist das Eintrittsgeld zu Versi- cherungsleistungen des Gesundheitswesens. Wer viel verdient oder versteuert, bezahlt eine hohe Franchise. Die Prämien sind aber für alle gleich. Da das Schicksal Krankheit allenfalls auch die wirtschaftliche Leistungsfähigkeit trifft, ist es sinn- voll, die Anreize richtig zu setzten und gleichzeitig den sozia-

len Ausgleich zu verbessern.

Dr. med. Walter Grete, Bachenbülach E-Mail: Walter.Grete@hin.ch U N S E R

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ARS MEDICI 9 ■2006

J'y étais, je n'ai pas bien compris les revendications (haut-par- leur pas assez fort), mais j'ai compris que le ralbol était général.

J'ai aussi pris acte du communiqué laconique de Couchepin:

La formation reste un problème.

La surcharge de travail: aux médecins de s'arranger.

Les finances: débrouillez-vous avec les caisses-maladies ! Traduction: Vous êtes nuls, travaillez plus et baissez les prix!

Propositions: Pour le fond obliger le patient de consulter plus souvent pour nous faciliter le travail et tant pis pour les écono- mies, c'est la seule façon de rendre notre travail moins stressant et c'est de l'économie à long terme.

Pour la forme:

1. Laissons de côté la formation, nous sommes sur-formés, seu- lement en étant fatigués, l'erreur s'y glisse facilement.

2. Il serait souhaitable que nos FMH, AMG etc. donnent des consignes au sujet du renouvellement des préscriptions, par exemple que l'on ne devrait pas renouveler ces dernières sans avoir vu le patient dans les six derniers mois.

3. Le spécialiste ne devrait instaurer que des traitements avec un petit emballage, suivi de la recommandation de renou- veler la prescription lors de la visite de contrôle chez le géné- raliste. Ceci nous permettra d'avoir un suivi dans notre dos- sier sans passer les soirées à lire l'histoire de nos patients touristes.

4. La prescription de génériques devrait être l'affaire du phar- macien et non du médecin, il faut arrêter de nous voler le temps en nous transformant en économistes. Il devrait être suffisant de noter notre prescription avec l'original avec tampon: «générique en accord avec patient». Avis aux labo- ratoires pharmaceutiques: éviter de nous encombrer nos boîtes à lettre avec des messages non médicales.

5. Autre avis aux laboratoires pharmaceutiques: au lieu des gadgets, offrez-nous des disquettes nous permettant du pre- mier coup d'œil de voir les incompatibilités des médica- ments prescrits, cela déchargera de beaucoup les généralistes

fatigués.

Dr méd. Verena Landais Médecine générale Avenue du Vieux-Vésenaz 41, 1222 Vésenaz Tél.: 022-752 46 77

Manifestation du 01.04.06 –

Propositions concrètes pour la suite

Pourquoi nous manifestons!

NON à la mort prgrammée de notre médecine par un pou- voir politique myope, dégradant la profession par des économies de bouts de chandelles en créant un climat de méfiance dans le triangle: patient – médecin – assurance.

Appeler le gouvernement et les citoyens à refléchir sur d'autres possibilités de financement de la santé que d'augmenter sans cesse les primes d'assurances et de créer une Medecine à 2 vitesses.

Il y a d'autres modèles que celui des Anglo-Saxons.

L'explosion du coût de la santé est loin d'être finie:

longévité, prévention etc.

La prévention par le médecin de famille est compromise par le minutage «Tarmed». Ce sont pourtant des vraies écono- mies pour demain.

Les pseudo-économies pour la santé et l'éducation nous reviendront tel un boomerang.

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